Dans un vieux film français, Bernard Blier lance à ce type qu'il n'aime pas :
"J'en ai vu des tas de faux-culs dans ma vie, mais vous, vous êtes une synthèse"
Fallait que je vous la refile. Merci le cousin !
vendredi 31 juillet 2009
mercredi 29 juillet 2009
Trip d'hôpital
(écrit à l’hôpital)
11h 15, j’arrive au 5ième étage. On m’assigne la chambre 555 où je constate la présence d’une belle haitienne dans la quarantaine qui jase avec sa vieille maman.
L’infirmière arrive, test de sang, prise de pression et questionnaire général sur ma personne. Tout ça complété, il est à peine 11h 30 et l’infirmière m’avise qu’on viendra me chercher vers 14h 15 pour l’opération. QUOI ?
Presque trois heures d’attente (calculées et voulues) ? Je me calme illico, sachant que je serai revenu chez moi vers 18 heures. Mais quand même !
Passer le temps. Pas évident. Je prends mon livre de poche « Une saison sur la terre », une belle histoire que m’a expédiée le cousin Michel d’outre-mer. Mais la lecture n’est pas facile mes amis : mes deux voisines haitiennes se mettent à placoter en créole. Hou la la ! Impossible de lire. M’en vais me ballader sur l’étage, les fesses quasiment à l’air sous ma jaquette.
Soudain me vient une idée géniale. Pourquoi ne pas profiter de cette opération dans le bas du ventre pour me faire une lippo-succion et m’enlever une bonne partie de cette graisse inutile ? J’en ai parlé à l’infirmière : elle a souri et m’a suggéré de faire ma demande directement au médecin qui va m’opérer. Je vais y songer une deuxième fois.
(écrit le lendemain à la maison)
Finalement, c’était pas si effrayant. Descendu sur mon lit au troisième étage. Impressionnant quand même d’entrer dans la salle d’op, avec tous ces professionnels casqués, gantés et masqués.
Plogué, on m’appose le masque et même pas le temps de compter un chiffre : black out.
Réveil bizarre ! Je suis encore dans la salle d’op. Comme un réveil durant un rêve étrange. Les docs, techniciens et infirmières s’affairent ça et là. Je demande : « C’est fini ? ». On me le confirme et on m’amène à la salle de réveil.
Deux heures plus tard, la blonde-rousse me ramène au domicile.
Kliss de gros pansement sur ma … grosse bedaine. Ça fait mal un peu quand je me lève, ou m’asseoit, mais c’est endurable. On m’a prescrit un anti-douleur qui, m’a-t-on prévenu, entraîne la constipation. Calvaire ! Je vais m’en passer : tu prends l’anti-douleur, tu constipes et tu te ramasses sur le bol de toilette à forcer pour avoir encore plus mal. J’la comprends pas celle-là !
FA que, c’est ça qui est ça pour le blogueur. Convalescence.
Merci pour votre attention et vos souhaits. On dirait que c’est pas mal mieux que … l’anti-douleur. Plus efficace à tout le moins.
11h 15, j’arrive au 5ième étage. On m’assigne la chambre 555 où je constate la présence d’une belle haitienne dans la quarantaine qui jase avec sa vieille maman.
L’infirmière arrive, test de sang, prise de pression et questionnaire général sur ma personne. Tout ça complété, il est à peine 11h 30 et l’infirmière m’avise qu’on viendra me chercher vers 14h 15 pour l’opération. QUOI ?
Presque trois heures d’attente (calculées et voulues) ? Je me calme illico, sachant que je serai revenu chez moi vers 18 heures. Mais quand même !
Passer le temps. Pas évident. Je prends mon livre de poche « Une saison sur la terre », une belle histoire que m’a expédiée le cousin Michel d’outre-mer. Mais la lecture n’est pas facile mes amis : mes deux voisines haitiennes se mettent à placoter en créole. Hou la la ! Impossible de lire. M’en vais me ballader sur l’étage, les fesses quasiment à l’air sous ma jaquette.
Soudain me vient une idée géniale. Pourquoi ne pas profiter de cette opération dans le bas du ventre pour me faire une lippo-succion et m’enlever une bonne partie de cette graisse inutile ? J’en ai parlé à l’infirmière : elle a souri et m’a suggéré de faire ma demande directement au médecin qui va m’opérer. Je vais y songer une deuxième fois.
(écrit le lendemain à la maison)
Finalement, c’était pas si effrayant. Descendu sur mon lit au troisième étage. Impressionnant quand même d’entrer dans la salle d’op, avec tous ces professionnels casqués, gantés et masqués.
Plogué, on m’appose le masque et même pas le temps de compter un chiffre : black out.
Réveil bizarre ! Je suis encore dans la salle d’op. Comme un réveil durant un rêve étrange. Les docs, techniciens et infirmières s’affairent ça et là. Je demande : « C’est fini ? ». On me le confirme et on m’amène à la salle de réveil.
Deux heures plus tard, la blonde-rousse me ramène au domicile.
Kliss de gros pansement sur ma … grosse bedaine. Ça fait mal un peu quand je me lève, ou m’asseoit, mais c’est endurable. On m’a prescrit un anti-douleur qui, m’a-t-on prévenu, entraîne la constipation. Calvaire ! Je vais m’en passer : tu prends l’anti-douleur, tu constipes et tu te ramasses sur le bol de toilette à forcer pour avoir encore plus mal. J’la comprends pas celle-là !
