Bon, ça y est ! Le couraillage de dernière minute est complété. Les valises presque fermées. Même les 16 plants-pousses de basilic pour mon insulaire de sœur ont trouvé leur enveloppe protectrice. Ne manquerait plus que l’inspecteur d’embarquement m’interdise d’apporter ces plantes inoffensives dans l’avion. Grrr !
Pour ce trajet aller-retour vers les Iles-de-la-Madeleine, la monopolistique Air Canada n’y va pas avec le dos de la cuillère. Mon billet acheté (heureusement !) il y a environ quatre mois se détaillait $545 tout nu, sans additif tels les assurances ou la place présélectionnée, etc. Je viens tout juste de vérifier sur le site internet : pour le même billet, le même vol, la même journée, dans le même appareil : ça coûte désormais $770. Légère augmentation de 41%. C’est quoi la joke ?
Le beau côté de l’affaire, c’est le vol direct. Sur une douzaine de séjours aux Iles depuis cinq ans, c’est une première pour moi : deux heures quinze minutes et j’y suis. Même chose pour le retour. Habituellement, on parle de quatre ou cinq heures parce qu’il faut se taper des arrêts et/ou transferts à Québec (l’aéroport le plus ennuyant au Canada) et à Gaspé. Pas cette fois-ci. Zip Zap et on débarque à Havre-aux-Maisons.
Je vous quitte donc, ami(e)s du blogue, le cœur gros mais l’âme légère, avec la promesse de vous envoyer quelques pensées positives à partir du bistro-internet Aux Pas Perdus de Cap-aux-Meules.
Couché tôt ce soir because la levée du corps à 5 heures samedi matin.
Bonne Saint-Jean à tous et toutes !
Pour ce trajet aller-retour vers les Iles-de-la-Madeleine, la monopolistique Air Canada n’y va pas avec le dos de la cuillère. Mon billet acheté (heureusement !) il y a environ quatre mois se détaillait $545 tout nu, sans additif tels les assurances ou la place présélectionnée, etc. Je viens tout juste de vérifier sur le site internet : pour le même billet, le même vol, la même journée, dans le même appareil : ça coûte désormais $770. Légère augmentation de 41%. C’est quoi la joke ?
Le beau côté de l’affaire, c’est le vol direct. Sur une douzaine de séjours aux Iles depuis cinq ans, c’est une première pour moi : deux heures quinze minutes et j’y suis. Même chose pour le retour. Habituellement, on parle de quatre ou cinq heures parce qu’il faut se taper des arrêts et/ou transferts à Québec (l’aéroport le plus ennuyant au Canada) et à Gaspé. Pas cette fois-ci. Zip Zap et on débarque à Havre-aux-Maisons.
Je vous quitte donc, ami(e)s du blogue, le cœur gros mais l’âme légère, avec la promesse de vous envoyer quelques pensées positives à partir du bistro-internet Aux Pas Perdus de Cap-aux-Meules.
Couché tôt ce soir because la levée du corps à 5 heures samedi matin.
Bonne Saint-Jean à tous et toutes !
2 commentaires:
Je te souhaite un fichu de beau séjour en tes terres chéries.
Reviens nous avec des images et des mots qui goûtent le soleil et la mer.
Tu sais combien je suis contente pour toi. Mais en même temps terriblement jalouse. Tu lui donnes plein de câlins pour moi ok?
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