dimanche 30 novembre 2008
Une première
samedi 29 novembre 2008
vendredi 28 novembre 2008
L'équipe ?
jeudi 27 novembre 2008
Dixit Foglia ce matin
:-)
mercredi 26 novembre 2008
Cerveaux à vendre
« J’ai bien peur d’être porteur d’une mauvaise nouvelle », avoue-t-il en observant les visages inquiets.
« Désormais, le dernier espoir pour lui sauver la vie, c’est une transplantation cervicale. La méthode est expérimentale et donc, très risquée. Mais c’est sa dernière chance. L’assurance couvre tous les frais. Cependant, vous devrez payer pour le cerveau ».
Tout le monde se rasseoit pour absorber la nouvelle jusqu’à ce que l’un d’entre eux se décide à demander poliment combien coûte un cerveau. Et le docteur de lui répondre :
« C’est $5,000 pour un cerveau mâle et $200 pour celui d’une femme ».
Oups ! Léger malaise dans l’assistance. Certains hommes essaient de contenir leur sourire en évitant de croiser le regard des femmes présentes alors que d’autres feignent l’étonnement. Silence inconfortable, brisé par la question que tous se posent :
« Mais docteur, comment expliquer le prix tellement plus élevé du cerveau mâle ? ».
Souriant devant cette candeur enfantine, le médecin a répondu :
« C’est une tarification standard : plus la marchandise a servi, plus son prix baisse ».
(Traduit de l’anglais sophistiqué d’une exilée en Ontario. Merci Rosie)
mardi 25 novembre 2008
La bosse des maths
Alors voilà ! Je vous donne une suite de chiffres et vous me trouvez le suivant qui manque pour poursuivre LOGIQUEMENT la liste. Pour sauver votre honneur, je vous admets volontiers que je n’ai PAS trouvé la solution même si elle saute aux yeux quand on prend connaissance de la solution.
Voici la liste
2 10 12 17 18 19 ???
Allez faites un effort !
Si vous n’avez pas trouvé, il vous faudra lire le premier commentaire de ce billet !
dimanche 23 novembre 2008
Quelle démonstration ...
Je vous avais parlé d'un latinos choker ...
Calvillo, nommé le meilleur joueur offensif de la ligue ...
Un seul petit point dans toute la deuxième demie !
Avec deux interceptions directes dans les mains des Stampeders.
Anthony Calvillo, le deux de pique du Mexique (ça rime en crime !)
Ça lui fait une victoire et cinq défaites en finale de Coupe Grey.
Choker je disais ...
Allez, bonne nuit !
Mario Mario Mario
TVA ne l'a pas trouvé drôle. Quelqu'un dans la boîte a vendu la mèche.
Pourquoi attendre à ce soir ? C'est en ondes web ICI
vendredi 21 novembre 2008
Mon souffre-douleur favori
Le gars s’appelle Anthony Calvillo. C’est le quart-arrière du club, le général de l’offensive. Ce cher latinos dirige l’attaque des Alouettes depuis l’an 2000. OUI, il a gagné la fameuse Coupe en 2002. Yééééééééééé ! Mais depuis, c’est le néant. Avec une kliss de bonne équipe devant lui, le monsieur a pris la très mauvaise habitude de choker dans les grands matchs.
Tiré du dictionnaire Petit Crocomickey :
Choker : de l’anglais to choke, verbe francisé qui signifie échouer lamentablement quand l’enjeu est important.
C’est la neuvième année de Calvillo à Montréal. Oui, oui, il en a gagné une et on ne peut pas toutes les gagner. Mais une en 9 ans, alors que le club aurait dû en gagner au moins quatre, on appelle ça s’effouairer ou, en langage sportif : choker !
Ce cher Calvillo vient tout juste d’être élu Joueur Offensif de l’année dans la LCF pour la saison 2008. Il a accepté son bô trophée. Mais il ne touchera pas à l’autre trophée, le plus important, qui a pour nom la Coupe Grey. Parce que monsieur est un choker.
Ce sont les Stampeders de Calgary qui s’en retourneront chez eux après leur victoire dimanche soir. Et le bel Anthony annoncera sa retraite pour le plus grand bien des Alouettes.
Si vous regardez le match dimanche soir, écoutez bien l’analyste Pierre Vercheval (qui a déjà été coéquipier de Calvillo). Après plusieurs années d’expérience derrière le micro, il est toujours incapable de prononcer correctement le nom de Calvillo. Il omet constamment le premier L et ça donne CAVILLO. Personne à RDS ne lui a encore fait la remarque ?
Bon match … malgré le choker !
jeudi 20 novembre 2008
Le Point G = mmmmmm !
mercredi 19 novembre 2008
Voir le temps passer
Elle poursuit malgré tout sa conversation téléphonique. Deux autres minutes s’écoulent et notre québécois commence à pomper l’air. Il regarde sa montre plusieurs fois avec insistance. Juste avant qu’il n’explose, la caissière raccroche le téléphone. Se contenant du mieux qu’il peut, le québécois ne dit pas un mot, mais son regard exprime malgré tout son impatience.