FA que, c’est ça qui est ça pour le blogueur. Convalescence.
Merci pour votre attention et vos souhaits. On dirait que c’est pas mal mieux que … l’anti-douleur. Plus efficace à tout le moins.
mardi 28 juillet 2009
Ça commence bien !
À jeun depuis minuit, je devais faire mon entrée à l'hôpital Jean-Talon à 8 heures ce matin.
On m'a appelé hier pour reporter cette entrée à 11 heures 15 ...
Trois heures de plus, sans eau. J'ai la gorge sèche.
Bon, finies les lamentations !
Espérant ne pas vous écrire mon prochain billet ... post mortem.
On m'a appelé hier pour reporter cette entrée à 11 heures 15 ...
Trois heures de plus, sans eau. J'ai la gorge sèche.
Bon, finies les lamentations !
Espérant ne pas vous écrire mon prochain billet ... post mortem.
lundi 27 juillet 2009
The reportage
Ce Noël du campeur s'est avéré un flop plus qu'autre chose. Le Camping Boréal est jeune et n'abrite qu'une centaine de roulottes. D'autant plus que nous sommes arrivés une heure après le "clou" de la journée : la parade. Je vous rapporte cette image qui apparaissait dans la porte du bureau d'accueil. Rien pour écrire à sa mère mais ... oui il y a un énorme mais ...
Je vous présente le vrai Père Noël de l'édition 2009 (image de Myriam, bien sûr ). Habit moderne et, sachez-le, cette bedaine n'est pas du toc ! Même qu'un chirurgien montréalais s'y penchera demain matin pour une hernie ombilicale ...
Vous dire quand même que le blogueur a couché à la belle étoile, ce qui s'avère vivifiant. Vous avez d'ailleurs cette vue prise à partir de mon lit de fortune. Ajoutez-y une incroyable averse de force majeure dans le début de la nuit de dimanche, les éclairs et les coups tonnerre exceptionnels : vous avez là les principaux éléments qui ont valorisé ce bref séjour du blogueur dans la nature.
Je vous présente le vrai Père Noël de l'édition 2009 (image de Myriam, bien sûr ). Habit moderne et, sachez-le, cette bedaine n'est pas du toc ! Même qu'un chirurgien montréalais s'y penchera demain matin pour une hernie ombilicale ...
Vous dire quand même que le blogueur a couché à la belle étoile, ce qui s'avère vivifiant. Vous avez d'ailleurs cette vue prise à partir de mon lit de fortune. Ajoutez-y une incroyable averse de force majeure dans le début de la nuit de dimanche, les éclairs et les coups tonnerre exceptionnels : vous avez là les principaux éléments qui ont valorisé ce bref séjour du blogueur dans la nature.
samedi 25 juillet 2009
Reportage de ... Noël !
Reconnaissant votre très grande soif d’information, le blogueur reporter prend donc sa caméra et ses lentilles pour aller passer un 24 heures dans un camping tout près du Mont-Tremblant. Un camping où se prélassent Myriam et son paternel depuis une dizaine de jours.
Je vous entends me dire qu’il n’y a pas là matière à reportage. Je vous arrête illico. Je m’en vais assister à l’une des plus loufoques et kitsch tradition de l’univers du camping au Québec : le fameux Noël du campeur en plein mois de juillet.
J’ai maintes fois fait du camping dans ma vie et j’ai apprécié la chose : dans les Laurentides, à Oka et même dans les Rocheuses. Mais jamais n’ai-je été témoin ou participant à cette galère estivale, souvent prétexte à beuverie allongée pour adultes surveillant les activités pour enfants. Du moins, c’est ce qu’on m’en a dit.
Mais, vous le savez, le blogueur est au régime sec pour l’alcool : ses photos, je l’espère, témoigneront plus fidèlement des situations bizarres observées. Sinon, je mettrai l’appareil dans les mains de Myriam …
Je vous entends me dire qu’il n’y a pas là matière à reportage. Je vous arrête illico. Je m’en vais assister à l’une des plus loufoques et kitsch tradition de l’univers du camping au Québec : le fameux Noël du campeur en plein mois de juillet.
J’ai maintes fois fait du camping dans ma vie et j’ai apprécié la chose : dans les Laurentides, à Oka et même dans les Rocheuses. Mais jamais n’ai-je été témoin ou participant à cette galère estivale, souvent prétexte à beuverie allongée pour adultes surveillant les activités pour enfants. Du moins, c’est ce qu’on m’en a dit.
Mais, vous le savez, le blogueur est au régime sec pour l’alcool : ses photos, je l’espère, témoigneront plus fidèlement des situations bizarres observées. Sinon, je mettrai l’appareil dans les mains de Myriam …
jeudi 23 juillet 2009
L'abstinence bienfaitrice
Mardi matin, je recevais cet appel de l’hôpital Jean-Talon me prévenant que l’opération visant à éliminer cette hernie ombilicale se déroulera mardi prochain. Bobo mineur qui nécessitera quand même une anesthésie générale. Sortie de l’hôpital le même jour mais, quand même, anesthésie totale, pas locale.
