... est sûrement pénible pour Gilles Duceppe aujourd'hui ... L'ancien préposé aux bénéficiaires est quand même assuré d'une très belle pension lui aussi mais ... pas dans le pays qu'il souhaitait.
Duceppe? Une pension? Il l'a méritée, après 20 ans au Bloc Québécois.
Disons que je suis pas inquiète pour son hypothèque...
Mais comme ces gens-là ont besoin d'être utiles à la cause, après avoir encaissé le coup, je le verrais bien comme stratège politique au Parti Québécois (en coulisses). Gilles Duceppe ne sera jamais loin de tout ce qui grouille et grenouille autour de la souveraineté du Québec. C'est la cause de sa vie. C'est pas à Ottawa qu'elle va se faire, la souveraineté, c'est au Québec. Surtout depuis le 2 mai...
Il faut « recycler » ces gens-là rapidement, les candidats défaits du Bloc, et profiter du momentum qui s'offre à nous. Sinon, on aura manqué notre coup... une autre fois.
Ça nous prendrait un « bon Jack » capable de rallier toutes les forces souverainistes qui ne vont pas manquer de se multiplier sous un gouvernement conservateur majoritaire. Allez hop, on a deux ans pour faire ça, c'est le temps d'y voir, pas le temps de brailler sur notre sort.
s'il peut comprendre qu'on a maintenant besoin de son expertise sur la scène provinciale...à nous le Québec!
RépondreSupprimerJe suis pas trop pro-Duceppe moi ...
RépondreSupprimerDuceppe? Une pension? Il l'a méritée, après 20 ans au Bloc Québécois.
RépondreSupprimerDisons que je suis pas inquiète pour son hypothèque...
Mais comme ces gens-là ont besoin d'être utiles à la cause, après avoir encaissé le coup, je le verrais bien comme stratège politique au Parti Québécois (en coulisses). Gilles Duceppe ne sera jamais loin de tout ce qui grouille et grenouille autour de la souveraineté du Québec. C'est la cause de sa vie. C'est pas à Ottawa qu'elle va se faire, la souveraineté, c'est au Québec. Surtout depuis le 2 mai...
Il faut « recycler » ces gens-là rapidement, les candidats défaits du Bloc, et profiter du momentum qui s'offre à nous. Sinon, on aura manqué notre coup... une autre fois.
Ça nous prendrait un « bon Jack » capable de rallier toutes les forces souverainistes qui ne vont pas manquer de se multiplier sous un gouvernement conservateur majoritaire. Allez hop, on a deux ans pour faire ça, c'est le temps d'y voir, pas le temps de brailler sur notre sort.