Parmi ceux et celles d’entre vous qui viennent lire mes élucubrations, mes anecdotes et mes balivernes (pas prétentieux le blogueur …), je me pose la question : combien (ou quel pourcentage pour être un peu scientifique) ont déjà joué au golf ? Combien apprécient ce sport ? Combien s’en moquent en le qualifiant de snobinard ? Combien s’en contresaintciboirisent ?
Le tournoi du bureau ou de la compagnie ? Drôle et sympa avec les occazes de fraterniser avec les collègues ailleurs qu’au party des Fêtes. Rien de sérieux, fous rires garantis sur les ratés, des histoires à raconter et patati et patata.
Une expression connue chez les habitués : la piqûre du golf. Jouer une première ronde, marcher les 18 trous et additionner le score catastrophique. En rire. Mais, retourner jouer une deuxième ronde quelques semaines ou mois plus tard et constater que … ça va mieux. Moins nono. Plus subtil. Avec une dizaine de coups en moins sur le total… Intriguant ! Avec en mémoire un ou deux élans franchement surprenants, voire impressionnants. Mais juste deux … sur les 125 du total.
La belle Denise, maman de nos deux enfants, n’avait rien à voir avec les sports. Même pas d’intérêt pour les Canadiens quadruple vainqueurs de la grande Coupe entre 76 et 79. Denise et les sports, fallait oublier ça.
Une dizaine d’années après qu’on se soit laissés, Denise a joué sa première partie de golf. Bing ! La piqûre, mais concentrée et intoxiquante. Une véritable passion qui lui a même donné l’élan pour mettre le X définitf sur la nicotine. « Je veux jouer jusqu’à 80 ans » m’a-t-elle expliqué. Il y a deux étés, j’ai inscrit un coup de plus qu’elle sur mon total de la journée. Notre fils se marrait …
Ne faut pas se moquer du golf quand on ne connaît pas. C’est un sport magnifique, un défi avec soi-même, un test permanent de self-control, un apprentissage sur beaucoup d’aspects pas nécessairement sportifs, une journée tellement tellement verte, les amis qui murmurent d’admiration ou qui retiennent leur fou-rire, la politesse et le respect essentiels et si faciles à observer et parfois, un renard qui traverse le green avec un siffleux dans la gueule…
Ce weekend, les fans de golf vont se délecter avec le US Open, un des quatre tournois majeurs de l’année qui se joue toujours sur un terrain très difficile. Le dieu Tiger Woods est de retour après quelques mois d’abstention suivant une opération au genou. Déjà, après deux rondes (sur quatre), il farfouille avec un seul coup de retard sur le meneur. Démentiel !
Mais je me risque : dimanche, le vainqueur sera Luke Donald. Le jeune homme est dû, me semble-t-il.
Le tournoi du bureau ou de la compagnie ? Drôle et sympa avec les occazes de fraterniser avec les collègues ailleurs qu’au party des Fêtes. Rien de sérieux, fous rires garantis sur les ratés, des histoires à raconter et patati et patata.
Une expression connue chez les habitués : la piqûre du golf. Jouer une première ronde, marcher les 18 trous et additionner le score catastrophique. En rire. Mais, retourner jouer une deuxième ronde quelques semaines ou mois plus tard et constater que … ça va mieux. Moins nono. Plus subtil. Avec une dizaine de coups en moins sur le total… Intriguant ! Avec en mémoire un ou deux élans franchement surprenants, voire impressionnants. Mais juste deux … sur les 125 du total.
La belle Denise, maman de nos deux enfants, n’avait rien à voir avec les sports. Même pas d’intérêt pour les Canadiens quadruple vainqueurs de la grande Coupe entre 76 et 79. Denise et les sports, fallait oublier ça.
Une dizaine d’années après qu’on se soit laissés, Denise a joué sa première partie de golf. Bing ! La piqûre, mais concentrée et intoxiquante. Une véritable passion qui lui a même donné l’élan pour mettre le X définitf sur la nicotine. « Je veux jouer jusqu’à 80 ans » m’a-t-elle expliqué. Il y a deux étés, j’ai inscrit un coup de plus qu’elle sur mon total de la journée. Notre fils se marrait …
Ne faut pas se moquer du golf quand on ne connaît pas. C’est un sport magnifique, un défi avec soi-même, un test permanent de self-control, un apprentissage sur beaucoup d’aspects pas nécessairement sportifs, une journée tellement tellement verte, les amis qui murmurent d’admiration ou qui retiennent leur fou-rire, la politesse et le respect essentiels et si faciles à observer et parfois, un renard qui traverse le green avec un siffleux dans la gueule…
Ce weekend, les fans de golf vont se délecter avec le US Open, un des quatre tournois majeurs de l’année qui se joue toujours sur un terrain très difficile. Le dieu Tiger Woods est de retour après quelques mois d’abstention suivant une opération au genou. Déjà, après deux rondes (sur quatre), il farfouille avec un seul coup de retard sur le meneur. Démentiel !
