Au CLSC de la Petite-Patrie, les prélèvements se font, sans rendez-vous, de 7h 30 à 11 heures, du lundi au vendredi.
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J'y suis allé ce matin. Arrivé à 7h 15. Pris un numéro.
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Après m'avoir placé un petit dyachilon sur le bras, l'infirmière m'a dit "OK, vous pouvez partir" : il était exactement 7h 29 minutes et 50 secondes.
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Les soins de santé dans la Petite-Patrie, ça n'a pas de prix ...
Simonac, on n'entend pas ça souvent!!!
RépondreSupprimerSavais-tu que mon principal client, c'était un réseau local de la santé et des services sociaux de ma région?
Si t'envoyais un copié-collé de ton billet d'aujourd'hui au CSSS (ou CLSC) dont tu fais mention, tu ferais la journée et même la semaine de pas mal de monde!
Non mais c'est vrai, pour le chiâlage, les gens ne sont pas gênés de s'exprimer haut et fort mais quand ça va bien, personne ne dit jamais rien...
Rien ne t'empêche de le leur envoyer ...
RépondreSupprimerOups, je pensais que tu voulais l'expédier à TON CLSC.
RépondreSupprimerJe vais le faire pour chez nous ...
Pas de danger que j'envoie ça à mon CSSS de client, (qui comprend 1 hôpital, 3 CHSLD et 4 CLSC) mais je peux t'assurer qu'un témoignage comme le tien va circuler à l'interne bien au-delà de la Petite-Patrie!
RépondreSupprimerJe me souviens d'une fois il y a 4 ans à peu près, un client satisfait des services reçus avait pris la peine d'écrire un petit mot de remerciement dans la tribune des lecteurs d'un de nos hebdos régionaux. On en parle encore!
Dans le réseau de la santé et des services sociaux au Québec, rien n'est parfait, ça va un peu de travers des fois et il y aurait place à beaucoup d'amélioration mais on oublie trop souvent que ce qui tient tout ça ensemble, sur le terrain, ce sont des monsieurs et des madames très dévoués qui consacrent leurs journées à soigner le monde dans un contexte de restrictions, de réorganisation constante et de pénurie de personnel.
Et puis, faut bien le dire, la profession (d'infirmière entre autre) a grand besoin d'être revalorisée, on n'a pas de relève... Certains docteurs se prennent encore pour des demi-dieux, qu'ils soient omnipraticiens ou spécialistes, alors que ce sont les infirmières et les auxiliaires qu'on devrait traiter avec plus d'égards et de reconnaissance.
Je disais ça de même...
En juin 2007, j'avais écrit un texte qui a été publié dans l'hebdo des Iles-de-la-Madeleine. C'était en réponse à un faux scoop du Journal de Québec qui dénonçait les soins à la Villa plaisance où maman était soignée. Bien sûr que je prenais la part des employé(e)s de la Villa. Lor de ma visite subséquente cette année-là, t'aurais dû voir les sourires (et les mercis verbaux) qu'on m'adressait... Je n'avais pourtant dit que la vérité.
RépondreSupprimer@ Zoreilles
RépondreSupprimerMon texte est à cette adresse :
http://planete.qc.ca/micheldanis/micheldanis-962007-132761.html
Ah il est fabuleux, ton texte de juin 2007, je l'avais jamais lu...
RépondreSupprimerLe journaliste dont tu parles avait publié à la une du Journal de Montréal (un dossier complet jusqu'en page 5 si je me souviens bien) son classement biaisé et tordu des « pires CHSLD au Québec », je connais l'histoire par coeur pour l'avoir vécue de l'intérieur, parce que mon client était mentionné le premier en tête de sa liste (laissant supposer qu'il était le pire des pires au Québec) le journaliste ayant bien pris soin de ne pas mentionner que son classement était par lettre alphabétique.
On a eu tellement de misère à remonter le moral des troupes chez nous... Pis les journalistes nous lâchaient pas. Eux autres, ils voulaient fouiller ça, c'était un cadeau du ciel, heille toué chose, ça venait d'un supposé journaliste d'enquête de Monrial, ça se garrochait comme des mouches sur du miel, ça devenait du harcèlement à la fin.
Le pire, c'est que le journaliste n'avait pas fait un vrai travail d'enquête, il avait simplement repris les données en vrac des rapports d'inspection interne du Ministère de la Santé et des Services sociaux auxquels les corrections avaient déjà été apportées depuis un bon moment. Il fait toujours ça, lui, et il illustre ses propos de photos choc et misérabilistes qu'il met en scène lui-même.
C'est épouvantable ce que ça peut faire de dommage et comment ils peuvent influencer l'opinion publique, inquiéter les familles sans compter qu'ils mettent énormément de pression inutile sur le personnel qu'ils viennent démobiliser totalement.
J'aurais souhaité que ton article ait beaucoup plus d'impact que celui du pseudo journaliste d'enquête du Journal de Montréal. Kestuveu, de la bonne nouvelle, ça vend pas...
En lisant ton texte, je me souvenais que Jocelyne à mon oncle Will pouvait ben dire que tu l'impressionnais!!!
Cou'donc, on était tu en train de « tchatter » nous autres là?
RépondreSupprimer;o)
vendredi 22 janvier, même heure, autre poste,Ahuntsic, Denys et moi 7.20 pour une prise de sang ... ouverture 7.30, numéro... etc... nous deux dans la voiture 7.45...
RépondreSupprimerEfficace tu dis !
Zoreilles a raison on devrait leurs dire, mais pas trop fort...au cas ou ils ralentiraient, question de donner raison aux détracteurs.
La vieille Foy