C’était un samedi de mars, il y a cinq années. Cabane à sucre à La petite Coulée dans la bourgade de Saint-Esprit, au nord de Montréal. Nous sommes une quarantaine dans une cabane qui en contient environ le triple.
Une randonnée dominicale et familiale avec de nombreux enfants qui couraillent entre les tables. Pas de presse chez ce traiteur. Tu amènes ta boisson et, pour $18, on va te bourrer la face à volonté et ce, sans jamais te pousser vers la sortie pour accueillir la prochaine brochette de clients. Une seule tablée par jour. Sympathique !
Tout ça pour vous raconter comment mon pote (appelons-le Yussef) s’est fait piéger à double tour par sa femme (appelons-la Aisha). Cette dernière mourait d’envie pour aller faire cette petite virée en charrette tirée par la grosse jument et ses clochettes. Mais pas Yussef qui se faisait prier. Et qui se faisait prier encore.
Aisha insiste et Yussef résiste. Vous allez voir ici comment l’islam n’a jamais eu d’emprise sur cette femme. D’un ton sec, Aisha lance à son Yussef : «Si tu m’accompagnes pour la randonnée, en retour, je te ferai deux pipes!».
Changement total d’attitude chez Yussef. Le sourire devient radieux, et il s’empresse d’enfiler son Kanuk pour ne pas manquer le départ de la carriole. Et les tourtereaux quittent la cabane.
Pendant la randonnée, nous informons tous les autres du tour pendable que Aisha s’apprête à exécuter à son Yussef. Une vingtaine de minutes et nous entendons le tintement des clochettes: ils arrivent.
Une fois revenus à l’intérieur, Yussef se défait de son manteau et, juste au moment où il va s’asseoir, Aisha lui lance : «Mon chéri, je vais régler ma dette tout de suite ».
Elle s’approche alors de Yussef et, avec tous les regards convergeants, lui touche deux fois le bout du nez avec l’index en lui disant : «Pip! Pip!»
Une randonnée dominicale et familiale avec de nombreux enfants qui couraillent entre les tables. Pas de presse chez ce traiteur. Tu amènes ta boisson et, pour $18, on va te bourrer la face à volonté et ce, sans jamais te pousser vers la sortie pour accueillir la prochaine brochette de clients. Une seule tablée par jour. Sympathique !
Tout ça pour vous raconter comment mon pote (appelons-le Yussef) s’est fait piéger à double tour par sa femme (appelons-la Aisha). Cette dernière mourait d’envie pour aller faire cette petite virée en charrette tirée par la grosse jument et ses clochettes. Mais pas Yussef qui se faisait prier. Et qui se faisait prier encore.
Aisha insiste et Yussef résiste. Vous allez voir ici comment l’islam n’a jamais eu d’emprise sur cette femme. D’un ton sec, Aisha lance à son Yussef : «Si tu m’accompagnes pour la randonnée, en retour, je te ferai deux pipes!».
Changement total d’attitude chez Yussef. Le sourire devient radieux, et il s’empresse d’enfiler son Kanuk pour ne pas manquer le départ de la carriole. Et les tourtereaux quittent la cabane.
Pendant la randonnée, nous informons tous les autres du tour pendable que Aisha s’apprête à exécuter à son Yussef. Une vingtaine de minutes et nous entendons le tintement des clochettes: ils arrivent.
Une fois revenus à l’intérieur, Yussef se défait de son manteau et, juste au moment où il va s’asseoir, Aisha lui lance : «Mon chéri, je vais régler ma dette tout de suite ».
Elle s’approche alors de Yussef et, avec tous les regards convergeants, lui touche deux fois le bout du nez avec l’index en lui disant : «Pip! Pip!»
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Après avoir entendu l’éclat de rire général, Yussef a semblé hésitant quelques secondes, mais lorsqu’il a compris le vrais sens du Pip Pip, il est devenu rouge comme un homard.
Histoire authentique. Seuls les prénoms ont été arabisés.
Histoire authentique. Seuls les prénoms ont été arabisés.
J'hésite... Ton histoire, elle est salée ou sucrée?
RépondreSupprimerElle est vraie ... tout simplement, sauf les prénoms.
RépondreSupprimerMais moi j'ai compris ta joke en retard ...
RépondreSupprimerTon taux de sucre devait être trop haut!!!
RépondreSupprimer;o)
Attends que je calcule... Ton premier commentaire est à 16:17 et ton deuxième à 17:55, ça t'a tu pris 1 heure 38 minutes à la pogner?
RépondreSupprimerCheck ton taux de sucre!
Une chance que l'anecdote est pas récente, je te diagnostiquerais une overdose de sirop d'érable.
Très belle histoire. Tellement plausible aussi.
RépondreSupprimerOuin! T'sé, le temps des sucres, c'est ça! Comme le jour de l'an pis les poissons des chenaux!
Pip! Pip!
Si je comprends bien, c'est une histoire de langue?
RépondreSupprimerTu peux prendre tout ton temps pour répondre!
Ya des p'tits comiques sur les ondes ...
RépondreSupprimer:-)
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