samedi 31 décembre 2011
Simplement
lundi 26 décembre 2011
Mac oubedon PC
La modération
Dimanche, un seul verre de vin dans le party des Brisebois.
Fa que, aujourd'hui, ce sera une seule ... bouteille de vin !
Oups ! Je commence la deuxième ...
samedi 24 décembre 2011
Dans toute sa splendeur
Première image pour mes yeux
Sur l'écran du téléphone de ma fille
Dans le brouhaha du bistro ...
vendredi 23 décembre 2011
India est arrivée !
mercredi 21 décembre 2011
Tabar ... !
mardi 20 décembre 2011
vendredi 9 décembre 2011
Contes Urbains, Cuvée no 17
mercredi 7 décembre 2011
Surprenant !
lundi 5 décembre 2011
Le petit gars d'Hergé
dimanche 4 décembre 2011
Deux imbéciles
mercredi 30 novembre 2011
Statistique insignifiante ?
lundi 28 novembre 2011
À Havre-aux-Maisons
samedi 26 novembre 2011
Enfin ...
mercredi 23 novembre 2011
Un mois et un jour ce matin ...
mardi 22 novembre 2011
Nuit étrange
lundi 21 novembre 2011
Qu'on se le dise !
samedi 19 novembre 2011
La fatigue ?
mercredi 16 novembre 2011
mardi 15 novembre 2011
35 années plus tard ...
lundi 14 novembre 2011
Une première !!!
Out ! Un triplé cette année ?
vendredi 11 novembre 2011
La totale
jeudi 10 novembre 2011
Videotron m'a abasourdi
Vous le savez, je ne suis pas un grand fan de Québécor. Mais parfois, il faut rendre à César …
Vidéotron est une filiale à 100% de Québécor. J’y suis abonné pour la télé-câblée, l’internet et le téléphone. C’est pas donné mais bon, ça me semble comparable à la compétition.
Mercredi matin, 7 heures, je me réveille, me lève et je constate qu’internet n’entre pas sur mon ordi. Qui plus est, mon téléphone est défectueux : il ne fait que le bruit d’une ligne occupée. J’attends : le problème est peut-être local et temporaire.
À 10 heures, je suis tanné. Je veux appeler Vidéotron mais … mon téléphone est inutilisable. Je m’habille et m’en vais au café-bistro du coin pour appeler via le téléphone public de la place. Chanceux, un technicien me parle après trois petites minutes d’attente. Explications et vérifications : le problème est chez moi. L’employé au téléphone me promet qu’un technicien passera chez nous dans la journée mais ne peut garantir le délai : avant 20 heures dans la soirée m’assure-t-il.
De retour chez moi, je me rends compte que c’est très fatigant et frustrant d’être privé du net et du téléphone ! Et si quelqu’un essayait de me joindre … Grrr !
Soudain, 11heures 15 minutes, ça sonne à la porte. Je vais répondre : v’là le technicien. Je suis assommé. À peine 70 minutes après mon appel, il arrive. Hey ! On est à Montréal, pas à Matagami. Impressionné je suis.
Le jeune homme procède. Il identifie le bobo = le modem est défectueux. « C’est chinois c’t’affaire-là monsieur, me dit-il. Ça marche bien mais … pas longtemps ces gadgets-là ». Changement du modem, modifications au câblage, changements des jonctions, remplacement de sections usées du filage et hop ! C’est fini après trente minutes. Poignée de mains et le jeune homme s’en va sans me laisser la moindre facture, ni me faire signer le moindre document. J’exulte !
Alors aujourd’hui, je vous le dis bien sincèrement : chez Vidéotron, le service, c’est pas une joke ! Oubedon mes astres étaient bien configurés et je suis mauditement chanceux …
mardi 8 novembre 2011
La générosité "payante" des Canadiens
lundi 7 novembre 2011
Québécor réagit ...
dimanche 6 novembre 2011
Changer de ... dizaine
jeudi 3 novembre 2011
Québécor sous la loupe
Reçu par courriel ...
mardi 1 novembre 2011
Les imbéciles
jeudi 27 octobre 2011
Salut Pierre
Pierre Huard qu’il s’appelait. À peu près mon âge, donc se rapprochant de la soixantaine. Il est décédé hier dans l’après-midi durant son sommeil m’a dit son beauf Fernand. Pas de surprise quand je l’ai appris.
Pierre était un bon ami. Pas LE chum qui figure dans les cinq doigts de la main come le dit l’expression. Mais un type que j’aimais bien. Que tout le monde aimait bien, devrais-je dire. Un grand sec, pince-sans-rire et amoureux de la vie.
Il y a deux ans, on lui annonce la fatalité = un gros problème sanguin, voisin de la leucémie. Il entreprend les traitements divers pour augmenter le taux de globules (blancs ou rouges ?) et ça lui redonne de l’entrain. Mais les tests subséquents ramènent la dure réalité : ça progresse. Et physiquement, l’évidence : perte de cheveux et amaigrissement. Il a retrouvé sa crinière grisonnante mais pas l’énergie manquante.
Début septembre, il m’a confié que son oncologue lui apprenait que pour son « restant de vie », on ne pouvait plus mettre de « s » pour le nombre de mois …
Ce qui m’a impressionné chez Pierre, c’est la sérénité avec laquelle il a vécu son déclin. Conscient du non-retour, mais cool comme toujours, il m’a dit qu’il n’avait aucune crainte. « J’ai eu une belle vie, pleine d’amour, de beaux enfants bien placés dans la vie et ma compagne de toujours qui va continuer son existence en santé. J’ai connu de beaux plaisirs, des belles expériences et là, je vais m’en aller. Pourquoi pleurer et regretter ? Inquiètes-toi pas pour moi, je pars en paix».
