Dans les déclarations hebdomadaires « notables » que l’équipe rédactionnelle de La Presse nous liste chaque samedi, il en est une qui tranchait sur les autres cette semaine. Elle origine de l’inénarrable Denise Bombardier répondant à la question de Christiane Charrette : « Denise Bombardier, on dit que vous êtes snob ».
Et la Denise de répondre : « Je suis trop intelligente pour être snob ». Et vlan !
Cette déclaration empreinte de modestie m’a rappelé cette entrevue d'une heure que Gilles Proulx accordait à Denise Bombardier sur les ondes de la SRC il y a une dizaine d’années, à une époque où le belliqueux bellâtre pourfendait vigoureusement les BS, les autochtones et autres cibles faciles, du haut de sa chaire radiophonique.
Elle va le manger tout cru croyais-je, prévoyant que la Bombardier (qui est tellement cultivée que ses pets font Proust - D. Lemire) allait déculotter le tribun populaire. Eh ben non ! Pas du tout. Tel un maître de l'esquive, le radioman roi de l'insulte avait paré tous les coups de la diva de Radio-Canada.
Il avait même poussé l'injure en lui rétorquant : "...mais oui, mais oui, j'exagère des fois. Mais j'ai des cotes d'écoute à fournir madame, ce que, de toute évidence, vous n'avez pas ". Et vlan dans les dents, comme dirait l'autre. L’intelligence de madame B noyée dans le populisme. Diantre !
Et la Denise de répondre : « Je suis trop intelligente pour être snob ». Et vlan !
Cette déclaration empreinte de modestie m’a rappelé cette entrevue d'une heure que Gilles Proulx accordait à Denise Bombardier sur les ondes de la SRC il y a une dizaine d’années, à une époque où le belliqueux bellâtre pourfendait vigoureusement les BS, les autochtones et autres cibles faciles, du haut de sa chaire radiophonique.
Elle va le manger tout cru croyais-je, prévoyant que la Bombardier (qui est tellement cultivée que ses pets font Proust - D. Lemire) allait déculotter le tribun populaire. Eh ben non ! Pas du tout. Tel un maître de l'esquive, le radioman roi de l'insulte avait paré tous les coups de la diva de Radio-Canada.
Il avait même poussé l'injure en lui rétorquant : "...mais oui, mais oui, j'exagère des fois. Mais j'ai des cotes d'écoute à fournir madame, ce que, de toute évidence, vous n'avez pas ". Et vlan dans les dents, comme dirait l'autre. L’intelligence de madame B noyée dans le populisme. Diantre !
Tiens toé, la Bombardier ! Personellement, elle m'a toujours fait chier (oups, pardon...) "Skier" serait peut-être plus accepté par Madame...
RépondreSupprimerHé, en passant, est-ce que tu lis parfois les commentaires apportés à tes articles sur ton blogue ? Simple question d'une nouille, voilà tout...
Ben ouim je lis tout ça. Même que je trouve qu'il y en a pas assez ...... :-(
RépondreSupprimerAh bon... Je vais tenter de "promouvoir" ton blogue, alors !
RépondreSupprimerOu te faire parvenir d'autres observations de la nouille ontarienne !
Personnellement, j'adore ton blogue, mais je manque parfois de temps...
Ton blogue est impayable, vieille branche :-)