Dans Vancouver même, ya pas beaucoup de montagne. La ville est collée sur la beach de l’océan Pacifique. Mais quand vous êtes dans la ville, vous voyez les montagnes au loin. Pas si loin. Mettons entre 50 et 60 minutes du centre-ville pour arriver au pied de la montée.
Souvenir. Nous arrivons en kekpart dans une des montagnes avoisinantes. Denys, Manon, Jean-Louis et Marlene avec le blogueur. Ya un sentier à suivre, bien balisé pour une petite ballade pépère que nous amorçons. Quelques écriteaux avertissant les promeneurs que la saison est propice (ou dangereuse) en raison de la présence d’ours … On nous suggère même de porter des grelots qui avertissent les grosses bibittes de notre présence pour ne pas qu’elles soient surprises de notre passage, ce qui serait très mauvais pour notre santé.
Nous faisons le trajet avec une certaine … crainte mais, bon, faut ce qu’il faut.
Nous sommes sur le chemin du retour. Et nous entendons les voix d’un groupe des personnes qui s’en viennent et que nous croiserons dans quelques instants. Mais on ne les voit pas encore.
Le connard que je suis pense à une "bonne" blague. Je me cache dans un buisson bordant le sentier et je planifie que … lorsque ceux et celles qui s’en viennent arriveront à ma hauteur, je bougerai les branches du buisson en faisant un grognement imitant un ours, question de les faire freaker. Ensuite, je sortirai de ma cachette en faisant le clown qui déclare : Just a joke !
Mes victimes approchent. J’entends mieux leurs voix …
Mais … oups, parmi leurs mots, mon oreille a capté quelque chose qui ressemble à un … jappement discret. J’ai alors changé complètement d’idée. Fini la joke. Me suis relevé et replacé mon corps sur le sentier.
J’ai croisé mes victimes appréhendées qui tenaient en laisse deux magnifiques dobermans ...
Pouvez-vous imaginer le scénario si j’avais commencé mes grognements dans le buisson ?
Lucky I was …
Souvenir. Nous arrivons en kekpart dans une des montagnes avoisinantes. Denys, Manon, Jean-Louis et Marlene avec le blogueur. Ya un sentier à suivre, bien balisé pour une petite ballade pépère que nous amorçons. Quelques écriteaux avertissant les promeneurs que la saison est propice (ou dangereuse) en raison de la présence d’ours … On nous suggère même de porter des grelots qui avertissent les grosses bibittes de notre présence pour ne pas qu’elles soient surprises de notre passage, ce qui serait très mauvais pour notre santé.
Nous faisons le trajet avec une certaine … crainte mais, bon, faut ce qu’il faut.
Nous sommes sur le chemin du retour. Et nous entendons les voix d’un groupe des personnes qui s’en viennent et que nous croiserons dans quelques instants. Mais on ne les voit pas encore.
Le connard que je suis pense à une "bonne" blague. Je me cache dans un buisson bordant le sentier et je planifie que … lorsque ceux et celles qui s’en viennent arriveront à ma hauteur, je bougerai les branches du buisson en faisant un grognement imitant un ours, question de les faire freaker. Ensuite, je sortirai de ma cachette en faisant le clown qui déclare : Just a joke !
Mes victimes approchent. J’entends mieux leurs voix …
Mais … oups, parmi leurs mots, mon oreille a capté quelque chose qui ressemble à un … jappement discret. J’ai alors changé complètement d’idée. Fini la joke. Me suis relevé et replacé mon corps sur le sentier.
J’ai croisé mes victimes appréhendées qui tenaient en laisse deux magnifiques dobermans ...
Pouvez-vous imaginer le scénario si j’avais commencé mes grognements dans le buisson ?
Lucky I was …
Je peux juste imaginer... que tu ne serais pas ici pour nous la raconter cette anecdote si t'avais pas si pertinemment changé d'idée!
RépondreSupprimerIndeed ... almost.
RépondreSupprimerC'est bien fait un humain n'est ce pas,
RépondreSupprimerimagine un instant si tu n'avais pas entendu,
le sang aurait coulé,c'est sur, quelle désastre,
pas de Crocomickey,
la désolation sur le blogosphère.
Mais sans les chiens, cela aurait pu être drôle...
Mettons que pour la désolation sur la blogosphère, on va repasser ...
RépondreSupprimer:-)
Crazy mais pas idiot le blogueur...
RépondreSupprimermdr !
Celle là j'la range avec d'autres du même acabit ; y'a qu'à fouiller dans les zarchives !
Il y a de ces matins où l'on a tellement besoin de sourire ! Vous avez réussi ce matin avec votre billet ; je peux même dire que j'ai ri en arrivant aux ''dobbermans.''
RépondreSupprimerMerci pour ce rayon de soleil.
Marjo.
P.S. Oui, je sais. Je suis toujours anonyme, mais j'aimerais être autre...
Pour toi croco, parce que tu le vaux bien....
RépondreSupprimerhttp://en.tackfilm.se/?id=1266591371679RA32
Hey le cousin ! Tu m'as eu pas à peu près.
RépondreSupprimerEssti que j'ai ri !
Merci !!!
Les Dobermans sont de très bons chiens, fidèles et affectueux, pas du tout les monstres inventés par Walt Disney.
RépondreSupprimerJ'aimerais bien avoir une petite doberman brune, avec ses oreilles non mutilées. Je l'appellerais Fanny.
Ceci dit, tu as bien fait de ne pas jouer à l'ours...
:)
J'aurais aimé lire l'éventuel billet si «l'ours» avait fait ce qu'il avait en tête!
RépondreSupprimerAccent Grave
Mais qui donc aurait pu écrire ce massacre ?
RépondreSupprimerMoi???
RépondreSupprimerMais ça n'aurait pas été drôle... Alors j'aime mieux ton mauvais coup manqué, c'est pas mal plus sympathique !
:)
Je te donne en mille de me dire sur quelle montagne tu étais ?
RépondreSupprimerParce que moi je le sais...gna gna gna..
Black Comb peut-être ?
RépondreSupprimerNon non ! Erreur. Je pensais que tu faisais allusion à la photo du texte précédent.
RépondreSupprimerNon je ne connais pas le nom de cette montagne, à moins que ça ne soit Cypress kekchose ...
Bravo !
RépondreSupprimerNOus étions sur Cypress!
tu as de la chance qu'on en parle tant ces jours ci.