Entendre un vrai « mourant » me parler ainsi, ça m’a fait du bien. Et j’espère et me souhaite avoir une telle attitude et une telle vision quand mes derniers dés auront été lancés.
Lire un joli poème ou un texte poignant sur la chose, ce n’est rien comparé au témoignage d’un ami. Et c’est cette image d’un homme serein devant la fatalité que je conserverai.
Salut Pierre et merci …
Pauvre Pauline !
mardi 25 octobre 2011
Commission d'enquête surréaliste ...
lundi 24 octobre 2011
Le Rocket et Chapleau ...
Pas le fameux Rocket du hockey. Je parle plutôt de mon cher ami Yves qui nous quittait au printemps 97 suite à un cancer fulgurant.
Mon Rocket travaillait pour une bonne maison de production télévisuelle et m’a raconté cette anecdote évidemment inconnue du grand public.
Serge Chapleau, le grand caricaturiste, est aussi le créateur de Gérard D. Laflaque. Mais avant d’avoir sa demie-heure hebdomadaire les dimanches soirs sur les ondes de la SRC, le personnage de Chapleau existait et se retrouvait dans de courtes scènes télévisées à Télé-Québec. Avec le mordant que Chapleau sait donner à son personnage Gérard D.
Un jour, via son employeur producteur, Yves s’est retrouvé dans un studio pour la production d’une publicité gouvernementale où Gérard D. nous parlait de la fameuse carte-soleil, notre carte d’assurance-maladie. Un 30 secondes à filmer avec toute l’équipe de tournage habituelle, du caméraman au réalisateur en passant par le perchiste et les décorateurs. Vous me suivez ?
Yves m’a raconté qu’à un moment donné, Chapleau est complètement sorti du scénario élaboré pour la pub et laissé Gérard D. y aller d’une autre sortie folle. C’est ainsi que Gérard D. a commencé à expliquer que la carte-soleil pouvait servir à autres choses et, passant de la parole à l’acte, Chapleau a manipulé sa marionette qui utilisait la carte pour écraser les petites roches de cocaine et préparer une belle ligne de poudre blanche bien droite qu’il finissait pas sniffer.
Le fou rire indescriptible de la gang du tournage, mon Rocket l’avait imprimé dans la mémoire. Ce Chapleau est un essti de malade m’avait-il dit.
Bien sûr, ces images n’ont jamais passé à l’écran. Mais il y a peut-être un chenapan qui les garde précieusement dans son coffret secret. Le chanceux !
En terminant, permettez-moi de saluer mon Rocket qui doit encore se marrer là-haut. Salut mon Yves …
vendredi 21 octobre 2011
C'te gars-là ...
jeudi 20 octobre 2011
Belle bête ...
jeudi 13 octobre 2011
Dompter ... la machine
lundi 10 octobre 2011
Rien de trop beau
mercredi 5 octobre 2011
Dans le jus ...
vendredi 30 septembre 2011
Dangereux d'aller au cinéma ...
mardi 27 septembre 2011
Lachute n'est pas le Biafra ...
dimanche 25 septembre 2011
Faut le faire !
jeudi 22 septembre 2011
Photo magnifique !
Erreur sur la personne
???
mercredi 21 septembre 2011
Elle s'appelle Ingrid St-Pierre
mardi 20 septembre 2011
Maniaques vous dites ?
lundi 19 septembre 2011
Jean Bissonette : un géant !
dimanche 18 septembre 2011
Pouvoir marcher : quel avantage !
Vous connaissez Stéphane Laporte ? Un gars brillant, un auteur à ses heures, notamment pour sa chronique dans La Presse et surtout, le complice de toujours d’André-Philippe Gagnon, l’imitateur hors-pair qui remplit ses salles ici et à Las Vegas depuis fort longtemps. T’as beau être le top dans l’imitation, ça prend du contenu quand même pour remplir 90 minutes de spectacle et Laporte s’est avéré génial à ce titre. Malgré ce talent évident, j’ai toujours une retenue dans mon admiration de Stéphane Laporte. Il est très rarement hors des sentiers de la facilité. Un peu comme s’il fonctionnait avec … les sondages. Le monde aime ça, alors il y va. Ses opinions de chroniqueur à La Presse, bien ficelées avec une dose humoristique, le sentimental et le gros bon sens, vont toujours plaire à monsieur et madame Tout-le-Monde. Gentil à temps plein, jamais polémiste, il roule sur le grand boulevard de la majorité. Son rôle de juge à Star Académie confirme sa gentillesse quasi légendaire.
Stéphane Laporte doit aussi composer avec un handicap important : depuis sa tendre enfance, ses jambes sont problématiques. Il ne bouge pas facilement. Même qu’avec le temps, la chaise roulante lui est parfois nécessaire pour se déplacer. Pas drôle du tout. Dernièrement, il lui fallait aller en France pour une obligation contractuelle et, au retour, dans un aéroport de Paris, il a vécu une histoire vraiment chiante. Quelque chose d’innommable qui m’a levé le cœur.
Je vous invite à lire ce compte-rendu (Laporte excelle dans ses narrations) et essayer de vous mettre dans sa peau ou celle d’une autre personne « handicapée » de la sorte et essayer de comprendre comment un aéroport majeur puisse être aussi innefficace et surtout aussi indifférent à aider un passager qui en a vraiment besoin.
Mettons que si j’avais à pousser la chaise d’un(e) ami(e) dans un lieu public et que j’avais à vivre une telle expérience, je pèterais une coche majeure …