J'avais l'habitude de décrire une platitude comme ceci : c'est ennuyant comme une chanson d'Isabelle Boulay.
Depuis cet après-midi, j'ai trouvé plus judicieux comme comparaison : c'est ennuyant comme un film de Léa Pool.
mercredi 21 janvier 2009
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6 commentaires:
Hahahahah tu as tellement essayé de regarder le même que moi! J'ai pas tuffé plus que 5 minutes!
Mouvement du désir = ouf !
rerererererereouffffffffffffff
Une grande respiration, quelques Guinness, ça va bien aller ;-)
Surtout, on change de poste.
La platitude n'est-elle pas pour les médiocres une victoire sur la vie elle-même ? Objectivement nul n'y échappe.
Pourquoi t'es méchant comme ça avec la p'tite Isabelle, Croco ? !
Léa Poll doit bien en ravir quelques uns aussi...
Laisser vivre et ignorer, pour ne pas s'ennuyer fuir la platitude.
Evidemment on a le droit de critiquer, on pourrait dire par exemple que :
"Tels les CD et les DVD, Boulay et Pool sont à la musique et au cinéma : d'une platitude, d'une platitude..."
Michel
On peux dire d'une performance,j'aime ou j'aime pas,puisque d'autres peuvent en raffoler.Moi, c'est la Dion que je ne peux blairer elle ménarve...
Effectivement,les film de Léa,il faut une telle patience pour les supporter jusqu'au ah pis ferme la télévision,merci oufff
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