Mon interlocutrice me donne les consignes concernant l’arrivée (8h am), le jeûne à partir de minuit la veille, les consignes sur ma médication et, bien sûr, l’abstinence pour l’alcool dans les 5 jours précédant l’intervention.
Question de calcul, hier, c’était ma dernière soirée … permissible pour l’alcool.. Ce maudit hasard, me disais-je en début d’après-midi, quelques instants avant la visite non-calculée mais fortement « dûe » et réjouissante de mon pote de Mascouche.
Me suis couché à une heure raisonnable, éthylé un peu beaucoup, mais … j’avais la permission officielle pour cette dernière dérapade contrôlée.
J’ai quand même un peu la chienne pour mardi prochain. Jamais eu à vivre le grand endormitoire dans ma vie. « Comptez jusqu’à dix … ». Le réveil, kossé que ça d’l’air et patati et patata. J’m’en serais vraiment passé mais … quasiment pas le choix : faut faire disparaître cette espèce de prune sur mon nombril.
Je me console et m’encourage en me disant qu’après … je serai redevenu un bô bonhomme fortement sollicité par le sexe opposé … Yéééééééééééééé !
Pas de sarcasme dans les commentaires svp !
Mon interlocutrice me donne les consignes concernant l’arrivée (8h am), le jeûne à partir de minuit la veille, les consignes sur ma médication et, bien sûr, l’abstinence pour l’alcool dans les 5 jours précédant l’intervention.
Question de calcul, hier, c’était ma dernière soirée … permissible pour l’alcool.. Ce maudit hasard, me disais-je en début d’après-midi, quelques instants avant la visite non-calculée mais fortement « dûe » et réjouissante de mon pote de Mascouche.
Me suis couché à une heure raisonnable, éthylé un peu beaucoup, mais … j’avais la permission officielle pour cette dernière dérapade contrôlée.
J’ai quand même un peu la chienne pour mardi prochain. Jamais eu à vivre le grand endormitoire dans ma vie. « Comptez jusqu’à dix … ». Le réveil, kossé que ça d’l’air et patati et patata. J’m’en serais vraiment passé mais … quasiment pas le choix : faut faire disparaître cette espèce de prune sur mon nombril.
Je me console et m’encourage en me disant qu’après … je serai redevenu un bô bonhomme fortement sollicité par le sexe opposé … Yéééééééééééééé !
Pas de sarcasme dans les commentaires svp !
mercredi 22 juillet 2009
Ahurissant
Une statistique sortie d'un bulletin de la SRC :
22% des individus dans les prisons canadiennes sont autochtones alors que ceux-ci ne représentent que ... 3% de la population du pays.
Pensez-y deux secondes : c'est énorme, quasiment impossible.
22% des individus dans les prisons canadiennes sont autochtones alors que ceux-ci ne représentent que ... 3% de la population du pays.
Pensez-y deux secondes : c'est énorme, quasiment impossible.
Avec les nuances suivantes :
Au Québec, 2% des prisonniers sont autochtones pour 1% de la population.
En Saskatchewan toutefois, 81% des prisonniers sont autochtones tout en ne formant que 11% de la population générale.
Doit-on en conclure qu'ils sont plus "sauvages" dans l'ouest ?
:-)
mardi 21 juillet 2009
Orgie de falaises à Belle-Anse
Une vraie platitude
Attrappé au hasard d'un zapping à 6 heures du matin sur Canal Vox :
Louise Deschatelets interview Denise Bombardier !
Votre couleur préférée pour les fleurs ?
Aimez-vous les animaux ?
Votre pensée sur la cellule familiale ?
La superbe de Bombardier qui se voit tellement au-dessus de la mêlée. D'un ennui mortel. D'ailleurs, j'ai failli mourir. Le mal que j'ai eu à me rendre à mon ordi pour venir vous écrire ma détresse ...
Louise Deschatelets interview Denise Bombardier !
Votre couleur préférée pour les fleurs ?
Aimez-vous les animaux ?
Votre pensée sur la cellule familiale ?
La superbe de Bombardier qui se voit tellement au-dessus de la mêlée. D'un ennui mortel. D'ailleurs, j'ai failli mourir. Le mal que j'ai eu à me rendre à mon ordi pour venir vous écrire ma détresse ...
lundi 20 juillet 2009
L'humour de Neil Armstrong
Cette anecdote est, paraît-il, tout ce qu'il y a de plus vraie. Je vous l'avais comptée en 2007. Je vous la ramène aujourd'hui, jour du 40ième anniversaire de cette marche historique sur la lune. Pour ceux et celles qui ne l'auraient pas lue, je suis convaincu que vous la trouverez sympathique vous aussi.
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Tout le monde connaît la célèbre phrase prononcée par Neil Armstrong lorsqu'il mit le pied sur la Lune en juillet 69 : " C'est un petit pas pour l'Homme, mais un bond de géant pour l'Humanité ". Mais la communication entre l'astronaute et Houston ne s'est pas arrêtée là. On rapporte cette phrase, beaucoup moins connue, qu'Armstrong a prononcée en revenant dans le lemme : " Good luck mister Gorski ".