Mais je me risque : dimanche, le vainqueur sera Luke Donald. Le jeune homme est dû, me semble-t-il.
J'ai la piqûre moi aussi. Je n'Ai pas encore joué de ronde mais j'ai été taper des balles. Le temps me manque pour faire tout ce que je veux faire dans une semaine, et je compte bien jouer une petite partie bientôt.
RépondreSupprimerC'est mon chum qui me montre à jouer, je suis novice mais j'aime ça jouer!
T'es cuit mon cher. Tu vas adorer taper la petite balle. Et tu vas aussi rager certaines fois de ne pas réussir un coup maintes fois réussi précédemment. Avec les amis, belle journée garantie...
RépondreSupprimerMoi je n'ai jamais joué et c'est pas un sport qui m'interresse par contre, je sais que j'aimerais peut être ça si j'osais une première fois.
RépondreSupprimerJe ne suis pas une fille qui ose. C'est tout là mon problème.
Bon été de golf
Quel bon souvenir que celui du renard à St-André par un magnifique matin d'été. Une chance qu'il avait déjà un siffleux, j'aurais pu me faire mordre un mollet.. :-)
RépondreSupprimerMes beaux parents sont des fana...
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne je n'ai jamais joué, un jour peut-être... Mais de loin comme ça je ne crois pas que ce sera mon truc...
Les filles, vous devriez avoir une courte conversation avec Denise : elle aurait les arguments pour vous convaincre d'aller taper des balles dans la verdure.
RépondreSupprimer@Ricdam : avais-tu réussi ton roulé après le passage du renard ? Me rappelles pas ...
Pour répondre à ton sondage éminemment scientifique, il faudra que tu ajoutes ma réponse du côté des « Pas très golf, non ». Pourtant, j'aime tout dans la vie!
RépondreSupprimerJ'ai déjà joué. Une fois. Avec trois gars. Sur un beau terrain. J'étais très préoccupée par l'étiquette, j'ai tout le temps de peur de déranger, moi. Devant nous, des pros, derrière aussi, c'était pareil, alors, j'étais sur le gros nerf! Au 4e trou, on les a laissés passer devant... mais d'autres pros suivaient, c'était pas mieux. J'avais juste hâte de finir ces... 9 trous. Et le golf, c'est supposé de nous détendre...
Désolée, Croco, de te faire de la peine, je n'ai vraiment pas la piqûre!!! En plus, les piqûres, ça me fait perdre connaissance!!!
Mais s'il le fallait absolument, pour faire plaisir à quelqu'un, je pourrais me sacrifier...
@ Zoreilles : pas grave. T'es assez dans la nature à ton "campe".
RépondreSupprimerDans une semaine, on est dans les Iles lalalèreu !!!
@ Zoreilles : Ma belle mère jouait pour la première fois de sa vie( la dernière aussi), c'était au Manoir Richelieu. En arrivant au vert elle roule son chariot sur le green, le marshall est là et lui crie d'enlever ce foutu chariot immédiatement, ne sachant plus quoi faire elle l'a foutu dans la fosse de sable... C'était son dernier trou de golf!!
RépondreSupprimer@ croco: J'ai du rater ce roulé après tant d'émoi ;-)
Les sports et moi, ça fait deux qui ne seront jamais d'accord !
RépondreSupprimerÀ choisir entre le golf et une promenade en forêt, la deuxième option est mille fois plus intéressante, en ce qui me concerne. Le chant des oiseaux, l'odeur des arbres, le bruit léger du vent dans les feuilles, m'attirent bien plus que le "tap" du bâton sur la petite balle.
Le commentaire de Zoreilles me rejoint tout à fait, et celui de Ricdam m'a fait sourire.
À Montréal, une promenade en forêt signifie une ballade dans un parc surpeuplé. Mau**t que la Côte-Nord me manque !!!
J'aime le golf. Je n'ai pas le temps de jouer. Simplement parce que j'ai décidé que je donnais priorité à d'autres choses.
RépondreSupprimerLa fille de son père ne peut nier que le golf ça fait partie de ses gênes. Mon chum qui fait de moi une veuve du golf 6 mois par année ne fait qu'ajouter à ma proximité à ce sport.
Mais le plus fou, le plus extraordinaire spectacle et plaisir du golf, c'est Tiger qui me le donne...
3 aigles sur le «back nine» aujourd'hui malgré une douleur au genou qu'il ne pouvait pas cacher.
Que de plaisir, que de jouissance!
Go Tiger Go!