Yessss ! J'ai été invité ce weekend pour le party de départ du maire de Toronto, Rob Ford,
Ça va triper fort mes amis !
mercredi 22 mai 2013
dimanche 19 mai 2013
Vidéothèque
Abonné Illico HD depuis environ six mois, je n’ai que
récemment apprivoisé le pitonnage requis pour enregistrer des émissions conservées
dans la fameuse boîte sur le devant de mon grand écran. Je dis émission mais ce
sont plutôt des films que j’y ai entreposés. Ma liste actuelle est courte
(Casino Royale, Catch me if you can, Pulp Fiction et Léolo) mais je compte bien
l’enrichir au fur et à mesure que les œuvres
qui m’intéressent passeront au petit écran. Je sais, ça n’est pas fréquent à la
télé les grands films, mais bon, rien ne presse. Et puis on m’a dit qu’il y a
possibilité d’en accumuler plus de 200 … alors, je souscris. Et au prix que je
débourse mensuellement, ça devient comme un baume sur la plaie financière …
samedi 11 mai 2013
Les Stones et la patronne ...
En 1999 ou 2000, je travaillais dans un Éco-quartier du
Plateau. Et la patronne se prénommait Huguette. Patronne très sympa et proche
de la gang d’employés que nous étions.
Vous vous rappelez cette chanson des Rolling Stones ? You
can’t always get what you want … Une toune magnifique de la fin des années 60.
C’est moi qui ai eu le flash. Un de ces quatre, Denis est
arrivé au bureau avec sa guitare. Il avait pratiqué les accords. Et
soudainement, sans avertissement, nous étions 4 ou 5 dans la place et nous
avons entouré Denis pour chanter fort en mettant l’accent sur le premier mot …
HUGUETTE
always gets what she wants
HUGUETTE
always gets what she wants
Et dans les semaines qui ont suivi, à chaque fois qu’elle
insistait ou parlait un peu plus fort, nous nous empressions d’entonner la
fameuse toune modifiée.
Le souvenir m’est revenu en entendant l’originale cet aprem
pendant le film Léolo …
jeudi 9 mai 2013
C'est quoi ton nom ?
Entendu cette nuit sur RDI à la fin d'un reportage :
Ici Christina Plamondon-Lalancette ... au Saguenay.
Ouch !
Ici Christina Plamondon-Lalancette ... au Saguenay.
Ouch !
mardi 7 mai 2013
Les années passent ...
Quasiment halluciné hier soir en écoutant l'émission 125 Marie-Anne animée par Christiane Charette. Sa première invitée était Martine Desjardins, la jeune (?) et brillante demoiselle qui était dans le trio des dirigeants étudiants du printemps érable avec Léo et Gabriel. Miss Martine qui a récemment cédé sa place comme présidente de la FEUQ a simplement dévoilé qu'elle avait ... 31 ans ! Ça me les a sciées ! Je lui aurais donné 23 ou 24 peut-être. Avec sa maîtrise en main et cette intelligence et cette façon de s'exprimer clairement sans hésitation, sans euhh et avec cette superbe assurance, je lui prédis une carrière exceptionnelle. Son futur employeur, celui qu'ELLE choisira, ne pourra que bénéficier médiatiquement de sa présence. Go Martine Go !
mercredi 1 mai 2013
Un ex-commissaire dans l'oeil de la Commission ...
Après le passage fort attendu du Maire de Montréal, ce cher
Gérald Tremblay, la Commission Charbonneau nous a surpris cette semaine avec le
témoignage de Gilles Cloutier, un organisateur d’élections qui travaillait dans
l’ombre depuis 30 ans. Et ce nouveau témoin n’y va pas avec le dos de la
cuillère : il déballe tout ! Pas de trou de mémoire, ni d’excuses, il
livre la marchandise sans retenue.
Même qu’en ce premier jour de mai, il a carrément nommé le
sieur Guy Chevrette, ministre des Transports du Québec à une certaine époque,
comme complice politique pour accorder des contrats à la firme Roche moyennant
des versements totalisant $100,000 pour la caisse politique.
M’est revenu en tête un épisode de la carrière de Guy
Chevrette. Une Commission d’enquête datant de 1974. La Commission Cliche sur la
liberté de l’association syndicale. Présidée par le juge Robert Cliche, appuyé
par les commissaires Brian Mulroney, avocat montréalais et … oui … Guy
Chevrette alors VP de la Centrale d’Enseignement du Québec (CEQ). La Commission
Cliche avait fait beaucoup de bruit à l’époque, comme la Commission Charbonneau
en fait aujourd’hui.
Quand même surprenant qu’un commissaire de l’époque se
retrouve 40 ans plus tard au banc des accusés d’une autre Commission.