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De retour sur terre, on lui demanda maintes fois le pourquoi de cette phrase, mais jamais Armstrong ne l'expliqua, se contentant simplement de sourire chaque fois qu'on le lui demandait.
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Plusieurs fouineurs effectuèrent des recherches, pensant que le mystérieux Gorski était un rival astronaute russe. Mais ni le programme spatial soviétique, ni celui de la NASA n'avait un Gorski comme employé.
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En 1995 à Tampa Bay (Floride), alors qu'Armstrong répondait aux questions suivant une de ses nombreuses conférences, un reporter ramena cette vieille question de 26 ans. Monsieur Gorski étant décédé la semaine précédente, Neil Armstrong sentit qu'il pouvait maintenant expliquer la phrase énigmatique.
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A l'âge de douze ans, Armstrong jouait au baseball avec un copain derrière chez lui. Son ami a frappé une chandelle et la balle est allée se loger sous la fenêtre de chambre des voisins . . . les Gorskis.
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Armstrong se précipita pour chercher la balle et il entendit alors mister Gorski dire à sa dame : " Oral sex ! You want oral sex ? You'll get oral sex when the kid next door walks on the moon ! ".
À huit pieds de l'impossible
J'ai regardé au complet ce Brittish Open. Tous les matins (décalage oblige) de 8 heures à 13 heures, de jeudi à dimanche. C'est le plus vieux tournoi sportif professionnel existant sur terre (138 ans je crois) et ça se passe sur un terrain absolument différent de ce que nous connaissons en Amérique.
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Mais cette fois-ci, il y a eu de la magie dans l'air durant tout le weekend. Ce cher vieux Tom Watson, un monsieur plus âgé que moi (c'est vieux en titi pour un pro de golf), nous a tenu en haleine jusqu'au dernier trou régulier, le 72ième !
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Qui plus est, non seulement Tom Watson a 59 ans, mais il a aussi une hanche artificielle ! Il a gagné ce fameux tournoi à 5 reprises (!!!) entre 1975 et 1983 (un record qui ne sera probablement jamais égalé). Et là, il s'apprêtait à nous rejouer la même scène 26 plus tard, au nez et à la barbe de tous ces jeunes et moins jeunes loups (plus d'une centaine) qui aspirent à la totale célébrité, voire à l'immortalité !
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Même le Roi Tigre n'y pouvait rien. Il n'a même pas joué samedi, étant éliminé d'office par son piètre score des deux premiers jours..
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Ne restait qu'un roulé de huit pieds à caler pour monsieur Watson et c'était la fête. Raté. En surtemps, le jeune Stewart Cink (36 ans !!!) n'allait pas rater une si belle occasion. La blessure fut moins grave étant donné la très grande classe du gagnant qui n'a pas trop joué à l'exubérant.
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Regarder la photo = elle dit tout : Tom Watson, rayonnant pour son exploit incroyable (malgré la défaite) et mister Cink, tenant le Claret Jug ... avec humilité.
samedi 18 juillet 2009
jeudi 16 juillet 2009
Photos-Vies
Un petit bijou de vidéo que m'expédiait un "vieux" collègue de mes années à l'université (ça fait quand même 35 ans !). Histoire tout à fait appropriée dans les circonstances. Baby boomers, elle est pour vous celle-là. Et remarquez la prouesse technique et le montage de cette "vie". Vous aimerez j'en suis assuré.
C'est drette ICI
mercredi 15 juillet 2009
Température de cul ?
C'est LE sujet de l'heure aux quatre coins du Québec, dans les médias, sur la rue et dans les chaumières. La plainte collective à propos du manque de soleil et du manque de chaleur. Je connais quelques adeptes de camping dont le teint vire au bleu, lentement, mais sûrement.
Pourtant, moi j'aime bien la température qui enveloppe le Québec depuis un mois. Ça doit être parce que j'aime le cul ...
Blague à part, ce que j'aime avant tout, c'est l'absence totale de canicule et de températures dans les 30 degrés et plus avec humidité correspondante. Tous les jours, on oscille entre 20 et 28 degrés avec un 13 degré si bienveillant pour faire dodo la nuit. Petites averses en aprem ? Ça raffraîchit l'air ambiant et c'est bon pour les plantes et les arbres.
Alors le blogueur ne renchérira pas en chiâlant en choeur avec la foule en furie.
Pourtant, moi j'aime bien la température qui enveloppe le Québec depuis un mois. Ça doit être parce que j'aime le cul ...
Blague à part, ce que j'aime avant tout, c'est l'absence totale de canicule et de températures dans les 30 degrés et plus avec humidité correspondante. Tous les jours, on oscille entre 20 et 28 degrés avec un 13 degré si bienveillant pour faire dodo la nuit. Petites averses en aprem ? Ça raffraîchit l'air ambiant et c'est bon pour les plantes et les arbres.
Alors le blogueur ne renchérira pas en chiâlant en choeur avec la foule en furie.
lundi 13 juillet 2009
En attendant l'article ...
Rencontré l'acteur ce matin au café Cherrier. Un monsieur fort sympathique, très loin de l'image qu'il incarne souvent dans ses différents rôles de criminel. J'ai idée de titrer l'article : De Gauvreau à Méo et l'inverse ... Enfin, on verra.
