vendredi 31 décembre 2010
Last call 2010
mardi 28 décembre 2010
La pertinence des sondages
lundi 27 décembre 2010
C'est ben pour dire ...
samedi 25 décembre 2010
Ça sera pour une autre fois ...
vendredi 24 décembre 2010
mercredi 22 décembre 2010
Les étranges Z du Québec
On dit souvent que les acadiens et les madelinots ont de la « parlure ». Avec leurs mots et aussi leur façon originale de prononcer. Pourtant ... une particularité m’intrigue dans NOTRE façon de prononcer au Québec.
Je veux parler ici de ces fameux Z que nous ajoutons à notre lettre D. Tsé veux dZire ? Avec les i et les u, nous avons cette bizarre habitude de placer un Z. Comme dans … j’ai dzu cognac dans mon verre, plutôt que j’ai du gognac dans mon verre. Je te l’ai dzit plutôt que je te l’ai dit. Pourtant, nos amis acadiens et madelinot ne font pas cet ajout du Z, comme les cousins de France d’ailleurs. Ils vivent en Acadie et non en AcadZie !!!
Comme aussi ces S après la lettre T. Tsu t’en souviens ? Plutôt que Tu t’en souviens. Je vais le tsuer au lieu de je vais le tuer.
Me souviens d’un séjour d’environ une semaine en Acadie (sans Z). Vers la fin, je commençais à prononcer comme les gens de la place. Et lorsque j’ai prononcé le nom de la ville de Tracadie correctement (sans Z) devant le directeur d’une école, il m’a regardé avec interrogation, se demandant si je ne me moquais pas de leur accent.
C'est ben pour dzire !
lundi 20 décembre 2010
Dernière emplette ...
dimanche 19 décembre 2010
Jean Pascal : complètement raté !
Hé oui, il est encore champion du monde dans sa catégorie des mi-lourds. Yééééé ! Un québécois qui torche et qui a gardé sa ceinture de top mondial. Mais … ouf !
Un combat plutôt plate, sans rien de vraiment transcendant. Mais ce qu’il faut en retenir, c’est que notre bel idole, que l’annonceur a présenté comme « the proudness of Laval », n’a pas été en mesure, à 28 ans, de clouer le bec à une vieille poupoune de … 45 ans ! Si, si ! Le Bernard Hopkins en question, bardé de victoires et de championnats dans les « vieilles années », a répondu au défi du jeune champion mondial québécois de 28 ans et toffé les 12 rounds sans jamais baisser la garde.
Les rounds s’écoulant, on se disait que le « jeune » Pascal allait prendre le contrôle devant ce « vieux » kriss, aussi expérimenté soit-il. Mais ce ne fut pas le cas. Deux juges ont livré une fiche égale (113-113- et 114-114) alors que le troisième a livré une sentence de 114-112 pour Hopkins. Mais la boxe étant ce qu’elle est, le verdict fut officialisé comme étant « partagé mais majoritaire ». Comme quoi notre Jean Pascal conserve son titre … sans avoir gagné … ni perdu.
Vous auriez dû voir la binette du champion. Tête basse et absence totale de sourire en apprenant le résultat.
Le fan que je suis a été mitigé tout le long du combat. Et les boys dans le salon y sont allé de mille et un commentaires avant, pendant et après le combat. Et je pense avoir réussi le meilleur gag de la soirée en affirmant, après le combat :
"Etes-vous conscients que notre bô Jean Pascal n’a pas réussi à battre un gars qui, dans même pas 5 ans, sera éligible pour devenir membre de la FADOQ ?"
Heille ! De quoi mettre de la sloshe dans le cerveau de notre héros local. Toujours champion mais, entre moué pi toué mon bô Jean, t’as été tellement platte et inefficace hier soir face à ce formidable pépère …
samedi 18 décembre 2010
Décision, KO ou KOT ?
mercredi 15 décembre 2010
Glou Glou Glou
dimanche 12 décembre 2010
Moyenne la cuvée ...
vendredi 10 décembre 2010
Le seizième cuvée !
jeudi 9 décembre 2010
Le vlimeux !
J’ai connu Marc à l’école des HEC de l’Université de Montréal dans les années 70. Trois années où nous détonnions un peu d’avec les autres étudiants de la faculté : de futurs hommes d’affaires avec la coupe de cheveux soignée, l’habillement jeune-chic et l’attaché-caisse. Moi, Marc et quelques rares autres avions gardé notre look de cegep, à savoir les cheveux longs, la veste de chasse et, dans mon cas, la barbe et le pack-sack en jute.
