samedi 31 décembre 2011

Simplement


À ceux et celles qui vont lire cette phrase,
je vous souhaite une année 2012 à la mesure ...
de vos attentes.

Vraiment.

lundi 26 décembre 2011

Mac oubedon PC

Je vous l’ai dit, on m’a  volé mon ordi. C’était un Mac.

Je n’étais pas assuré.

Mon pote Robin m’a dépanné en me prêtant un mini portable auquel  j’ai pu ajouter une souris (je suis nul avec un senseur) et un bel  écran de 22 pouces (comme mon beau Mac), gracieuseté de ma gentille sœur cadette.

Mais le centre de ce système de dépannage (le mini ordi compaq), je devrai le changer d’ici quelques semaines. Primo, il est lent pour l’impatient congénital que je suis (mémoire vive insuffisante) et deuxio, c’est trop … petit.

À la maison, au fil des années, j’ai eu trois ordis. Un vieux Mac usagé pendant trois ans. Puis un PC neuf pendant 6 ans qui est mort d’accumulation de virus. Puis le magnifique Mac ces deux dernières années. Avec un mélange Mac ou PC dans les bureaux que j'ai fréquentés pour mes emplois.

Placotage avec des amis pour … la suite. Certains me suggèrent un portable PC avec souris et clavier sans fil, plus le grand écran (que j’ai désormais). L’avantage avec ce que j’avais c’est, bien sûr, le portable que je pourrais apporter avec moi pour la première fois de ma carrière d’ordinosaure. Les autres conseillers sont unanimes, quasi-pédants = vas-y avec Mac, le reste ne vaut pas de la schnoutte !

Premier élément à considérer = le prix. T’as un ordi PC performant pour $400-$500 alors que le Mac se détaille à presque $1200. Un PC portable efficace, mettons $650 versus le Mac portable proche de $1500.

Les avantages de Mac (il en faut pour défrayer deux fois plus cher) sont, bien sûr, la quasi-totale protection contre les virus de tous genres , mais aussi la configuration générale pour l’usager ordinaire d’un ordinateur. Tout est plus simple et rapide. Exemple simple : tu cliques sur l’icône d’un texte et il apparaît illico sur le Mac alors que le PC va te présenter, pendant quelques secondes, l’image d’intro du Word 2010. Grrr ! Et sur le web, le classement des favoris se veut génial avec le Mac. Et plein d’autres choses encore que mon impatience gobe quotidiennement depuis quelques jours avec le PC. Mais bon, je m’y ferai peut-être avec un PC plus moderne et plus efficace que mon actuel Mini-Compaq de ce cher Robin.

Si le budget de remplacement ne me faisait pas sourciller, j’opterais évidemment pour Mac. Je suis désormais assuré. Donc le dilemme ne se posera plus si d’autres trouducs viennent me voler (ceci n’est pas une invitation). Mais bon,  va me falloir décider d’ici quelques semaines (ou mois). Six bruns ou quinze ? Oublions la fortune quelques instants, vous feriez quoi ?

La modération

Samedi soir, un seul verre de vin pour le repas.

Dimanche, un seul verre de vin dans le party des Brisebois.

Fa que, aujourd'hui, ce sera une seule ... bouteille de vin !

Oups ! Je commence la deuxième ...

samedi 24 décembre 2011

Dans toute sa splendeur


Elle n'avait pas encore 24 heures sur terre.
Mais elle savait relaxer dans son bain à l'hôpital

Première image pour mes yeux
Sur l'écran du téléphone de ma fille
Dans le brouhaha du bistro ...

vendredi 23 décembre 2011

India est arrivée !

La semaine dernière, elle apparaissait dans toute sa splendeur : la fille de mon fils JF et sa chère Victoria, mais aussi désormais la soeur de James. Pas encore pris de photo because les trouducs qui sont venus chez nous ...

India est magnifique (comme tous les nouveaux-nés, vous entends-je murmurer...) et j'ai presque halluciné en observant ses doigts infiniment minuscules et infiniment longs saisir l'index de sa maman. On ne s'habitue jamais à ces images sublimes avec nos proches.

Et je n'ai pu m'empêcher de remarquer le nom que portera ce terrible duo d'enfants :

INDIA  JAMES !

Attention à vous autres !!!

mercredi 21 décembre 2011

Tabar ... !

Certains d'entre vous connaissent la raison de mon absence sur ce blogue depuis le 9 décembre. Cette journée-là, en fin d'après-midi, un ou deux trouducs sont entrés chez moi pour voler mon ordi (mon beau Mac d'amour !) et ma caméra Canon.

Le blogueur n'étant pas assuré, le remplacement ne s'est pas fait illico. Grâce à ce cher Robin qui m'a gracieusement prêté un portable, je suis donc en mesure de reprendre le ... clavier et traverser la période des Fêtes  avec un ordi et prendre le temps de bien planifier le vrai remplacement et affronter à nouveau le terrible dilemne de la guerre PC vs Mac !

Un dernier mot sur le vol : ce n'est pas tant le vol et la perte qui m'ont affecté sur le coup. En constatant le barda dans le salon, c'est le viol de mon intimité qui est ressorti dans mes pensées. Quelqu'un était venu fouiner dans mes affaires. Grrr ! Très désagréable comme sensation, je vous l'assure.

Mais la vie doit continuer et vivement l'année 2012 !

mardi 20 décembre 2011

J'arrive !

Ce ne sera pas long = me manque un clavier qui permet les accents sur les E ... !!!

vendredi 9 décembre 2011

Contes Urbains, Cuvée no 17

Cette année, les Contes Urbains présentait un certain thème : les comédiens pour jeunesse de notre enfance devenaient les conteurs modernes dans les nouveaux locaux de La Licorne.