Demain, l'hosto pour tests divers (prises de sang et cardio) en pré-admission pour la grande opération = hernie ombilicale !
Demain, l'hosto pour tests divers (prises de sang et cardio) en pré-admission pour la grande opération = hernie ombilicale !
samedi 11 juillet 2009
Du joual authentique !
On se balladait sur une route quelconque des Iles-de-la-Madeleine en ouvrant l'oeil spécialement pour apercevoir des hérons. Puis. la blonde-rousse m'a dit, comme ça, sans avertissement :
"Mink on en weille un ..."
Mon oreille a tout compris mais le linguiste s'est aussi éveillé.
Imaginez cette phrase dans l'oreille d'un français nouvellement arrivé au Québec. Plutôt que d'entendre "Quand nous en verrons un ... ", c'est la musique du minkonenweillun qui entre dans son oreille.
D'ailleurs quelqu'un peut-il m'expliquer l'origine du ... mink ? Celle-là me dépasse.
"Mink on en weille un ..."
Mon oreille a tout compris mais le linguiste s'est aussi éveillé.
Imaginez cette phrase dans l'oreille d'un français nouvellement arrivé au Québec. Plutôt que d'entendre "Quand nous en verrons un ... ", c'est la musique du minkonenweillun qui entre dans son oreille.
D'ailleurs quelqu'un peut-il m'expliquer l'origine du ... mink ? Celle-là me dépasse.
vendredi 10 juillet 2009
Grrrrrr !
L’esssti de traite ! Vous savez, cette manie de payer un tour de table à la brasserie ou au bistro. Chacun son tour, etc. Une tradition qui a perdu quelques plumes avec les années, mais qui perdure à un degré moindre.
Avec toutes les histoires, commérages et mesquineries qui s’y rattachent. Le fauché de la gang qui passait toujours son tour, le radin qui faisait de même en partant au moment opportun, l’étourdi ou l’innocent qui ne comprenait rien et vivait son … innocence dans les nuages.
Je n’ai jamais été un adepte de cette formule … communautaire. Mais oui j’ai payé mes traites, passé au cash mais aussi profité des largesses des autres : payé $20 mon bock de bière et recevoir les 5 suivants sans payer. Mais sans calculer précisément la chose, me suis toujours senti pourvoyeur plus que profiteur.
Depuis quelques années, mon unique sortie de la semaine se déroule le vendredi dans cet antre de la rue Jarry que j’ai fréquenté quotidiennement de 75 à 95. J’y rencontre à l’occaze quelques amis, gars ou fille, de l’époque, mais aussi quelques aînés, toujours fidèles à l’endroit, avec qui j’ai fini par m’attabler, faute d’interlocuteurs de MA génération. Je les ai baptisés … ma gang de vieux kriss et ils ne s’en offusquent point, bien au contraire.
Hier dans les alentours du 5 @ 7, six personnes à la table = 4 vieux kriss, moi et ma chum Sylvie. Chacun paie sa bière et mon bock me revient à $2 plus pourboire. Soudainement, André le vieux kriss envoie une tournée : 3 bocks et 3 bouteilles. Merci mon ami, que je lui dis.
Quinze minutes plus tard, mon bock est vide et je demande à la serveuse de renouveler la table = 3 bocks et 3 bouteilles. Pourboire inclus, je donne $20 à la belle dame.
Soudainement, le vieux kriss qui me voisine à la table, me lance :
« Merci mon Michel pour la bière. Hey ! Merci beaucoup ! ».
Mais ya trop d’emphase dans sa phrase. Il en met trop, vraiment trop.
Je le relance = Cou donc, y aurait-il de l’ironie dans ton message ?
La face lui change. Son sourire disparaît complètement.
« Veux-tu qu’on en parle ? » que j’ajoute avec ma face très sérieuse.
Trois fois NON, qu’il m’indique.
Je brûle intérieurement. Le clown de service, le king du commérage bat en retraite et je n’insiste pas. Il va finir la bouteille que je lui ai offerte et il va … quitter la place en ayant bu ses deux dernières consommations … gratuites.
Je sais qu’il lit ce blogue à l’occasion. Je veux juste lui dire simplement : « Pousse pas ta luck … R E S P E C T !»
Avec toutes les histoires, commérages et mesquineries qui s’y rattachent. Le fauché de la gang qui passait toujours son tour, le radin qui faisait de même en partant au moment opportun, l’étourdi ou l’innocent qui ne comprenait rien et vivait son … innocence dans les nuages.
Je n’ai jamais été un adepte de cette formule … communautaire. Mais oui j’ai payé mes traites, passé au cash mais aussi profité des largesses des autres : payé $20 mon bock de bière et recevoir les 5 suivants sans payer. Mais sans calculer précisément la chose, me suis toujours senti pourvoyeur plus que profiteur.
Depuis quelques années, mon unique sortie de la semaine se déroule le vendredi dans cet antre de la rue Jarry que j’ai fréquenté quotidiennement de 75 à 95. J’y rencontre à l’occaze quelques amis, gars ou fille, de l’époque, mais aussi quelques aînés, toujours fidèles à l’endroit, avec qui j’ai fini par m’attabler, faute d’interlocuteurs de MA génération. Je les ai baptisés … ma gang de vieux kriss et ils ne s’en offusquent point, bien au contraire.