La caissière le regarde alors directement dans les yeux et lui dit :
« Monsieur, vous avez une belle montre mais moi . . . j’ai le temps ».
Et vlan dans les dents !
mardi 18 novembre 2008
L'insulte
lundi 17 novembre 2008
Mon cousin Phil
La grande qualité de mon cousin Phil à la télé, c’est de vulgariser correctement et clairement les choses complexes de l’économie. Pourquoi les métropoles européennes bénéficient d’un gros appui financier de leurs gouvernements pour la présentation de leurs Grand Prix ? a demandé le suave Simon. Et Phil de nous expliquer que ces pays ont des infrastructures industrielles intimement liées à l’automobile (Ferrari, Mercedenz, Renault et autres Porsche) alors qu’ici, seul le tourisme relié à l’évènement peut justifier une telle dépense. Un aspect qui m’avait échappé …
Docteur en Économie et responsable de la Faculté à l’UQAM, mon cousin Phil revient d’un séjour d’une année avec sa famille dans la ville de Boston pour faire un peu de recherche avec des collègues de la prestigieuse université de Harvard. Je pense qu’il sait un peu de quoi il parle, d’autant plus qu’il a fait de l’économie reliée directement au sport, son dada.
Ainsi, encore devant un Durivage éberlué, Phil a fait le lien entre Ecclestone et son grand partenaire financier, la banque américaine récemment mise en faillite : la Lehmann Brothers ! Bizarre qu’aucun scribe attitré (à la Réjean Tremblay, mettons) n’ait fait mention de cette énormité.
Je suis bien fier de mon cousin Phil avec qui j’ai partagé la chambre à coucher lors de ma première année d’études en ville. Et vous savez, ces amitiés et complicités de fin d’adolescence, elles se veulent tout simplement inoubliables.
dimanche 16 novembre 2008
Flotter devant la Tour Eiffel
Je vous teste
samedi 15 novembre 2008
La preuve
C'est pour vérifier si on est sincère ...
Une p'tite vite qui m'est arrivée d'Ontario. Merci Rosie.
vendredi 14 novembre 2008
jeudi 13 novembre 2008
Premières minutes d'un premier job
Nous avions certes reçu une courte formation d’environ une heure sur ce qu’est la maladie mentale et les types de patients soignés par l’Hôpital. Pour le reste, c’était l’abstraction totale et j’appréhendais, comme tous mes collègues étudiants, la rencontre avec mon premier fou.
Première journée ! Je suis assigné au Troisième-Sud, l’étage des oligophrènes (des adultes avec 7 ans maximum d’âge mental). J’enfile mon sarrau blanc de préposé et me dirige vers LA porte qui me mènera au monde de la folie. Avant d’ouvrir, je jette un coup d’œil par le judas pour observer la salle. Tout est calme. Une trentaine de monsieurs sagement assis sur leur chaise autour de la salle. Allez Michel, ça ne sera pas si pire !
J’ouvre donc cette porte et la referme illico derrière moi (c’est la consigne en psychiatrie). Ce fut leur signal. Ils se sont tous immédiatement rués sur moi ! Ils arrivaient des quatre coins de la pièce et m’ont isolé devant cette porte. Leurs visages interrogatifs, curieux, inquiets ou souriants, et leurs mains ! Leurs mains me palpant les bras, les cheveux, le sarrau, alouette !
J’étais sidéré. Entouré de cette gang de « vrais » malades qui me posaient moultes questions (As-tu un bicycle ? Yé où ton char ? As-tu une soeur ? Restes-tu icitte longtemps ?), je n’en menais pas large. Et le plus grand d’entre eux (un longiline six pieds six pouces) qui sautillait sur place en mordant dans ses mitaines de contention tout en poussant des hurlements jouissifs ! Je vous le répète, j’étais terrifié en essayant de me dégager de cet essaim d'adultes exubérants du mieux que je pouvais, lorsque j’ai enfin compris . . .
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Brièvement, j‘ai aperçu deux préposés RÉGULIERS au fond de la salle et ces deux salopards étaient pliés en deux, morts de rire devant ma frayeur. Je n’ai jamais su quelle facétie ils avaient pu compter à ces cinglés pour les inciter à accueillir le NOUVEAU de la sorte, mais je vous jure qu’ils n‘ont pas raté mon initiation. Les semaines qui ont suivi m'ont permis d'apprécier l'expérience de cotoyer ces adultes-enfants et même de m'y attacher sérieusement. Mais ce premier contact, ouf !
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Comme entrée sur le marché du travail, vous admettrez qu’on ne m’a pas épargné. Malgré tout, ce souvenir vaut son pesant d’or et mes palpitations d’alors valaient bien cette brève confidence .
mercredi 12 novembre 2008
Publi-Sacs à l'infini ...
Blague à part, ces petits auto-collants distribués par la ville de Montréal et qu'on applique sur la boîte aux lettres, eh bien ils sont diablement efficaces. Ça fait dix ans que la mienne est bien placée et ... fini les cochonneries, les dépliants de la pizzeria, les annonces de vente de garage, les propositions de nettoyage de tapis et autres pubs inutiles qui assassinent les arbres avec leur totale inutilité pour des informations qu'on peut trouver ailleurs de toute façon !
