Un potin judiciaire ... étonnant. Une infirmière du CHSLD Juif de Montréal s'injectait les doses de Dilaudid destinées à une patiente dont elle avait la charge. Elle remplaçait les doses avec de l'eau et s'injectait la vraie dope, laissant souffrir sa patiente. Un petit jeu qui a duré deux mois avant qu'on ne découvre le subterfuge. L'infirmière a écopé de deux ans de prison ferme.
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Non mais ça prend tu une krisse de folle !
5 commentaires:
Ça c'est un cas parmis combien d'autres??? On ne le saura sûrement jamais.
Ça c'est de la conscience professionnelle,ça fait toute une réputation à la profession.
Ça m'écoeure, tu peux pas t'imaginer...
Pour la patiente d'abord qui a souffert pour rien dans ce CHSLD, pour la profession (la vocation) d'infirmière ensuite qui va être salie à cause de la maudite sans coeur junkie malade finie ben raide.
Et finalement pour la société dans laquelle on vit, parce qu'il est devenu difficile de faire confiance même à ceux et celles qui devraient être là pour nous aider à vivre.
Ça sème un méchant doute dans la tête du monde. C'est grave, ça. Au-delà des dommages subis dans ce cas-ci, il demeurera toujours de la méfiance vis-à-vis le personnel soignant. Comme s'ils avaient besoin de ça!
2 ans de prison ; c'est bien mince là...
C'est quand même mieux qu'une probation et puis, pour une citoyenne ordinaire (sauf sa folie intérieure), ce séjour de deux années avec des folles et pétées comme elle, mettons que ça n'est pas très jojo dans la vie de quelqu'un, aussi fou/folle soit-il/elle. Hum !
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