Hier dans les alentours du 5 @ 7, six personnes à la table = 4 vieux kriss, moi et ma chum Sylvie. Chacun paie sa bière et mon bock me revient à $2 plus pourboire. Soudainement, André le vieux kriss envoie une tournée : 3 bocks et 3 bouteilles. Merci mon ami, que je lui dis.
Quinze minutes plus tard, mon bock est vide et je demande à la serveuse de renouveler la table = 3 bocks et 3 bouteilles. Pourboire inclus, je donne $20 à la belle dame.
Soudainement, le vieux kriss qui me voisine à la table, me lance :
« Merci mon Michel pour la bière. Hey ! Merci beaucoup ! ».
Mais ya trop d’emphase dans sa phrase. Il en met trop, vraiment trop.
Je le relance = Cou donc, y aurait-il de l’ironie dans ton message ?
La face lui change. Son sourire disparaît complètement.
« Veux-tu qu’on en parle ? » que j’ajoute avec ma face très sérieuse.
Trois fois NON, qu’il m’indique.
Je brûle intérieurement. Le clown de service, le king du commérage bat en retraite et je n’insiste pas. Il va finir la bouteille que je lui ai offerte et il va … quitter la place en ayant bu ses deux dernières consommations … gratuites.
Je sais qu’il lit ce blogue à l’occasion. Je veux juste lui dire simplement : « Pousse pas ta luck … R E S P E C T !»
jeudi 9 juillet 2009
C'est qui le poisson ?
Dimanche matin, 11h 55, j'arrive avec Myriam au cinéma Quartier Latin (grosse bâtisse avec 22 salles) pour voir le film Air de Glace 3. Prix d'entrée : croyez-le ou pas, le gars m'a demandé $25 ($14 pour moi et $11 pour la petite !). Ajouter un popcorn et deux breuvages moyens, on arrive au total de $40 !
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Ce matin, jeudi, j'arrive au sympathique cinéma Beaubien (5 salles) pour voir le film De Père en Flic. On me demande $15 pour moi et Myriam. Ajouter $12 pour les gugusses.
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Trouvez le crosseur !
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En passant, ne vous privez pas d'aller voir De Père en Flic. Pas un chef-d'oeuvre, bien sûr. Mais une comédie fort potable, de bons acteurs, pas de tics nerveux ni de blagues grosses comme ... vous savez quoi. Bref, un bon divertissement avec très peu de longueurs (je n'en ai compté que deux petites ...) et ... pas vraiment d'exagérations loufoques. On y croit quand même. Vous ne regretterez pas votre déboursé ... à moins d'aller au Quartier Latin, viaaaaaarge !
Des suggestions ?
D’une journée à l’autre, j’attends le OK de la gérante de Pierre Lebeau pour une rencontre-entrevue. Pierre Lebeau c’est bien sûr le Séraphin d’Un homme et son péché, le Méo des Boys, mais aussi le tragédien et l’homme de théâtre.
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J’ai bien sûr en tête quelques questions sur différents points de sa carrière ou de sa vie. Mais si vous avez des suggestions ou des interrogations qui pourraient s’avérer intéressantes, ne me privez pas de votre originalité et livrez-moi ça dans la section commentaire.
.
Messi bokou !
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J’ai bien sûr en tête quelques questions sur différents points de sa carrière ou de sa vie. Mais si vous avez des suggestions ou des interrogations qui pourraient s’avérer intéressantes, ne me privez pas de votre originalité et livrez-moi ça dans la section commentaire.
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Messi bokou !
mercredi 8 juillet 2009
La conseillère en télé
La bouffe en cavale. Vous connaissez cette sympathique émission présentée sur Canal Évasion ? Le chef Vincent Chatigny et le comédien Normand Helms se promènent en camionette dans les régions du Québec et présentent recettes avec produits du terroir à la bonne franquette à l'aide de leurs instruments et BBQ plantés dans les décors des endroits visités. Vtaiment agréable comme concept.
Il y a deux semaines, nous étions installés à l'une des tables dans la vitrine du bistro Aux Pas Perdus de Cap-aux-Meules. Soudain, j'aperçois la binette du chef Chatigny qui arrive au bistro. Bientôt suivi par son compère Helms et quatre autres personnes. Ils entrent tous dans le bistro et ... viennent s'asseoir à la table voisine de la nôtre.
La blonde-rousse n'attendait que ça ...
Elle apostrophe le chef Chatigny et lui lance : "Hey ! C'est très bon votre émission, mais quand vous filmez sur la plage de la Dune-du-Sud, au lieu de nous montrer seulement les grottes rouges, vous devriez nous montrer la mer aussi. C'est ben beau entendre les vagues, mais quand on est à Montréal pour écouter votre émission, on aimerait bien voir la mer nous autres aussi !"
Le blogueur se sent rapetisser ...
Une fille du groupe lance : "Ha ! Ha ! Je vous l'avais bien dit !" et suggère à la blonde-rousse de répéter ça au réalisateur qui justement arrive pour prendre sa place à table.
Et la blonde-rousse de repartir sa diatribe. Et le blogueur de rapetisser davantage ...
