Je peux bien vous la compter maintenant qu’il n’est plus là et que le resto est fermé.
C’est un chef français arrivé dans les Iles il y a une dizaine d’années pour mettre sur pied un resto de classe. S’est trouvé une copine dans la place qui est devenue son associée et qui s’occupait principalement de l’accueil des touristes et du service aux tables. Succès complet du resto en question.
Quelques années passent et l’union amoureuse tire de l’aile à un point où la demoiselle va quitter son prince et mettre un terme à la liaison amoureuse et l’association d’affaires. Le chef engage une nouvelle personne pour suppléer.
Le temps passe toujours et un soir de spleen et d’alcool bien calé, notre chef s’installe devant son ordinateur et pianote sur son clavier un courriel torride, voire cochon et un tantinet vulgaire pour le vocabulaire. Son ancienne lui manque terriblement …
Ya rien là, me direz-vous en bon québécois. Le punch arrive. Après le point final de la missive sirupeuse, l’amoureux ivre et triste a pesé sur … send all !
Toutes les personnes de son carnet d’adresse ont reçu le courriel. Les amis, les connaissances, les voisins, les collègues, les pêcheurs, les relations d’affaires, alouette ! Bref tout le monde. Vous imaginez l’expéditeur qui réalise sa gaffe ? Vous imaginez le sourire en coin de certain(e)s de ses interlocuteur(trice)s dans les semaines suivantes ?
C’est une mésaventure que je ne vous souhaite point …
C’est un chef français arrivé dans les Iles il y a une dizaine d’années pour mettre sur pied un resto de classe. S’est trouvé une copine dans la place qui est devenue son associée et qui s’occupait principalement de l’accueil des touristes et du service aux tables. Succès complet du resto en question.
Quelques années passent et l’union amoureuse tire de l’aile à un point où la demoiselle va quitter son prince et mettre un terme à la liaison amoureuse et l’association d’affaires. Le chef engage une nouvelle personne pour suppléer.
Le temps passe toujours et un soir de spleen et d’alcool bien calé, notre chef s’installe devant son ordinateur et pianote sur son clavier un courriel torride, voire cochon et un tantinet vulgaire pour le vocabulaire. Son ancienne lui manque terriblement …
Ya rien là, me direz-vous en bon québécois. Le punch arrive. Après le point final de la missive sirupeuse, l’amoureux ivre et triste a pesé sur … send all !
Toutes les personnes de son carnet d’adresse ont reçu le courriel. Les amis, les connaissances, les voisins, les collègues, les pêcheurs, les relations d’affaires, alouette ! Bref tout le monde. Vous imaginez l’expéditeur qui réalise sa gaffe ? Vous imaginez le sourire en coin de certain(e)s de ses interlocuteur(trice)s dans les semaines suivantes ?
C’est une mésaventure que je ne vous souhaite point …
Cette chose très inconfortable et angoissante m'est aussi arrivée un jour.
RépondreSupprimerPour ma part y'avait pas de "crudité" dans mes termes mais mon récit (parce que je fais aussi dans le x x x à l'occasion)était pas mal pas mal explicite.
Trop de gens que je connais on appris sans le vouloir et sans que je le veuille aussi que j'étais peut être un peu plus coquine que ce que j'en ai l'air.
C'est très loin derrière moi et on ne m'en parle plus maintenant mais... ça a très certainement contribué à ma paranoïa.
Et j'étais même pas saoule!
C'est vrai que t'es jamais "crue" dans tes élans. Et ça reste trippant à lire. D'autres utilisent des termes plus directs mais demeurent quand même dans la route de la vie exprimée sincèrement. Et finalement, il y a les autres qui, volontairement, veulent scandaliser ou se défouler dans les mots, à défaut d'y parvenir physiquement. Je pense que mon chef des Iles ne cherchait rien d'autre que d'exprimer sa peine dans l'intimité ... et ce fut énormément ... raté !
RépondreSupprimerVoilà bien un risque auquel j'échappe totalement. Très extrêmement consciente que « les écrits restent », encore bien plus qu'avant avec les messages électroniques qui n'ont fait que décupler ces dangers-là.
RépondreSupprimerAlors, je peux écrire des méchantes niaiseries des fois mais jamais des propos du genre XXX. D'ailleurs, ceux-là, il vaut toujours mieux les chuchoter directement! ;o)
Tout à fait d'accord avec Zoreilles sur le sujet... Eille, en passant, tu ne visites plus mon blogue, Croco ?
RépondreSupprimer@ rosie : pas quand t'es en vacances ... :-)
RépondreSupprimerJe suis rentrée, darling ! :-)
RépondreSupprimerQuand tu auras une seconde, prends le temps de voir les photos de ma puce que j'ai affichées à l'occasion de son 19e anniversaire de naissance... Ciel, que le temps file ! Hier encore, elle n'avait que quelques mois...
J'avais tout vu ça ma chère.
RépondreSupprimerMe demandait pourquoi t'as pas fait signe lors de ta trempette à Montréal.
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