Depuis une dizaine d’années, je revois mon chum Marc à l’occasion pour un bon repas dans un resto sympa du Plateau. On se remémore les anciennes péripéties et on se raconte nos trajectoires plus récentes, notamment que ce diable de bonhomme est devenu … pomiculteur à temps partiel.
Mais hier, pour notre repas (quasi) annuel, le vlimeux de Marc m’en avait réservé une bonne. Nous venions de nous attabler au Misto lorsqu’arrive une dame que Marc remarque. Elle se dirige vers notre table, m’enligne et me demande : "Tu me reconnais pas ?"
Médusé je suis. Elle rajoute « Danièle ! ».
Je flashe 35 années en arrière ! Mais oui, c’est elle. Danièle était la troisième de notre trio un peu isolé des HEC. Nous étions toujours ensemble dans les cours. Look un peu freak elle aussi et terriblement différente des « poudrées » qui nous entouraient, elle complétait fort bien notre groupuscule.
Mais cette apparition planifiée par le vlimeux me les a coupées … fort agréablement parce que totalement inattendue. Danièle a passé l’essentiel de son existence aux Etats-Unis, y épousant même un amerloque rencontré au … Caire. Demeurant désormais à Salt Lake City, elle vient occasionnellement faire son tour à Montréal et, cette fois-ci, Marc (qui ne l’avait pas revue lui non plus) a organisé la belle surprise.
Repas (risotto au saumon) parsemé de souvenirs et de mises-à-jour et prochaine rencontre au printemps avec les conjoints.
C’était mon coup de cœur de cette fin d’automne enneigée …
lundi 6 décembre 2010
L'Homme et la Bête
Tout le monde en parle, fa que ...
dimanche 5 décembre 2010
Ma soeur a rencontré Ti-Guy
vendredi 3 décembre 2010
Du bonbon !
Surprenant !
mercredi 1 décembre 2010
Je me présente ...
samedi 27 novembre 2010
vendredi 26 novembre 2010
mercredi 24 novembre 2010
Bonne Fête et Bon Repos
mardi 23 novembre 2010
Le Gros Bill
dimanche 21 novembre 2010
Notre ami Ben Sixteen
jeudi 18 novembre 2010
Deux poids deux mesures ?
Je viens de regarder l’émission 3600 secondes d’extase du fou furieux Marc Labrèche. On y a eu droit à une parodie complètement hallucinée de l’émission Le Banquier animée par Julie Snyder sur les ondes de TVA. La madame Snyder était totalement folle et ridiculisée à outrance. Toutes ses manies et ses tics y étaient amplifiés comme seul Labrèche sait le faire. Drôle sans plus. Moqueur beaucoup évidemment.
J’ai pensé à cette même Julie Snyder qui est allé témoigner en Cour la semaine dernière pour appuyer son PKP de mari qui poursuit le président de Radio-Canada pour $700,000 parce que celui-ci a déclaré, il y a plus d’un an, que le PKP en question « … se comportait COMME un voyou ». Les journaux ont rapporté que la belle Julie, presque en larmes, a expliqué au juge qu’elle était troublée par cette grave insulte et qu’elle a dû expliquer à ses enfants (en âge préscolaire) que ce mot (écrit dans le journal Le Devoir !!!) ne convenait pas à leur papa. Sans blague, un juge a écouté cette doléance si émouvante.
Je me demande comment la sensible Julie pourra expliquer à ses mômes que leur mère n’est vraiment pas la malade mentale extravertie et folle furieuse qui est passée sur l’écran de télé. Je me demande aussi quel est le montant astronomique qu’elle exigera dans sa poursuite éventuelle contre Labrèche et sa gang et comment elle exprimera sa dépression nerveuse aggravée au juge qui entendra la cause.
Personnellement, je suis un voyou arriéré mental et je m'en porte bien !
Contes Urbains. Cuvée no 16.
mercredi 17 novembre 2010
1500
lundi 15 novembre 2010
Parlant de trouduc ...
samedi 13 novembre 2010
Les trouducs !
mercredi 10 novembre 2010
Métier : Enseignant
dimanche 7 novembre 2010
Une grosse pub à Paris
C’était en 1995. Le voyage était acheté depuis longtemps : je m’en allais à Paris avec Denis et Jackie. Départ le 24 juin. Une semaine de rêve.
Deux mois avant le départ, le kliss de Denis m’apprend (debout à mes côtés dans l’urinoir de la brasserie) que la veille de notre départ, hé bien … il va épouser Jackie. Devant mon désarroi, il me dit que tout est OK et que je serai simplement … leur photographe pour le voyage de noces !
