Il y avait onze rounds de boxe d’écoulées et les 16,000 spectateurs dans le Centre Bell étaient fort joyeux. NOTRE Lucian dominait le combat genre 6 rounds gagnés, deux de perdus et trois nulles. Fallait donc que le fier Librado Andrade le couche au tapis au douzième round pour espérer l’emporter. Et Lucian n’avait donc qu’à se méfier du coup meurtrier fatal.
Encouragé par les 32,000 poumons (des gauches et des droits), Lucian s’est soudainement dit qu’il nous ferait encore plus plaisir en « gelant » Andrade. Alors il s’est donc mis à échanger coup pour coup avec le mexicain en se foutant de sa propre défensive.
Environ une minute avant la fin, nous sommes tous debout à hurler notre plaisir, Lucian encaisse une taloche qui le fait VRAIMENT vaciller. OK ! Fini les folies : faut se protéger. Mais Andrade a vu la défaillance et a augmenté la pression.
De telle sorte que NOTRE Lucian se retrouve sur le cul en fin de round. Avant de commencer le compte, l’arbitre repousse Andrade dans son coin et Lucian, miraculeusement, réussi à se lever debout. Les dernières secondes s’écoulent : il est sauvé par cette cloche finale. Parce que, disons-le, trente secondes de plus et Andrade l’aurait massacré.
Yé ! On a gagné quand même.
En passant, vous ai-je dit que j’ai regardé l’essentiel du combat … à la télé ? J’étais au Centre Bell, oui. Au début de la section qu’on appelle Le Pit, dans les hauteurs. Mais juste au-dessus du ring (où on aperçoit les boxeurs petits, petits), au-dessus du ring dis-je, il y a désormais un écran carrément capoté d’environ 40 pieds de large par 30 pieds de haut, qui diffuse une image en haute dimension. Et nous étions 16,000 à regarder cette grosse TiVi ensemble avec les vrais acteurs juste en dessous. Carrément extraordinaire.
Indescriptible cette effervescence de la dernière minute. Comme ces autres minutes de l’entrée en scène de Lucian et sa longue marche vers le ring au son exponentiel de Where the streets have no name de U2. Capoté ! Je lévitais presque et mes chums aussi.
Bien belle soirée. Merci Lucian.
Encouragé par les 32,000 poumons (des gauches et des droits), Lucian s’est soudainement dit qu’il nous ferait encore plus plaisir en « gelant » Andrade. Alors il s’est donc mis à échanger coup pour coup avec le mexicain en se foutant de sa propre défensive.
Environ une minute avant la fin, nous sommes tous debout à hurler notre plaisir, Lucian encaisse une taloche qui le fait VRAIMENT vaciller. OK ! Fini les folies : faut se protéger. Mais Andrade a vu la défaillance et a augmenté la pression.
De telle sorte que NOTRE Lucian se retrouve sur le cul en fin de round. Avant de commencer le compte, l’arbitre repousse Andrade dans son coin et Lucian, miraculeusement, réussi à se lever debout. Les dernières secondes s’écoulent : il est sauvé par cette cloche finale. Parce que, disons-le, trente secondes de plus et Andrade l’aurait massacré.
Yé ! On a gagné quand même.
En passant, vous ai-je dit que j’ai regardé l’essentiel du combat … à la télé ? J’étais au Centre Bell, oui. Au début de la section qu’on appelle Le Pit, dans les hauteurs. Mais juste au-dessus du ring (où on aperçoit les boxeurs petits, petits), au-dessus du ring dis-je, il y a désormais un écran carrément capoté d’environ 40 pieds de large par 30 pieds de haut, qui diffuse une image en haute dimension. Et nous étions 16,000 à regarder cette grosse TiVi ensemble avec les vrais acteurs juste en dessous. Carrément extraordinaire.
Indescriptible cette effervescence de la dernière minute. Comme ces autres minutes de l’entrée en scène de Lucian et sa longue marche vers le ring au son exponentiel de Where the streets have no name de U2. Capoté ! Je lévitais presque et mes chums aussi.
Bien belle soirée. Merci Lucian.
Effectivement, ça devait être survolté comme ambiance!
RépondreSupprimerJ'ai hâte de voir le résultat de la contestation du clan Andrade...
J'ai lu que pour le reste, ça n'a pas été fructueux pour nos québécois de boxeurs par contre :(
C'était pas de grosses pointures les autres québécois ...
RépondreSupprimerQuoique vieillissant, notre poids lourd de Bergeron (qui a eu sa seule défaite contre le géant Valuev), me semble que c'est pas une petite pointure...
RépondreSupprimerIl a toujours combattu des piments sauf ce russe. Alors il va poursuivre sa carrière de pompier (fort honorable) à St-Jérôme...
RépondreSupprimerPas trop eu de misère à te rendre jusqu'à cette heure tardive?
RépondreSupprimerAs tu pensé à moi ou pas? :)
@ Do
RépondreSupprimerOui pas pas au moment du coup de poing sur la gueule ...
:-)
Eh mon pote, cet écran est extraordinaire, très grande dimension et surtout, haute définition. C'est le nec plus ultra de la ligue nazionale.
RépondreSupprimerQUELLE frousse, il nous a donné, ce Bute.
Bad bad boy!
RépondreSupprimerCroco, entre les lignes, et à travers les branches, je comprends tout a fait ce dernier commentaire de Do. Bad boy indeed, very bad boy you are...
RépondreSupprimerEntre les lignes peut être, mais à travers les branches??? J'en doute !
RépondreSupprimerDo, je fais référence au jeu de mot taximan pour les branches, pour le reste c'est à mettre sur le compte de mon aliénation mentale.
RépondreSupprimerEt j'avais oublié d'ajouter le petit sourire à la fin. Bon, je ferais mieux de me déguiser en invisible définitivement. Désolée...
RépondreSupprimerLoins de moi l'idée de t'insulter mais à mon tour je faisais un jeu de mot et un clin d'oeil à notre cher Mickey.
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