En ayant traité maintes fois sur ce blogue, j’imagine que plusieurs d’entre vous connaissent le blogue Un Taxi la Nuit qu’alimente le chauffeur Pierre-Léon. Un pur ravissement, non seulement par les histoires étalées, par les photos nocturnes étonnantes et superbes, mais aussi et surtout par ces mots choisis, par ces expressions insérées au scalpel dans le texte, par cette vision bien personnelle et respectueuse de sa clientèle pas toujours facile.
Talent débordant, une maison d’édition n’a pu qu’approcher le taximan-blogueur pour lui offrir d’éditer une centaine de textes sélectionnés au fil de son blogue. Lancement tripant au printemps dernier, entouré de blogueurs et blogueuses tous et toutes ravi(e)s de ce tremplin offert aux meilleur(e)s du blogue d’ici (Mère Indigne et Lucie-le-Chien également éditées).
Et tout récemment, ce fameux livre de Pierre-Léon retenu parmi les cinq finalistes du Prix des Libraires du Québec qui sera sélectionné à la fin du mois. Encore une belle liesse sincère dans l’univers du blogue d’ici.
Tout ceci pour vous dire qu’encore une fois, aujourd’hui, le cerveau de Pierre-Léon a trouvé les mots exquis pour me chavirer. Décrivant un passager triste qui soliloquait sur la peine lourde de la disparition de son père, ces deux très courtes phrases immenses pour nous faire comprendre :
Il a perdu son père. Cherche ses repères.
Vous saisissez ?
Talent débordant, une maison d’édition n’a pu qu’approcher le taximan-blogueur pour lui offrir d’éditer une centaine de textes sélectionnés au fil de son blogue. Lancement tripant au printemps dernier, entouré de blogueurs et blogueuses tous et toutes ravi(e)s de ce tremplin offert aux meilleur(e)s du blogue d’ici (Mère Indigne et Lucie-le-Chien également éditées).
Et tout récemment, ce fameux livre de Pierre-Léon retenu parmi les cinq finalistes du Prix des Libraires du Québec qui sera sélectionné à la fin du mois. Encore une belle liesse sincère dans l’univers du blogue d’ici.
Tout ceci pour vous dire qu’encore une fois, aujourd’hui, le cerveau de Pierre-Léon a trouvé les mots exquis pour me chavirer. Décrivant un passager triste qui soliloquait sur la peine lourde de la disparition de son père, ces deux très courtes phrases immenses pour nous faire comprendre :
Il a perdu son père. Cherche ses repères.
Vous saisissez ?
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Allez donc fureter dans ses archives. Toujours une belle escapade …
bel article véridique. Moi itout j'adore le lire...
RépondreSupprimerTrès belle phrase en effet. Elle est belle parce qu'elle ressemble à de la musique mais surtout parce qu'elle parle, elle résume tout.
RépondreSupprimerAccent Grave