Un souvenir absolument magique que cette escapade parisienne. Mon premier (et seul) voyage dans … les Europes comme on disait. Je ne m’allongerai pas sur les détails de cette aventure indélébile dans mon âme. Je m’arrêterai plutôt à cette pub géniale que nous avions visionnée au hasard d’une promenade dans une petite rue (ruelle) quelconque d’un quelconque arrondissement.
Sur le mur, une affiche géante, genre 3 mètres de haut par 5 ou 6 mètres de large. Une photo de … Éric Lapointe qui, à l’époque, était à peine connu au Québec. Et le texte nous apprenant qu’il allait faire le Palais des Princes, la plus grosse salle de Paris, genre l’équivalent du stade Olympique à Montréal. Tous les trois, nous sommes assommés ben raide. Hey ! Éric Lapointe à Paris !
Puis, on remarque une petite ligne de texte au bas de l’immense affiche : en deuxième partie : les Rolling Stones ! Quelques secondes d’hésitation et on arrive à comprendre le stunt et la blague : notre québécois fera … la première partie du show des légendaires brittaniques. Une pub géniale, convenons-en et chapeau au gérant québécois qui a réussi à placer son poulain en amuse-gueule pour cette grosse production.
Me souviens aussi que le photographe amateur que j’étais (et que je suis toujours) était krissement frustré de n’avoir pu photographier cette affiche géniale, son rouleau de « 36 poses » étant arrivé … au bout du rouleau ! Shit !
Remember Denis and Jackie ?
jeudi 4 novembre 2010
Le monde est petit ...
Vous le savez, il m’arrive de faire des entrevues/portraits de commerçants de l’avenue du Mont-Royal. Depuis 5 ans, je dirais que j’en ai fait approximativement une centaine. Et j’aime bien ces petits contrats parce que ça me fait rencontrer des gens et les connaître davantage en leur faisant sortir des choses moins connues. Ces hommes et femmes d’affaires ont tous et toutes leur petite histoire et plusieurs ont suivi un parcours pas toujours évident et, j’ajouterais, fort intéressant.
Ce matin, j’ai rencontré Vincent Bonhomme, un coiffeur qui aime bien associer son métier à la culture, d’où le nom de son commerce : Jardins d’art et de coiffure. Un type que j’ai trouvé, sincèrement, fort sympa. Français d’origine (Saint-Ambroix), il est arrivé ici en 2007 avec sa femme et ses deux enfants. Vous admettrez qu’il s’agit là d’une aventure peu banale. Changer de continent, à 40 ans, sans emploi assuré, simplement pour changer de rythme et connaître d'autres choses dans la vie …
L’entrevue est commencée depuis une quinzaine de minutes et je lui demande à brûle pourpoint dans quel coin de la ville il s’est installé en arrivant ici …
- Dans le quartier Villeray, qu’il me répond.
- Ah ! Mais je connais très bien. C’est vraiment MON coin dans la ville.
- Je demeurais sur la rue Faillon, ajoute-t-il.
- Justement, mon fils y a acheté un multiplex il y a deux ans à l’intersection Casgrain.
Là, le visage du coiffeur change et me semble vraiment bizarre … Il ajoute :
- Pas Jean-François, le pompier ?
Là, c’est MA face qui a probablement changé. Je suis un peu abasourdi … Mais comment … Et je rajoute :
- En effet. C’est mon fils…
- Mais quel hasard ! Je demeurais dans le logement qu’il occupe aujourd’hui ! Très sympa votre fils, je vous l’assure !
Ai-je besoin d’ajouter que le reste de l’entrevue s’est fort bien déroulé.
Non mais quand même ! Après la confirmation de JF, me suis dit que vraiment, ya des jours où le globe est minuscule …
mercredi 3 novembre 2010
À la demande générale ...
lundi 1 novembre 2010
Bonne nouvelle !
Célèbre ... dans l'anonymat
J’ai appris ça dernièrement. Mon pote Denis de la Pointe de l’Ile devrait être fort connu. À un point tel que la plupart d’entre vous l’avez déjà entendu chanter ! Mais si ! Mais si ! Et je m'explique.
Vous vous rappelez cette chanson savoureuse et tordante de Gilles Valiquette qui s’intitulait « Je suis cool asteur »? Hé bien mon chum m’a appris vendredi dernier qu’il faisait partie du chœur qui chante le refrain « Je suis cool Je suis cool Je suis cool ». Rien de moins. Quatre ou cinq boys dans le studio pour l’enregistrement du célèbre tube. Ça me les a sciées !
