Vous le savez parce que je le
répète souvent : je suis abonné à la Presse depuis plus de trente années.
Et Lysiane Gagnon écrit dans la Presse depuis plus de trente années aussi (sauf
erreur). Même que depuis une quinzaine d’années (environ), elle est devenue
columnist et sa colonne apparaît désormais juste à côté des … éditorialistes de
Power Corp, alias Gesca. Malgré ma fidélité au quotidien, j’ai toujours été
réfractaire à l’opinion politique fédéraliste de la direction et, forcément,
des éditorialistes porte-parole des proprios. Depuis plusieurs années, madame
Gagnon n’est plus la jeune contestataire qu’elle était. Rangée la madame et
désormais fortement rapprochée de la pensée ‘’lucide’’ des gens du pouvoir. Une
matante de l’info …
Mais jeudi matin, elle amorce sa
colonne comme suit :
Gary Who? Que les amateurs de
baseball me pardonnent, ce nom m'était parfaitement inconnu jusqu'à ce que la
mort de Gary Carter fasse les manchettes.
Hey ! Ça fait trente années que tu
écris dans la Presse. De 1972 à 1984, le gars a joué au baseball à Montréal.
Une superstar qui a fait la manchette des centaines de fois dans ton propre
journal où tu te retrouvais chaque jour en côtoyant forcément tes collègues du
cahier des sports et tu ne te souviens pas du Kid ? Tu ne lisais pas la Presse
? Te rappelles-tu de Youppi la mascotte ? Même qu’à l’époque, Roger D. Landry,
ton ex-directeur à La Presse, est devenu directeur marketing des Expos …
Feriez-vous un début d’Alzheimer madame Gagnon ?
Entendre parler de Gary Carter pour
la première fois de sa vie en février 2012, quand t’es montréalaise et
journaliste depuis toujours, c’est de la foutaise madame Chose. C’est quoi
votre nom de famille déjà ?
Ça t'a fait du bien d'en parler, j'suis sur ;-))
RépondreSupprimer@Anonyme...
RépondreSupprimerTu connais très bien mon frère...
Moi, tout le long de la lecture, c'est lui que j'entendais dans ma tête et je suis certaine que je suis pas mal proche de la réalité.
Mon grand frère a toujours eu beaucoup de difficulté à trouver un grain de patience pour la nullité...
C'est de madame qui que tu parlais Croco?
J'pense qu'on va tous gagner à ignorer l'insignifiante... Non, mais il faut être niaiseuse et pas juste un peu...
J'ai pas lu, mais j'espère, j'espère qu'il y avait un peu de deuxième degré dans sa colonne et que tu as choisi de l'ignorer... Sinon...
Respire Croco, respire!
:)
Effectivement Talou, j'le connais très bien Hahaha!
RépondreSupprimerRicdam :-)
P.S. Quelle tarte, en effet, la Lysiane.
L'Anonyme de Montréal !!!
RépondreSupprimerMême moi je connaissais Gary Carter.
RépondreSupprimerGrand-Langue
J'adore ton billet!
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