dimanche 2 novembre 2008

Journalisme de boulechite

Sous la plume de Violaine Ballivy, la Presse titre « Lise Thibault : l’enquête de la GRC a coûté $270,000 ».

Dans les faits, le salaire des enquêteurs compte pour $240,989, dont $300 piastres (vous avez bien lu !) seulement en heures supp.

Bon ! C’est quoi l’histoire ? Ces enquêteurs-là auraient travaillé de toute façon sur un autre cas quelconque. Et la scribe qui vient nous dire que nous contribuables canadiens devrons payer ces frais. Viaaaaarge ! On les paieraient de toute façon ces enquêteurs. C’est quoi la joke ici ?

Loin de moi l’idée de défendre la « pôvre » représentante de la Reine mais plutôt de dénoncer cette manie qu’ont souvent les journalistes de jouer avec les mots pour que leur manchette fasse la UNE du quotidien qui les embauche. Combien a été payée Violaine Ballivy pour nous écrire cette banalité ? Ça c’est du gaspillage !

5 commentaires:

  1. On ne parle pas ici d'information mais de divertissement. Les affaires publiques, maintenant, ça doit faire vendre, ça devient de la démagogie, même dans les publications autrefois sérieuses et crédibles. À partir de là, tout est possible mais si désolant.

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  2. Un sabre de Samourai ça peut tu sabrer dans les dépenses ?

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  3. Dans le sud-est et sud-ouest asiatique peut-être mais j'suis pas sûr !

    :-)

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  4. C'est drôle qu'ils l'appellent l'ex du clown Durivage ...

    MOD

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  5. Moi quand je lis des facilités semblables, je pense aussi au chef de pupître de La Presse qui accepte de recevoir et publier ces âneries sans y mettre le grain de sagesse ou d'intelligence requis. Genre, dire à la jeune scribe : Hey, as-tu pensé que les enquêteurs auraient pu consacrer du temps aux Rizzuto ou Dubois ou autres grands canadiens ...

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