Ce matin, les nouvelles LCN nous transportaient à Toronto où se déroule ce fameux G20. La speakerine installée à Montréal discute avec un reporter qui est sur place. Et ce dernier nous informe qu'un groupe de femmes canadiennes pré-sélectionnées pourront rencontrer les grands de ce monde et exprimer certaines doléances. Il nous mentionne entre autres l'astronaute Julie Payette et (sans blague ...) Julie Snyder. J'en suis renversé !
Puis la speakerine s'adresse à un autre reporter qui lui, se trouve sur le terrain des manifestations. Après quelques secondes de ce nouvel entretien, on entend clairement le précédent reporter dire, sans savoir que son micro est resté ouvert : "Moi, c'est avec les femmes que j'ai de la misère ...".
Du bonbon !
Elle est bien bonne! Les microphones ne devraient pas pouvoir se fermer!
RépondreSupprimerAccent Grave
Plutôt suave comme coïncidence
RépondreSupprimerL'art de se mettre les pieds dans les plats au mauvais moment et au mauvais endroit!
D'où l'utilité des réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Whatever pour faire circuler une information alternative où même les journalistes deviennent des arroseurs arrosés.
RépondreSupprimerComme quoi, il faut toujours tourner sa langue sept fois avant de praler, micro ouvert ou pas, ce journaliste vient de l'aoorendre à ses dépents...
RépondreSupprimerapprendre.......apprendre, bon c'est dit.
RépondreSupprimerJ'adore ce genre de « secret de coulisses » bien involontaires!
RépondreSupprimerPas l'impression qu'ils vont reprendre ça dans les « bloopers » mais plutôt que le reporter va avoir un petit déjeuner causerie avec son supérieur immédiat!
Aucune chance pour les bloopers...
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