Petit film de parodie avec la toune ... et la voix de Denis dans le choeur !!! Remarquez qui on montre quand arrive la parole : " Aujourd'hui je décide de m'déguiser en sale !"
C'est ICI
mercredi 27 octobre 2010
Charlebois un auteur ? Pas vraiment !
Je pense vous avoir déjà entretenu sur la chose, mais puisqu’un grand maître vient de me donner raison, j’y reviens …
Charlebois dans les années 70, c’était mon idole total. J’aimais absolument tout de lui. Puis les années ont passé et sa production est devenue moins … attirante et le monsieur vieillissant et … bourgeois. Mais bon, le passé est toujours présent dans ma tête et j’aime toujours ces maudites belles chansons de cette époque bénie de ma vie.
Avec les années, j’ai toutefois remarqué une chose : Robert Charlebois n’as pas ÉCRIT beaucoup de chansons. Il en a fait la musique, les a chantées mais pour les mots, ce sont d’autres auteurs qui lui ont fourni cette partie de ses tubes. Oui, il a écrit Joe Finger Ledoux (une de mes préférées) mais ses gros tubes, ce sont d’autres qui les ont écrits. Donc, disais-je, Robert Charlebois ne peut, honnêtement, se prétendre AUTEUR-compositeur-interprète. C’est d’ailleurs une source de chicane importante avec mon pote Jean-Louis quand je vais le visiter dans l’ouest de l’AUTRE pays.
Mais revenons à nos … moutons. Charlebois vient de sortir un nouveau CD qu’il est d’ailleurs allé présenter dimanche dernier à l’émission Tout le Monde en Parle. Ça s’intitule « Tout est bien ». Voilà que le journaliste Alain Brunet (le critique musical le plus respecté d’entre tous) en fait la critique sur son bloque Cyberpresse (ça se trouve ICI). Il le trouve « ordinaire » sans jeu de mots. Dans les commentaires, j’y suis allé du mien en insistant sur le côté non-auteur de celui qu’on appelait Garou. Voici ce que ça donne
De Crocomick : Charlebois, c’est un chanteur et un mélodiste. Pas un auteur. Ses grands succès (les vrais GRANDS succès) il ne les a pas écrits. Il en a composé la musique mais les paroles viennent d’autres. Nommez-les vous verrez bien qu’il n’en a presque pas écrit : Lindbergh (Pélo), Québec Love (Gadouas) Ordinaire (Mouffe) Fais toi z’en pas (Ducharme ) etc etc. Mélodiste oui. Grand auteur = non. Même dans le bon vieux temps !!!
Et monsieur Brunet de renchérir avec son commentaire par la suite :
De Alain Brunet : … Au cours des 35 ans ayant succédé à la période de grande inspiration, Garou (le vrai) est devenu trop proche de la pop française hyper-convenue… pour ne pas dire la variété ordinaire. Albums sans facture singulière dans la réalisation. Sans surprises. Sans risque. Sans exploration. Sans irrévérence. En tant que compositeur, il est resté un bon mélodiste mais ses structures harmoniques sont restées plus ou moins similaires. Ça s’entend encore sur le dernier album. En tant qu’auteur, son travail demeure très moyen et je suis d’accord avec crocomick lorsqu’il (ou elle) cite les auteurs de ses meilleures chansons. Le plus grand étant Réjean Ducharme, n’est-ce pas ? En tant que chanteur et showman, toutefois, Charlebois est resté excellent.
Depuis, si vous saviez comme la tête m’enfle !!!
mardi 26 octobre 2010
Le temps passe ...
lundi 25 octobre 2010
Aimer l'automne
vendredi 22 octobre 2010
Chaud au coeur
jeudi 21 octobre 2010
Garland Jeffreys et moi ...
Une autre « brillante » intervention du blogueur. Ça se déroule au Festival de Jazz, je dirais vers les 2002. Dans le centre-ville, une petite scène pas très loin de celle (plus grande) du Blues. Deux spectacles collés de Garland Jeffreys. J’adore ce chanteur grand ami de Lou Reed et qui nous a livré des succès tels que Spanish Town, Wild in the Streets et New-York Skylights.
J’y suis avec Chantal et, pour le premier spectacle, nous avons même déniché nos places à l’avant, bien assis à une table avec nos bières à la main. Garland Jeffreys impeccable comme d’habitude (je l’avais déjà vu au Club Soda en 1990) avec son éternel chapeau. Il y avait d’ailleurs une patère sur scène avec une dizaine de couvre-chefs qu’il a utilisés au gré de son bon vouloir. Et les tubes qui défilent et font le bonheur de l’assistance …
Puis le premier show se termine. Il reprendra dans une heure nous prévient-on. On reste à nos tables et attendons le prochain départ. Un peu plus tard, j’aperçois un petit attroupement sur le côté droit de la scène. En observant davantage, je me rends compte que c’est bel et bien Garland Jeffreys qui signe des autographes. Hey ! Mais je vais y aller bien sûr !
