D’accord, la durée du match à la télé frôle les trois heures. Les pubs, les arrêts de jeu, et la pause au milieu du match viennent meubler le temps.
D’accord, le match chronométré dure 60 minutes, séparées en quatre quart de 15 minutes chacun.
Comment puis-je avancer que les joueurs ne « jouent » que six à huit minutes ?
Primo, chaque club a deux escouades : l’offensive et la défensive. Jouant contre la brigade opposée du club adverse, ces unités passent donc approximativement la moitié du match sur le terrain. Donc, nous baissons de 60 minutes à 30 minutes.
Deuxio, la durée de chaque jeu, à savoir de la remise du ballon au quart-arrière jusqu’au plaqué de celui qui hérite du ballon (course au sol ou passe), les joueurs sont en mouvement réel pendant, mettons, 10 secondes. Et je suis généreux !
Entre ces jeux où les gars « bougent », le chronomètre poursuit sa course et ne s’arrête que pour des situations spécifiques : passe échappée ou sortie des limites du terrain. Mais il repart au son du sifflet de l’arbitre et les secondes s’écoulent pendant le caucus des joueurs.
La chose a souvent été chronométrée par les analystes et m’a surpris quand j’en ai pris connaissance il y a quelques années. Cette cinquantaine de jeux (moyenne) pour chaque unité (défense ou attaque) où les joueurs courent, bloquent ou frappent totalise entre 6 et 8 minutes d’activité. Mais diable qu’elles sont trépidantes !
D’accord, le match chronométré dure 60 minutes, séparées en quatre quart de 15 minutes chacun.
Comment puis-je avancer que les joueurs ne « jouent » que six à huit minutes ?
Primo, chaque club a deux escouades : l’offensive et la défensive. Jouant contre la brigade opposée du club adverse, ces unités passent donc approximativement la moitié du match sur le terrain. Donc, nous baissons de 60 minutes à 30 minutes.
Deuxio, la durée de chaque jeu, à savoir de la remise du ballon au quart-arrière jusqu’au plaqué de celui qui hérite du ballon (course au sol ou passe), les joueurs sont en mouvement réel pendant, mettons, 10 secondes. Et je suis généreux !
Entre ces jeux où les gars « bougent », le chronomètre poursuit sa course et ne s’arrête que pour des situations spécifiques : passe échappée ou sortie des limites du terrain. Mais il repart au son du sifflet de l’arbitre et les secondes s’écoulent pendant le caucus des joueurs.
La chose a souvent été chronométrée par les analystes et m’a surpris quand j’en ai pris connaissance il y a quelques années. Cette cinquantaine de jeux (moyenne) pour chaque unité (défense ou attaque) où les joueurs courent, bloquent ou frappent totalise entre 6 et 8 minutes d’activité. Mais diable qu’elles sont trépidantes !
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Pour les vingt et quelques minutes restantes, on revient au caucus, on s’entend sur le prochain jeu, on se positionne, on attend le snap du départ et … c’est reparti pour … dix secondes.
Six à huit minutes à vraiment se grouiller l'cul. Ça vous en bouche un coin ?
Six à huit minutes à vraiment se grouiller l'cul. Ça vous en bouche un coin ?
Le foot, j'y connais rien mais pour les joueurs, je trouve qu'ils sont payés cher de l'heure! Oui, je le sais, c'est la jalousie qui me fait dire ça...
RépondreSupprimerTrop cher à mon goût, ma chère Zoreilles ! :-)
RépondreSupprimerHé, les amis, vous ne lisez plus mon blogue ?
Et que penser de ces cyclistes qui roulent pendant des heures pour que la course se décide dans les trente dernières secondes!
RépondreSupprimerNotez bien qu'au boulot, certains jours, si je ne comptais que moments d'activités utiles, je n'afficherais pas le résultat!
Accent Grave