Bon ! La belle gang de la Bouffe en Cavale vont passer un mois dans les Iles pour y tourner, encore cette année, quelques émissions. Parait-il qu'on va y voir la mer plus souvent mais je doute fort que Christiane apparaisse au générique comme conseillère !
Il y a deux semaines, nous étions installés à l'une des tables dans la vitrine du bistro Aux Pas Perdus de Cap-aux-Meules. Soudain, j'aperçois la binette du chef Chatigny qui arrive au bistro. Bientôt suivi par son compère Helms et quatre autres personnes. Ils entrent tous dans le bistro et ... viennent s'asseoir à la table voisine de la nôtre.
La blonde-rousse n'attendait que ça ...
Elle apostrophe le chef Chatigny et lui lance : "Hey ! C'est très bon votre émission, mais quand vous filmez sur la plage de la Dune-du-Sud, au lieu de nous montrer seulement les grottes rouges, vous devriez nous montrer la mer aussi. C'est ben beau entendre les vagues, mais quand on est à Montréal pour écouter votre émission, on aimerait bien voir la mer nous autres aussi !"
Le blogueur se sent rapetisser ...
Une fille du groupe lance : "Ha ! Ha ! Je vous l'avais bien dit !" et suggère à la blonde-rousse de répéter ça au réalisateur qui justement arrive pour prendre sa place à table.
Et la blonde-rousse de repartir sa diatribe. Et le blogueur de rapetisser davantage ...
Bon ! La belle gang de la Bouffe en Cavale vont passer un mois dans les Iles pour y tourner, encore cette année, quelques émissions. Parait-il qu'on va y voir la mer plus souvent mais je doute fort que Christiane apparaisse au générique comme conseillère !
lundi 6 juillet 2009
dimanche 5 juillet 2009
Les amis de ma soeur
Plus de vingt ans qu’elle s’est installée au Iles avec son chirurgien de Lester. Et une passion dévorante qui s’est installée dans son cœur : les animaux. Une bonne dizaine de chiens colleys ont passé leur vie à se faire dorloter dans les Iles. Une bonne trentaine de chats aussi. Quand la vétérinaire s’apprête à euthanasier un minet, elle appelle ma sœur qui accourre aussitôt pour sauver la bête in extremis et lui accorder une existence de rêve sur sa ferme.
La ferme ! Des poules, des oies, des canards et des coqs (pour le réveil matinal brutal). Des centaines de volatiles qui vivent chez ma sœur et qui ne seront jamais … vendus pour dégustation. Ö que non !!! Et toutes ces mangeoires pour les geais bleus, les étourneaux, les corneilles, les corbeaux et j’en passe.
Pour le frérot urbain de passage, c’est un dépaysement fort agréable, ajouté à l’enchantement naturel des Iles. Alors, pour votre plaisir visuel, je vous présente quelques amis de ma sœur Line.
La ferme ! Des poules, des oies, des canards et des coqs (pour le réveil matinal brutal). Des centaines de volatiles qui vivent chez ma sœur et qui ne seront jamais … vendus pour dégustation. Ö que non !!! Et toutes ces mangeoires pour les geais bleus, les étourneaux, les corneilles, les corbeaux et j’en passe.
Pour le frérot urbain de passage, c’est un dépaysement fort agréable, ajouté à l’enchantement naturel des Iles. Alors, pour votre plaisir visuel, je vous présente quelques amis de ma sœur Line.
à l'heure de notre apéro
samedi 4 juillet 2009
Spécial Zoreilles ...
.
En magnifiant l'image, au bout du rocher,
vous verrez ce chat qui souffle sur les vagues.
Merci, Barbe-Blanche ...
jeudi 2 juillet 2009
Birds on the road
La principale route des Iles-de-la-Madeleine, c’est la 199 qui commence au début de Havre-Aubert à l’extrémité sud et qui se rend jusqu’à l’extrémité nord de Grande Entrée. Pour les chasseurs d’images, il faudra souvent prendre un chemin secondaire qui aboutira quelque part sur le littoral ou ailleurs pour livrer les images ô combien spéciales que recèle l’archipel.
Mais les Iles sont tellement belles que même sur la 199, ya des décors et des images qui vous laissent bouche bée : à preuve, ce rocher de la fiente que je vous livrais il y a quelques jours.
Je rajoute trois autres images reliées à ce thème qui me titille toujours le clic : les oiseaux. Pour ces photos prises à partir de la 199, c’est à peine si j’ai eu à débarquer de notre véhicule. Les acteurs étaient là, concentrés sur leurs vies et complètement insouciants de la lentille qui les visait.
Sur le grand segment droit de la 199 reliant Cap-aux-Meules et Havre-Aubert en longeant cette plage étrangement nommée La Martinique, sur la droite, on retrouve des marais calmes et hyper-protégés. Mais lequel de ces goélands a gagné la motte étrange de cette chicane ?Mais les Iles sont tellement belles que même sur la 199, ya des décors et des images qui vous laissent bouche bée : à preuve, ce rocher de la fiente que je vous livrais il y a quelques jours.
Je rajoute trois autres images reliées à ce thème qui me titille toujours le clic : les oiseaux. Pour ces photos prises à partir de la 199, c’est à peine si j’ai eu à débarquer de notre véhicule. Les acteurs étaient là, concentrés sur leurs vies et complètement insouciants de la lentille qui les visait.
