Première soirée magique après un court vol sans anicroche de 2 heures 18 minutes.
Entrée de bruschetta de ma soeur Line.
Les moules de son chum Lester couvertes de parmesan et autres secrets.
Deux homards des Iles bouillis dans l'eau de mer.
Plus de place pour le dessert et les fromages.
Dodo bienvenu à ... 21 heures 30. Dormir à poings fermés.
Éveil à 6 heures (même la blonde-rousse, c'est ben pour dire).
Soleil toute cette journée de dimanche et le ciel se couvre juste comme on revient à la maison.
Mettons que ... c'est bien parti !
J'ai pas d'autres mots... Maudit chanceux!
RépondreSupprimerJ'ai répondu à ton courriel à partir de mon portable, je sais pas si tu vas le recevoir, j'ai de la misère avec lui, je te jure!
Pis maman?
RépondreSupprimerJe salive par terre!
RépondreSupprimerQu'est-ce que ce serait si tu avais mis des photos en plus?!
Bonnes vacances!
Bon t'es aux Iles pis?
RépondreSupprimerTu manges des Moules pis?
Tu manges du Homard pis?
Tu marches sur le sable chaud pis?
Tu fais le plein d'air salin pis?
Tu t'oxigènes les poumons pis?
tu te refais une santé qui va te permettre de survivre
à Ton Réal une autre année pis? Chanceux,avec ta Blonde Rousse,
ta parenté,tes amis,
profites en pleinement en ne pensant surtout pas à tous ceux que tu as laissé sur le bitume Montréalaid.
Ils te reverront bien assez tôt va.
Ramènes dans tes bagages les Iles en photos,tu pourras faires des envieux à ton retour.
À Barbe Blanche...
RépondreSupprimer:o)
@ Zoreilles
RépondreSupprimerRéponds-moi sur mon blogue
@ Lou
RépondreSupprimerMom est ok ! Même surprenante. Comme l'an dernier mettons comme base de comparaison. Elle raffolle topujours de mes chocolats et continue sa lecture du livre du Père Noel ... Pas facile les photos = elle n'aime pas trop ... 'poser'. if you know what I mean
Ah je te le dis, Croco, toué, tu m'en fais faire des affaires! Me revoici sur mon portable, je viens de faire un copié-collé dans mes « messages envoyés » et, tu l'auras voulu mon vieux, c'est la totale, pas de censure mais ça répond à ta question en masse et puis après, je m'emballe!
RépondreSupprimerToi et moi, on communique pas pire mais nos courriels, c'est pas pareil pantoute! Et sens-toi bien à l'aise de supprimer mon commentaire après l'avoir lu.
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Mais non, Croco, Will Lebel n'est pas parent avec moi, enfin, je ne le crois pas, si tant est qu'il soit possible qu'un Madelinot ne soit pas parent avec moi, mon père étant un Turbide, ma mère, une Poirier, mon arrière grand-mère ayant vécu jusqu'à l'âge vénérable de 103 ans, une Jomphe, j'ai également des Vigneault, des Cormier, des Cyr, des Arsenault et des Arseneau à la pelle mais non, Will Lebel, c'est sûrement pas un proche parent. Était-il un vaillant capitaine de bateau ou est-il de la tristement célèbre famille Lebel qui a inspiré « La complainte des Lebel » que ma grand-mère Turbide chantait avec les yeux pleins d'eau au dernier couplet parce qu'on terminait ainsi : « Il y a Daniel Lebel, son fils, son gendre, son neveu/Philias à Arsène ainsi que son filleux », elle avait beaucoup aimé et donc perdu dans ce drame de chasse aux loups marins vécu en mars 1911 « le filleux » en question qui se nommait Phil Galant... Elle rechantait toujours la dernière phrase en insistant sur le changement : « Philias à Arsène et Phil Galant aussi ». C'était ben émouvant!
Quand je parle de la marmaille nombreuse de la gang à chez mon oncle Will, c'est plutôt de Will Poirier qu'il s'agit, le mon oncle Will à Papa, décédé lui aussi, ancien pêcheur de homard du Havre-aux-Maisons, et père de 16 enfants. Me reste aujourd'hui ma tante Irma, sa femme, qui vit toujours à HAM, entourée de ses nombreux enfants qui prennent soin d'elle avec tant de délicatesse.
J'espère que tu recevras ma réponse, je t'écris de mon patio, sur mon *&?%$/" de portable pis je le truste pas pantoute!!!
