jeudi 23 avril 2009

Pathétique Price

Dans sa conférence de presse cet aprem, le goaler des Canadiens portait une casquette genre ado attardé avec une palette qui lui cachait 70% de la figure. Et ses réponses quasi-monosyllabiques ne l'aideront surtout pas à regagner la sympathie des partisans.

Comment il disait le monsieur déjà ?

Ah oui ! Il disait : "Sois un homme mon fils !"

7 commentaires:

  1. Calvaire y'est pas sensé avoir du monde de la NHL qui les guide ces jeunes là??

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  2. Drew, personnellement, je crois que c'est au coach de s'assurer que ses ouailles soient bien entourées. Je veux bien qu'on dise que c'est gars là font des gros $, qu'ils sont adulés et que derechef , ils devraient se somporter en «figure publique». Mais c'est jsutement ces gros $ et cette peoplelisation qui est fatidique aujourd'hui.

    Ils ont besoin d'être encadré à la Scottie Bowman. On a beau avoir détesté le personnage pour son contrôle hyper serré mais les jeunes se tenaient les fesses serrées dans le temps et la vie publique n'était que l'ombre de ce qu'elle est aujourd'hui.

    Les gens du public, ceux qui réussissent, sont entourés d'une machine de l'image à n'en plus finir. Pourquoi devrait-on s'attendre à ce que des jeunes de 21 ans sachent maîtriser tout cela tout seul. Price a assez d'essayer de maîtriser son jeu de gardien. Pour le reste, un encadrement serré, des consignes sévères, tant et aussi longtemps que le jeune en aura besoin.

    C'est une maman d'expérience qui parle.

    :o)

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  3. La casquette est un exemple flagrant du manque d'encadrement. Cette notion de base du regard dans les yeux quand tu t'adresses à un public... Price n'est pas une rockstar, pourtant il se comporte comme s'il en était une, c'est à dire avec une attitude rebelle... C'est pas ça le hockey, mais s'il n'a personne pour le lui enseigner, il va apprendre à la dur... alors que c'est pourtant si simple.

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  4. @Drew

    Talou a un fils (Simon) joueur de hockey dans les grandes ligues, chez les voisins du sud (j'ai oublié quelle équipe, le sport et moi...), alors elle sait de quoi elle parle.

    :)

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  5. Moi je sais que jamais ... j'aime autant rien dire. Sauf que j'aime Simon !

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  6. Et vive les Black Hawks ... désormais !!!!

    Yéééééééééééééééé !

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  7. J'espère que t'allais pas dire que jamais Simon ferait des niaiseries pareilles... Je sais d'ailleurs que tu es sarcastique!!! Dieu sait qu'il en a fait. Sa seule planche de salut a été qu'il l'a fait dans un petit bourg qui s'appelle Orono et que les policiers le connaissaient et que lorsque ça a été assez (souviens toi qu'il n'avait pas l'âge), ils se sont levés, se sont approchés de lui, lui ont tapé sur l'épaule et lui ont dit: Let's go Simon. Follow us, you shouldn't be here!»

    Son coach ne le tenait pas les fesses serrées et bien sûr, à une échelle infiniment plus petite on s'entend, les filles, la booze, lui ont fait tourner la tête et bien d'autres choses...

    :o)

    Vive les Blackhawks... pour le moment!

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