D'entrée de jeu, nous avons eu droit à Marcel Sabourin, le fameux Mandibule de la Ribouldingue. Sympathique à souhait, le cher Marcel n'a pas décroché la lune avec ce texte improvisé tout droit sorti de son cerveau "astral". En fait, ça n'était nullement un conte urbain dans la forme à laquelle nous sommes habitués. Mais, la réputation aidant, Marcel s'en est bien sorti et récolté sa part d'applaudissements.

Ensuite, madame Passe-Partout, Marie Eykel, nous est arrivée chiquement vêtue avec sa valise, prête à partir rejoindre son amie Maryse quelque part sur le globe. Un texte de Chrystine Brouillet qui a fait ressortir son côté matante branchée sur les vins et la bouffe de luxe. Personnellement, sur la centaine de contes que j'ai vu en 15 ans, je placerais celui-ci dans les hautes sphères de ma liste des ... contes insipides. Pas la faute de Marie Eykel mais au texte plattttte et sans punch.

Puis Fanfan Dédé, André Richard, est venu nous raconter sa sortie de prison et sa rencontre avec Bouboule. Très ordinaire avec un comédien hésitant souvent et maîtrisant mal son texte écrit au passé simple, un langage mal approprié pour un repris de justice !!! Je dois avouer que je savais d'avance que les trois premières prestations de cette cuvée se voulaient ordinaires et j'en remercie les critiques que j'avais lues à l'avance. Je savais que les trois derniers allaient racheter ce début ordinaire alors, vivement les autres !!!

Nous arrive alors la superbe Anne Casabonne venue nous réciter "Je les connaissais" de Michel Marc Bouchard, un habitué très efficace des Contes Urbains. La Casabonne a carrément assommé l'auditoire avec sa prestation. Ouf ! Des phrases et des phrases qui débordent à une vitesse ahurissante, dans un contexte hautement émotif, et pas une seule erreur, pas un seul bégaiement, pas un seul mot raté dans ce tsunami verbal. Rires fréquents de la foule, malgré le tragique, tellement elle parlait vite et sans bavure de ses voisins affectés par le drame. Chapeau pour cette performance magistrale.

Puis la Souris Verte est arrivée. Louisette Dussault s'implique dans le conte puisque c'est d'elle et sa soeur jumelle dont il est question dans "Les cagoules rouges", une bande de féministes québécoises totalement anonymes et totalement ... heavy ! La foule adore les confidences de la belle ... septuagénaire qui nous raconte même que, ben saoule et debout sur une chaise, elle avait chantée la célébrissime chanson mythique ... en se trompant d'animaux. Du bonbon !

Ensuite, pour la finale, est arrivé un espèce de malade mental que vous pouvez voir ci-après : Jean-François Gaudet !

Sur un texte halluciné de Fabien Cloutier (Ousqu'yé Chabot et Scottstown), Gaudet nous a raconté ses péripéties sexuelles gaies avec son Denis. Je vous le dis tout de go : des rires aux dix secondes pendant 25 minutes. La blonde-rousse en est sortie totalement essoufflée d'avoir tant ri. Vulgarité extrême totalement acceptée par l'auditoire et la création d'un nouveau verbe hautement comique : "Va-t-il me ... feller ?". Et la chanson d'amour (sur un air de Cat Stevens) a complètement étourdi le pauvre spectateur de la première rangé qui s'est vu imposer le rôle du fameux Denis. Mon chum Sly (qui vit désormais à Rimouski) avait subi le même sort la semaine dernière sous les yeux moqueurs de sa mère et sa Shirley ... Et la binette innocente de Jean-François Gaudet, obsédé pas l'aspect hygiénique des sodomies qu'il subissait. Que des sourires dans le visage des spectateurs quittant la salle. Ça veut tout dire !

mercredi 7 décembre 2011

Surprenant !

Dans les statistiques sur les noms de familles au Québec, sans surprise, les Tremblay arrivent en tête avec 1,076 % des québécois. Les Gagnon arrivent en deuxième place avec 0,790 %. Et les ... Nguyen arrivent en 130e place avec 0,122% de la population.

Mais à Montréal, les Tremblay sont toujours premiers, suivis par ... les Nguyen ! Genre 10,800 Tremblay, 5500 Nguyen et 5400 Gagnon.

Sans blague !

lundi 5 décembre 2011

Le petit gars d'Hergé

Bien hâte d'aller voir ce film de Tintin réalisé et produit par Spielberg. Tous lus bien sûr, mais surtout racontés des dizaines de fois à mes deux enfants avant le coucher. Le tout avec une frénésie folle pour les faire réagir vivement. Ma voix du Capitaine Haddock enragé était remarquable, dois-je avouer humblement.

Qui plus est, j'ai appris que c'est Jamie Bell qui a fait les exercices physiques enregistrés pour le personnage Tintin. Il s'agit du jeune homme qui incarnait Billy Elliott dans le magnifique film du même nom. Le jeune homme danse encore, paraît-il.

Je vous en reparle après le visionnement.

dimanche 4 décembre 2011

Deux imbéciles

On a arrêté samedi un jeune homme de 21 ans relativement au vol d'ossements humains dans un cimetière de Québec. Il avait un complice qui sera bientôt arrêté à son tour.

Semblerait qu'il n'y avait rien de satanique dans leurs intentions. Les jeunes hommes s'étaient donné le défi de déterrer un mort et voler le crâne.

Deux parfaits imbéciles. On a beau dire qu'ils sont jeunes et que c'est l'âge pour triper et faire des folies : celle-là est difficilement explicable. Tellement imbécile que leur avocat pourra quasiment plaider la débilité mentale pour leur éviter les cinq années maximum de prison dont ils sont passibles.

Ça s'est passé au cimetière Saint-Charles dans le gros village de ... Québec.