La démocratie au Caire
«Les prisons ont été ouvertes et les milliers de détenus ont été invités à sortir, raconte le professeur Minas Khatchoudarian. Le pire, c'est qu'on leur a donné une arme. Ils sont sortis avec un fusil dans les mains.»
Cré Moubarak va !
Pour le remplacer, je suggère Jean Charest.
RépondreSupprimer- Michel Bastarache
Ces hommes forts qui dirigent leur pays d'un main de fer ont besoin d'alliés, ceux qui profitent du système et qui veillent à leur tour au mentor.
RépondreSupprimerQuand monsieur dit qu'il ne veut pas quitter pour ne pas laisser place au chaos, c'est qu'il veut s'assurer de la succession, ce que les Américains (nous inclus) souhaitent silencieusement.
Accent Grave
Son règne s'achève.
RépondreSupprimerC'est le temps des fleurs et le peuple ignore la peur. Les lendemains ont un goût de miel et de jasmin.
Un bras tient un bras. Une voix suit une autre. Ils sont jeunes et ils croient au Ciel.