" On a tous un morceau de linge auquel on peut avoir un attachement particulier. Un de ces vêtements si confortables qu’on le porte jusqu’à ce qu’il se biodégrade sur nous."C'est une citation récente tiré du blogue de Drew ya deux jours.. Il y traitait de ces vêtements dont on ne peut se débarasser, comme une sorte de fétichisme. Et il lançait une tague sur le sujet.
Alors voici MON vêtement fétiche. Ce vieux coton ouaté des 49ers de San Francisco que Roger et Caro m'ont acheté ya une vingtaine d'années lors d'un voyage à San Francisco à l'époque bénie de Joe Montana.
Je ne peux m'en débarasser même si la blonde-rousse le déteste à un point tel qu'elle refuse de l'inclure dans ses brassées de lavage.
Et vous, vous en avez un morceau de linge fétiche ?
Un vêtement fétiche tu dis,
RépondreSupprimeron en a tous un c'est vrai.
Le mien, c'est une veste d'hiver qui a au moin trente ans,je la porte pour passer la soufleuse lors de nos rares tempêtes de NEIGE. Ma conjointe voudrait que je m'en débarasse mais j'en suis incapable.
cette veste a maintenant la barbe aussi longue que la mienne.
Tel homme telle veste !
RépondreSupprimer20 ans! :-O
RépondreSupprimerFétiche vrai ton affaire!!
Oui, c'est vrai que nous avons tous un vêtement-fétiche. Le mien provient des années `60... En fait, il s'agit de la veste que j'ai portée à Woodstock. Elle est en velours noir et est pourvue d'une foule de petits miroirs... Elle est laide à faire peur, mais je suis incapable de m'en défaire, compte tenu des souvenirs qu'elle me rappelle... Ah, Woodstock ! Je m'y étais rendue (sans la permission de mes parents, il va sans dire) et me suis fait prendre par ceux-ci, car nos mensonges n'avaient ni queue ni tête... Mais, enfin, that's life et non, rien de rien ; non, je ne regrette rien ! :D
RépondreSupprimerEn passant, je t'ai envoyé un courriel à videotron.ca très tôt, ce matin... L'as-tu reçu, mon pote ?
Ouais ! J'ai bien reçu ton slogan scatologique !
RépondreSupprimerAvant de te raconter mon vêtement fétiche, il faut que je réagisse au tien. Écoute ça, mon vieux...
RépondreSupprimerChez nous, il y a ce « fou du village » grassouillet et sympathique (t'sais quand on dit pas assez fou pour mettre le feu mais pas assez fin pour l'éteindre?...) que tout le monde connaît, on l'embarque parfois sur le pouce quand on descend au centre-ville. Question hygiène personnelle, il se néglige, disons, alors son GILET 49ERS, il l'a tellement porté que tout le monde l'appelle « 49er », c'est devenu son nom! Il a deux passions dans la vie, notre célèbre 49er, c'est boire de la bière pis aller aux danseuses! (pas des danseuses comme Rosie là, des danseuses pas habillées!...)
À mon tour maintenant : mon fétiche, c'est cette jupe porte-feuille longue jusqu'aux chevilles, en jeans délavé, avec des grandes fleurs brodées noires dessus. Je la portais quand j'étais ado, années 70, dans le temps du flower power, du joint matinal en sortant de l'autobus, avant d'entrer à l'école, dans l'objectif de réussir à y passer un avant-midi complet sans skiper! (à Montréal, vous disiez foxer au lieu de skiper) Pas capable de la jeter, la fétiche. Elle me fait toujours parce que c'est une jupe porte-feuille! Quand je l'essaie, il me semble que j'ai des comebacks!!!
@ Zoreilles
RépondreSupprimerToujours tripante, comme d'habitude ...
Attention, toi, Croco, ne fais pas lire mon commentaire à Christiane, parce que là, c'est sûr, tu ne reverras plus jamais ton gilet 49ers!!!
RépondreSupprimer@ Zoreilles : merci de comprendre que je danse toute habillée... Le spectacle serait vraiment navrant et désolant, si je me défaisais de mes vêtements... ;)
RépondreSupprimer@ Rosie : Ha ha ha, Rosie, ne dis pas du mal de toi, voyons!
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