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À part ça, chez vous sont bien ?
mardi 11 novembre 2008
Ahhh l'instruction !
Réalisant que ce n'était pas très "palpitant" comme sujet, il décide d'alléger l'atmosphère un peu.
S'adressant à une jeune femme de la première rangée, il lui demande :
"Savez-vous ce que votre trou de cul fait pendant que vous avez un orgasme?"
Elle répondit: "Probablement en train de chasser l'orignal avec ses amis".
Ça a pris un bon 45 minutes pour rétablir l'ordre dans la classe ...
Merci Gilles !
lundi 10 novembre 2008
Pédant Bégin = Génial Labrèche
Christian Bégin c’est ce gars de Québec qui piquait une grosse crise l’an dernier (ou ya deux ans) à propos de l’omniprésence des humoristes dans les films, les téléromans et autres émissions télé. Il était même passé chez Guy A. pour défendre les VRAIS comédiens et acteurs qui ont étudié et bla bla bla.
Aujourd’hui, ne voilà-t’y pas le comédien qui vient prendre le rôle d’un animateur d’émission de télévision. Honnnn ! En fait de compétence et de connaissances pour parler bouffe et culture maraîchère aux quatre coins du Québec, je pense que je serais aussi bon que Christian Bégin. Autrement dit, il n’a pas d’affaire là.
Mais pour faire passer la pilule, le Bégin en question prend son air relax et cool, répète littéralement en ondes ce que ses invités nous apprennent et aime bien mettre sa petite touche perso dans l’émission. Ce qui veut dire recevoir un appel téléphonique de sa blonde ou sa mère pendant le tournage (et ne pas le couper au montage), se mettre à chanter la toune qui lui passe par la tête pour faire plus cool, se promener en scooter pour faire hip, se trouver con et le dire haut et fort pour paraître sympa, et patati et patata. Vous avez compris que je ne blaire guère le personnage.
Mais ce weekend, à son émission 3600 secondes d’extase, Marc Labrèche et son équipe ont fait une parodie absolument tordante du personnage que je viens de vous décrire. Faut voir la bête clancher quatre ballons de vin rouge à la queue-leu-leu. Et la chose est visible ICI sur Youtube. Moi j'aime ces tapes sur la gueule quand elles sont méritées. Allez vous régaler.
dimanche 9 novembre 2008
D'une icône à l'autre ...
Ce pauvre type qui, un jour, battra tous les records mondiaux de longévité sur les banquettes de l’opposition, a recommencé sa tournée des régions en traînant avec lui quelques spécialistes qui jouent les béni-oui-oui pour chacune des promesses qu’il nous lance au gré de son imagination du jour.
La dernière promesse : des milliards de coupures dont quelques ministères au complet. Questionné sur l’identité des ministères en question, le suave Mario, affichant son poker face, a réussi à répondre aux journalistes (sans pouffer de rire) que son parti allait étudier sérieusement pour déterminer lesquels couper …
samedi 8 novembre 2008
Amulette
Question de vocabulaire
vendredi 7 novembre 2008
Sergio 1953-2008
Il est parti le 24 octobre des suites d’une longue lutte contre le cancer qu’il m’avait caché, même si je ne le croisais que très occasionnellement.
Nous avons été colocs, ou plutôt j’ai été chambreur chez lui à une époque où j’en avais vraiment besoin au siècle dernier. Il m’avait accueilli sans discussion et m’avait enduré quelques mois, le temps que je me ressaisisse. Période de haute toxicité pour lui et moi. Me souviens aussi de l’épicurien côté bouffe et les festins qu’il aimait bien diriger.
Je pense aussi à son fils Karl que je conduisais à l’école primaire les matins où le papa n’était pas en état pour le faire.
Il s’en était sorti lui aussi et vivait paisiblement avec sa belle Guadalupe (c’est son prénom). Bizarrement, j’avais pensé à lui le 2 novembre dernier (le jour des Morts) parce que … c’était le jour de son anniversaire de naissance. Il était déjà parti …
jeudi 6 novembre 2008
Cinquante-six berges ...
mardi 4 novembre 2008
Scottstown : un extrait
dimanche 2 novembre 2008
Nostalgie ...
Journalisme de boulechite
Dans les faits, le salaire des enquêteurs compte pour $240,989, dont $300 piastres (vous avez bien lu !) seulement en heures supp.
Bon ! C’est quoi l’histoire ? Ces enquêteurs-là auraient travaillé de toute façon sur un autre cas quelconque. Et la scribe qui vient nous dire que nous contribuables canadiens devrons payer ces frais. Viaaaaarge ! On les paieraient de toute façon ces enquêteurs. C’est quoi la joke ici ?
Loin de moi l’idée de défendre la « pôvre » représentante de la Reine mais plutôt de dénoncer cette manie qu’ont souvent les journalistes de jouer avec les mots pour que leur manchette fasse la UNE du quotidien qui les embauche. Combien a été payée Violaine Ballivy pour nous écrire cette banalité ? Ça c’est du gaspillage !