Il y a environ deus semaines, mon ami Alex était dans la cuisine avec sa Sylvie. La vie était belle. De la fenêtre,il apercevait le lac des Deux-Montagnes qui venait lécher l’extrémité de son terrain à Saint-Placide. Soudainement et sans avertir, la vie vient faire des siennes. Sylvie s’effondre au plancher et ne se relèvera plus. Une embolie cérébrale qui lui enlève le moindre courant dans la tête. Elle a cessé de respirer quelques jours plus tard.
Samedi matin, avec mon pote Yvan, nous sommes allés à Oka dans cette maison funéraire pour palper la tristesse et offrir nos sympathies aux proches de Sylvie. Toujours un espèce de malaise qui se mêle à la peine dans ces salons, ne trouvez-vous pas ? On voudrait consoler mais comment consoler un gars qui vient de perdre sa partenaire de vie des vingt dernières années … Revoir d’autres personnes qu’on avait pas rencontrées depuis des lustres, ressasser souvenirs et pitreries sans rire trop fort (ça n’est pas tout à fait le bon endroit pour faire des blagues). Vous le connaissez cet atmosphère étrange, j’en suis certain.
Revenus à Montréal, quelques emplettes plus tard, nous sommes arrivés chez Yvan qui, en équipe avec Vincent, nous recevait pour … aucune raison spéciale. Pour le plaisir, mettons. Huîtres, saucisses au canard, cochonnet farci et côtes levées au menu. Un véritable festin (et je pèse mes mots).
Étrange la vie, non ?
Samedi matin, avec mon pote Yvan, nous sommes allés à Oka dans cette maison funéraire pour palper la tristesse et offrir nos sympathies aux proches de Sylvie. Toujours un espèce de malaise qui se mêle à la peine dans ces salons, ne trouvez-vous pas ? On voudrait consoler mais comment consoler un gars qui vient de perdre sa partenaire de vie des vingt dernières années … Revoir d’autres personnes qu’on avait pas rencontrées depuis des lustres, ressasser souvenirs et pitreries sans rire trop fort (ça n’est pas tout à fait le bon endroit pour faire des blagues). Vous le connaissez cet atmosphère étrange, j’en suis certain.
Revenus à Montréal, quelques emplettes plus tard, nous sommes arrivés chez Yvan qui, en équipe avec Vincent, nous recevait pour … aucune raison spéciale. Pour le plaisir, mettons. Huîtres, saucisses au canard, cochonnet farci et côtes levées au menu. Un véritable festin (et je pèse mes mots).
Étrange la vie, non ?
Vous menez une bonne vie cher Crocomickey!
RépondreSupprimerAccent Grave
Comme on dit souvent dans ces moments, la vie continue, hé oui
RépondreSupprimermalgré tout, elle continue
Mettons que j'ai quitté avant les cotes levées ... pour aller bouffer une tarte briochée aux pommes type croustade que j'avais achetée le matin à l'Abbaye d'Oka.
RépondreSupprimer:-)
Et ce matin, mon cadran diabétique indiquait 10,7 !!!
RépondreSupprimerOn peut pas tout avoir !
:-(
La vie est affreuse et remplie de chagrin... Pour la rendre heureuse, il faut...
RépondreSupprimer;o)
10,7...
Ben cou'donc!
Oui, cette atmosphère funéraire atroce. En fait, je me suis toujours demandé à quoi ça servait cette "veille au corps (ou aux cendres, plus contemporain).
RépondreSupprimerMalgré tout, ces huîtres... Hmmm!
And the beat goes on...
RépondreSupprimerVoilà pourquoi il faut profiter de tous les moments qui passent et de toutes les merveilles, tous les plaisirs et toutes les douceurs que la vie nous réserve. Et toujours conserver ceux et celles qui nous quittent dans notre coeur, tout en célébrant cette vie bien éphémère après tout...
T'as bien fait de t'en donner à coeur joie, Mickey, et vive l'hédonisme sous toutes ses formes... Même avec du 10,7!
Et toutes mes sympathies à ton ami, Alex... Quelle tristesse et surtout, quel choc de perdre sa partenaire de vie si rapidement! On ne sait jamais à quoi s'attendre...
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