C'était le cadeau de Nowell de ma soeur Louise : un dîner avec Guy Lafleur. Et ce fut vraiment, mais vraiment, agréable. Ce qu'on vous dit de Flower dans les médias relativement à sa simplicité, hé bien c'est véridique. Il a passé une belle demie-heure avec nous deux, après quoi il est parti chercher son fils. Souvenirs du passé certes, mais d'autres choses plus intimes sur la vie d'aujourd'hui et quelques potins sur la vie nocturne de certains joueurs de l'édition actuelle des Habs. Non ! Non ! Vous ne saurez rien bande de curieux. Pour faire différents, nous avons donné deux petits cadeaux à Guy. Un bâton (le sien) qui a servi à compter le but vainqueur de la Coupe Stanley de 1976 (Lou lui a "prêté" l'objet à long terme). Et je lui ai donné un laminé des pages centrales de La Presse (30 mars 1991) sur lequel sont inscrits les plus beaux messages de ses fans (le mien compris). L'objet sera installé dans son bureau m'a-t-il promis.
Comme je te connais, tu devais avoir des papillons dans l'estomac.
RépondreSupprimerTu lui a rappeller son vieux surnom de "jofflu" ??????
RépondreSupprimerJofflu ? C'est toi qui vient de me le rappeler !!!
RépondreSupprimerNon Marc. J'étais étonament serein ...
Belle photo! Croco.
RépondreSupprimerUne sacrée belle rencontre, d'après ce que je comprends! Je me demande lequel des deux était le plus heureux, Guy Lafleur ou toi?
RépondreSupprimerMais c'est peut-être aussi Talou, qui a joué au Père Nowell d'une façon magistrale. D'ailleurs, c'est probablement elle qui a fixé sur pellicule ce moment pour que tu le partages avec nous.
Guy Lafleur, c'est un grand, pas juste au hockey. Et les grands sont la plupart du temps des gens simples, authentiques et chaleureux.
tu as tout compris Zoreilles... C'est Talou qui est la grande gagnante!
RépondreSupprimerre -;))))))
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