D’autant plus que j’ai avec moi un CD contenant plusieurs chansons de l’artiste. Un CD que m’a fait mon pote, bien connu sous le vocable de Mister Love, et sur lequel la pochette est remplacée par une feuille contenant la liste des tounes inscrites et leurs auteurs. Voilà l’image que vous voyez en haut du texte.
Je me place donc en ligne derrière la dizaine de fans devant moi et on avance lentement. Garland est là et il signe des choses tout en échangeant quelques mots rapides avec chacun. Tout petit qu’il est (5 pieds deux pouces max !), avec son chapeau (bien sûr), sa chemise écarlate de couleurs et ce sourire reggae.
J’arrive. C’est mon tour. Il regarde mon disque, me regarde la face, signe le document et me dit (en anglais) : « La prochaine fois, man, achète donc un disque neuf. Ça serait plus sympathique et agréable à signer … ». Il a vraiment signé (cliquez la photo, vous verrez).
J’ai alors réalisé ma bêtise de conard et suis reparti la tête entre les deux jambes.
Mais le deuxième spectacle était quand même meilleur que le premier. Un pro, je vous dis !
mercredi 20 octobre 2010
Grrrrr !
mardi 19 octobre 2010
Il était temps !
Vous êtes francophone? Vous êtes financièrement très à l’aise? Vous êtes un avocat qui charge entre $150 et $200 de l’heure? Vous êtes propriétaire d’une pme qui engrange les profits et vous les verse trimestriellement en dividendes? Vous êtes spécialiste en médecine et votre clientèle déborde comme votre portefeuille? Votre revenu annuel net nage allègrement dans les six chiffres? Ou bien vous êtes éditorialiste au journal La Presse?
J’ai une bonne nouvelle pour vous. John James Charest vient tout juste de vous ouvrir la porte pour l’éducation de vos enfants dans la vraie langue d’Amérique. Moyennant quelques $30,000 vous pourrez envoyer vos enfants dans une école privée anglophone non-subventionnée pendant trois années et ensuite … vive les économies ! Vous pourrez faire instruire vos héritiers en anglais dans une école publique subventionnée sans déboursé additionnel et ainsi récupérer et rentabiliser votre investissement initial.
Tout ça est définitivement enchâssé dans la loi québécoise. Il était grandement temps. La vie est belle, non ?
Vous êtes évidemment invité à verser annuellement quelques centaines de dollars à la caisse électorale du parti de John James Charest, une dépense qui, je vous le rappelle, est entièrement déductible pour vos impôts.
dimanche 17 octobre 2010
Saint-Frère-André n'est pas seul !
jeudi 14 octobre 2010
Chez Wal-Mart ...
Ma chum de Joliette m'expédiait cette blague qui m'a bien fait rire. Je vous la refile.
Cet après-midi j'attendais en ligne chez Wal-Mart pour payer une grosse poche de manger à chien. La madame derrière moi me demande : "Vous avez un chien? "
Quelle épaisse!
Alors je réponds : "Ben non, j'ai pas de chien, je débute aujourd'hui la diète Purina ... Je sais que je ne devrais pas, parce que la dernière fois que je l' ai fait, je me suis ramassée à l'hôpital aux soins intensifs avec des tubes qui me sortaient de partout. Mais puisque j'ai perdu 50 livres la dernière fois, je me dis "Au diable, j'essaye de nouveau!"
La bonne-femme est très intéressée ainsi que la caissière et le monsieur en ligne également. Je poursuis en disant que la diète est très simple: chaque fois qu'on a faim, on mange 2-3 croquettes et ça coupe l'appétit. C'est une formule nutritionnelle complète, alors pas de problème. Alors la madame me demande:
"Vous en avez trop mangé et ça vous a empoisonnée, c'est pour ça que vous vous êtes ramassée à l'hôpital?"
Et moi de répondre : "Ben non ! C'est parce que je me léchais le cul en plein milieu de la rue et je me suis fait frapper par une auto".
Le gars en ligne est parti en courant vers la sortie en se tordant de rire ...
Quand je suis partie, la madame était toujours en ligne la bouche ouverte ...
Hé que le monde est innocent !
Merci Manon