C’était tôt dans la soirée. Dix-sept heures aux Francofolies, sous la sympathique tente Slam. Genre 200 chaises devant le stage sous la tente. L’heure venue, c’était plein. Beaucoup de matantes, ai-je remarqué (des dames de … mon âge).
Et il est arrivé simplement, a pris sa guitare et nous a chanté ses tounes. Simplement, sans artifice, avec des solos de guitare sèche où il manquait parfois une ou deux notes mais, tous, on s’en foutait royalement. On voulait juste l’écouter avec cette voix qui en arrachait un peu (mais pas trop) dans les hautes notes. À peine trois chansons au clavier en raison de cette maudite arthrose et ce doigt qui devient croche, nous a-t-il avoué.
Un vieux de la vieille, toujours agréable à entendre. Le tout gratuit en ce début de soirée ensoleillée de fin de printemps, aux extrémités de cette magnifique nouvelle place des spectacles. De quoi nous rendre heureux d’être montréalais …
Merci Stephen Faulkner …
On commence tranquillement ...
On étire les cordes vocales ...
Avec un solo de guitte ...
Tes photos sont super bonnes et vraies. J'aime beaucoup ça.
RépondreSupprimerDe tes mots, je retiens qu'on a le droit de ne pas être parfait et que ça n'enlève en rien l'intérêt.
J'aurais été content de lire ça dans le Voir... Mais bon. Ils ne peuvent pas être parfait. ;-)
Je saisis ton commentaire comme un vrai compliment et je t'en remercie.
RépondreSupprimerCool, Darling!
RépondreSupprimerÇa donne une grosse envie à l'expatriée que je suis de rentrer vite en terre québécoise!
Photos et texte tous deux dignes d'admiration.
ayoye, tes photos et tes commentaires sont à la hauteur de l'auteur et du chanteur, merci le bonheur dans l'imperfection, c'est ce que tu as vécu avec ce vieux de la vieille.
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