Genre un kilomètre plus tard sur le même segment de route, cette famille de canards qui barbotait à moins de 30 mètres du bitume.
À l’autre bout complètement, tout juste en complétant la grande courbe de Old Harry, j’aperçois ce bel oiseau sur le bord du chemin. Visiblement, il est blessé puisque notre approche ne provoque pas sa fuite. Jamais vu ce type d’oiseau dans les Iles. Je pense à un Fou de Bassan (kess t’en penses Barbe Blanche…). Après le clic, on lui fiche la paix et reprend la route. Belle rencontre.
Michael Jackson et mon fils
Tous les médias et même plus en ont parlé ou traité jusqu’à plus soif. Je vous reviens sur le sujet avec ma petite histoire perso où le chanteur N’A PAS le premier rôle.
Fin des années 80. Thriller l’album est sorti depuis belle lurette et le chanteur se promène sur la planète avec son méga-spectacle dont ce passage prévu au stade olympique à Montréal. Nous avons nos billets Jean et moi mais, comme ça lui arrive souvent, il est en retard et je l’attends à la maison chez moi, les deux billets en main. Le retard se prolonge et nous allons rater le début … Merde !
Je me décide et je dis à mon fils JF (environ 10 ans) : « Mets ton coat de Michael Jackson, je t’emmène au stade olympique voir les … Expos ».
Joie débordante de fiston qui enfile son jacket de cuir rouge écarlate avec des dizaines et des dizaines de zippers. Vous vous rappelez cette mode ?
Arrivés au stade, JF est songeur. En voyant tous ces posters et autres bidules de Michael Jackson il se demande si … Mais oui JF, ce ne seront pas les Expos mais le Roi de la Pop.
Exubérance du ti-cul choyé. Son premier show n’en sera pas un de Fanfreluche ou de Passe-Partout. Il exulte !
Nous avons rejoint Pierre, Fernand, Léo, Denys et sa Manon dans les estrades. Me rappelle aussi que l’alcool était interdit (incroyable mais vrai !). Nous avions quand même nos réserves camouflées dans des gourdes en cuir cachées sous nos aisselles. J’avais opté pour alcool-pamplemousse, mon drink de l’époque.
Mais la souvenance de mon fils, les yeux écarquillés par tout ce tape-à-l’œil et cette foule gigantesque. Et aussi sa fébrilité quand la « vague » des spectateurs arrivait. « Prépare-toi papa ! Prépare-toi ! La vague arrive ! ». Et de nous lever avec les bras dans les airs pour suivre le mouvement. Et les milliers de briquets allumés l’ont quasiment achevé tant était grand son enthousiasme. Quelles belles images dans ma tête !
Le show ? Bof ! Il n’était pas dans mes favoris. Je trouvais ça trop disco, trop danse. Mais ces souvenirs avec mon fils, je les lui dois. Merci Michael.
Fin des années 80. Thriller l’album est sorti depuis belle lurette et le chanteur se promène sur la planète avec son méga-spectacle dont ce passage prévu au stade olympique à Montréal. Nous avons nos billets Jean et moi mais, comme ça lui arrive souvent, il est en retard et je l’attends à la maison chez moi, les deux billets en main. Le retard se prolonge et nous allons rater le début … Merde !
Je me décide et je dis à mon fils JF (environ 10 ans) : « Mets ton coat de Michael Jackson, je t’emmène au stade olympique voir les … Expos ».
Joie débordante de fiston qui enfile son jacket de cuir rouge écarlate avec des dizaines et des dizaines de zippers. Vous vous rappelez cette mode ?
Arrivés au stade, JF est songeur. En voyant tous ces posters et autres bidules de Michael Jackson il se demande si … Mais oui JF, ce ne seront pas les Expos mais le Roi de la Pop.
Exubérance du ti-cul choyé. Son premier show n’en sera pas un de Fanfreluche ou de Passe-Partout. Il exulte !
Nous avons rejoint Pierre, Fernand, Léo, Denys et sa Manon dans les estrades. Me rappelle aussi que l’alcool était interdit (incroyable mais vrai !). Nous avions quand même nos réserves camouflées dans des gourdes en cuir cachées sous nos aisselles. J’avais opté pour alcool-pamplemousse, mon drink de l’époque.
Mais la souvenance de mon fils, les yeux écarquillés par tout ce tape-à-l’œil et cette foule gigantesque. Et aussi sa fébrilité quand la « vague » des spectateurs arrivait. « Prépare-toi papa ! Prépare-toi ! La vague arrive ! ». Et de nous lever avec les bras dans les airs pour suivre le mouvement. Et les milliers de briquets allumés l’ont quasiment achevé tant était grand son enthousiasme. Quelles belles images dans ma tête !
Le show ? Bof ! Il n’était pas dans mes favoris. Je trouvais ça trop disco, trop danse. Mais ces souvenirs avec mon fils, je les lui dois. Merci Michael.
mercredi 1 juillet 2009
I am NOT canadian
Premier juillet. L'occasion rêvée pour vous re-présenter ce vidéo hilarant dont je ne connais ni l'auteur ni l'interprète. Peut-être l'avez-vous déjà vu ...
C'est ICI
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