Tandis que t'es là pis moi aussi, ben... Bonne Fête des Pères et profite de tout ce qu'il y a là-bas, maudit chanceux!
Francine « Zoreilles » Turbide, à Léo à Avila à Julien
OK ! Madame Zoreilles. Bien reçu !
RépondreSupprimerOK Mimi, je comprends.
RépondreSupprimerIl va falloir que je pile sur ma douleur et que j'aille la voir... peut-être fin été début automne...ça me prend un éternité à panser ma peine à chaque fois que j'y retourne...
@Talou,
RépondreSupprimerje ne voulais plus écrire, mais ton court commentaire m'a tellement touchée, que je ne peux m'en empêcher.
Oui, piler sur ta douleur, ou te marcher sur le coeur; mais si votre maman ne te reconnais pas, dis-toi que TOI TU SAIS QUI ELLE EST, c'est ça l'important!
Ma mère est en résidence, et si elle n'a pas d'Alzheimer, sa maladie est tout aussi difficile à vivre, pour elle, et pour moi il va sans dire. Mais la maladie mentale est toujours un cauchemar , pour la personne, et celles qui vivent autour. Il m'arrive de penser que je suis "borderline" à cause de mon émotivité exagérée, ce que tu as dû constater déjà, via mes commentaires.
Si je puis me permettre un conseil Talou, ce serait une bonne idée d'aller voir ta mère, car lorsqu'il est trop tard...il est trop tard!!!
Lise xx
PS. Et j'ignore si tu lis Zoreilles, mais son nouveau texte, pour l'amatrice de hockey que tu es (plus mère de Simon, joueur professionnel chez les voisins d'en bas) pourrait grandement t'intéresser.
@ Talou
RépondreSupprimerMon commentaire était spontané, une opinion personnelle, et ne se voulait pas moralisateur, alors c'est à toi de décider ce qui convient le mieux, entre toi et ta mère.
Et j'imagine que ton frère t'en dira davantage, de manière privée. Ce n'est pas toujours facile de lire entre les lignes sur un blogue...
@ Lise
RépondreSupprimerMerci pour tes bons mots belle dame... Je vais t'éclaircir sur le sujet... et ça me fait du bien aussi d'en parler, alors deux pierres d'un coup!
Je n'ai pas de problème avec la maladie de ma mère. Mon Dad est décédé des suites de l'Alzheimer. Et la démence de ma mère, c'est la m^me chose, ils ne souffrent pas, ils ne sont pas conscients de ce qui se passent.
Non, ma douleur vient de la séparation ensuite. J'étais très près de ma mère. Elle passait beaucoup de temps avec moi à la maison avec mes enfants...
QUand elle est déménagée aux Îles, j'allais la voir 2 parfois trois fois par année. À chaque fois que je quittais les Îles, j'avais l'impression de l'enterrer, que c'était la dernière fois que je la voyais vivante.
Il y a eu un moment où je suis devenue très fragile à tout ça. Enterrer sa mère 3 fois par année c'est pas évident pour le moral.
Quand j'ai compris que je n'y allais plus pour elle, qu'elle ne me reconnaissait plus, en fait je la perturbais plus qu'autre chose dans son train-train, c'est devenu au dessus de mes forces d'y aller. ça fait deux ans que je n'y vais plus...
Mais là, je crois que je ressens le besoin d'y retourner se faire sentir. J'y pense disons. Mais je veux être certaine d'avoir la force de revivre un autre deuil...
C'est assez simple au fond.
Bon, je vais lire Zoreilles. Tu m'as titillée la curiosité!
C'est le fun que tu continues d'écrire... tu sais, il n'y a que les fous qui ne changent pas d'idée!
:o)
Merci pour l'explication Talou. Ta phrase "Enterrer sa mère trois fois par année, c'est pas évident pour le moral", ça veut tout dire. Bon courage alors !
RépondreSupprimer@ Barbe Blanche
RépondreSupprimerT'as eu une montée de laid ? !!
Bein oui, il est fort probable que le blogueur soit dans son jardin d'Eden...
@ Michel
RépondreSupprimerBen sur qu'il est dans son jardin d'éden, il en profite plein son saoul, il en use et en abuse ad nauséam pour que de retour à Montréal sa bien aimée,il ai les yeux pétillants de joie et de malice avec en tête plein de bon tours à jouer à ses amis qui se seront ennuyé pendant son absence.