jeudi 28 février 2013

28 février ...


 
... dans la ruelle ce matin

Remarquez sur le haut en avant-plan :
la corde à linge n'a plus ... qu'un fil ...

Condition essentielle pour cette rareté :
aucun vent pendant plusieurs heures


dimanche 24 février 2013

Vers un Oscar ?

Henry, le court-métrage de Yan England en nomination ce soir pour un Oscar est disponible sur Tou.TV à cette adresse :   http://tou.tv/henry

21 minutes sur la souffrance d'un vieillard (Gérard Poirier) atteint d'Alzheimer. Magnifique !

lundi 18 février 2013

Toute une semaine !

Absolument ... rien à faire sauf mes deux petites heures au gym ...

La farniente !

jeudi 14 février 2013

En passant ...

Ben oui, je l'ai fait ...

Je suis allé porter un bouquet de fleurs à la blonde-rousse sur son lieu de travail ...

lundi 11 février 2013

La brillance !

Courte panne d'électricité chez moi ce matin. Télé, ordi, lumières, calorifères ... plus rien ne fonctionne.
 
Après quinze minutes à ... niaiser, la blonde-rousse se lève et me dit : ''Tant qu'à rien faire, je vais aller faire bouillir mon poulet ... ''

samedi 9 février 2013

J'aime Richard Martineau


Pourquoi j’aime Richard Martineau ?,  vous entends-je me demander avec un parfum de surprise dans la voix …
Je l’aime parce qu’il se veut l’exemple concret d’un pseudo-intello qui se gargarise d’exciter les matantes et les mononcs de la droite pour empocher son gros salaire et représenter ainsi, d’une façon édifiante, l’exemple parfait d’une pute au service de l’establishment. Je l’aime parce que, avec le temps, il finira par convaincre les hésitants de s’opposer à la grosse bullshit qu’il défend si âprement et si maladroitement.
Avec son petit air ‘’à fesser dedans’’, son approche hautaine et arrogante, son air suffisant de celui qui sait tout, il commence même à tomber sur les nerfs des conservateurs, libéraux et autres tenants de la droite supposément réconfortante et garante de la continuité et du contrôle des biens nantis.
Passer de l’éditorial du VOIR aux chroniques enragées du groupe Québécor, faut le faire ! Ses brefs commentaires spectaculaires engendrent de nombreuses répliques d’approbation ou de total désaccord. Mais ça fait vendre mes amis. Oh que oui ! Et c’est justement là que la pute en retire tous les bienfaits rémunérateurs. La sincérité, il n’en a rien à foutre : ça n’est pas payant ! Plancher des semaines sur un sujet, étoffer la réflexion et aboutir aux conclusions bien pesées : il n’en a pas le temps. Faut produire vite et réjouir l’employeur, sans frustrer les amis du patronat de la pensée droitiste et sans donner l’impression d’être vendu à leur stratégie de contrôle subtil de l’électorat.
Mais avec le temps et la pression de la production, ce brillant monsieur manque de temps pour étoffer son argumentation biaisée. Et sa crédibilité, me semble-t-il, se dégonfle d’elle-même. Le personnage public et la vedette médiatique dégagent progressivement un parfum de frime intellectuelle nauséabond. Et c’est ainsi que j’aime Richard Martineau : un exemple parfait de la société merdique qu’il nous faut corriger …
Richard Martineau n’est pas le seul scribe ou commentateur appuyant le système qui nous gouverne depuis … belle lurette. Mais il le fait tellement maladroitement et de façon tellement antipathique, qu’il commence vraiment à contribuer à sa déchéance et son remplacement éventuel. Richard, je t’aime et j’adore ton incompétence …