Dans le titre et dans l'article, l'agence QMI de Québécor écrit que Legault est pour une commission d'enquête publique à "
huit clos" . Pas le HUIS clos, mais le HUIT clos.
Fermé huit fois, c'est fermé en ta ...
Oups ! Je leur ai écrit et ... ils ont fait la correction dans la minute qui a suivi ...
Ça me fait penser au chroniqueur local, qui ne pouvait tolérer les fautes d'autographes...
RépondreSupprimerCè bin pour dzire !
RépondreSupprimerLes fôtes ça peut aller sur facebook ou sur un blogue. Mais dans un médium national, me semble qu'un peu de rigueur ...
RépondreSupprimerDe la rigueur, chez Québécor..Hahaha!
RépondreSupprimerRicdam
Très bon texte de Normand Lester..
RépondreSupprimerhttp://www.vigile.net/Comment-se-debarrasser-de-Jean
Ricdam
Effectivement. Il tape dur sur Charest et les mafieux ...
RépondreSupprimerPour la faute du JdM, un dénommé Patrick White a même pris le temps de me répondre pour me remercier, me disant que c'était le correcteur d'orthographe qui avait fait l'erreur de changer le huis pour le huit.
RépondreSupprimer??????
Croco, le chroniqueur dont je parle, écrivait dans le journal local, propriété de Québecor, hoooo...
RépondreSupprimerS'il fallait relever toutes les fautes qu'on lit dans nos hebdos régionaux ici... (Québécor et Transcontinental mais Québécor est pire).
RépondreSupprimerDes fois, ça me choque! J'ai vu des grosses fautes de deuxième année B dans les titres, même une fois, à la une, c'est épouvantable.
Mais je leur écris jamais pour leur dire, parce qu'avec mon métier, j'ai pas intérêt à me mettre à dos les journalistes et pire encore, les rédacteurs en chef. Et si la rigueur diminue tout le temps pour l'orthographe et la langue, la même chose se produit pour le contenu de l'information. Des fois, c'est tellement évident que le journaliste comprend pas ce qu'il écrit...
Alors vive les hebdos régionaux liiiiibres !
RépondreSupprimer:-)