Lu ce matin dans le Journal de Montréal :
Le policier qui a menacé un itinérant de l'attacher à un poteau la semaine dernière aurait été rétrogradé, a appris TVA Nouvelles.
L'agent, qui était un haut gradé du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) n'occuperait plus les mêmes fonctions. Le SPVM refuse toutefois de confirmer cette information.
Ma question : si un HAUT GRADÉ du SPVM est occupé à engueuler un robineux, que fait un policier ordinaire ???
Et, petite suggestion de réplique pour le haut gradé ...
Monsieur, si vous continuez à déranger les gens, je n'aurai pas le choix = je devrai vous amener de force au poste de police ! M'avez-vous compris monsieur ???
Au lieu de l'attachage au poteau, me semble ... C'est juste une parole mais viaaarge quand tu représentes l'autorité, c'est pas comme une chicane de cons dans un bar ....
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6 commentaires:
Pauvre petit, c'est juste un membre des Sales Pourris Vraiment Mafieux, communément appelé, le SPVM.
On joue avec les lettres mon cher barbu ... :-)
Tu as remarqué!
Mais, c'est le vrai nom de cet organismes malfaisant...
Cet événement aura fait couler beaucoup d'encre...
Si ça se passe à Montréal, ça se passe partout pareil ailleurs également. Les urgences des hôpitaux, la police, les organismes qui accueillent les paumés, les désoeuvrés, les mal pris, les sans abris, ne savent plus quoi faire, comment gérer ça, mais c'est sûr que ce n'est pas en les menaçant de les attacher à un poteau qu'on va prendre soin de ces gens-là.
La détresse de ces personnes est telle qu'il n'y a pas de solutions...
Zoreilles,
tu as raison, il n'y a pas de solution, mais ça n'excuse pas la conduite inqualifiable de ce policier. Et j'ai lu sur Cyberpresse la chronique de Vincent Marissal (8 Janvier) intitulée "Le flic, le sans-abri et le poteau", un texte très pertinent qui va dans le sens de celui de Croco.
Mais bon ce n'est pas à toi que je dirai que la justice et ses représentants (les policiers sont censés protéger les gens, et non les menacer il me semble, surtout ceux qui sont déjà par terre et n'ont pas besoin d'un coup de pied supplémentaire) ne valent pas cher. Après le cauchemar que vous avez vécu l'année dernière, tu en sais quelque chose...
L'empathie, le respect, l'écoute, et la simple gentillesse sont de plus en plus rares au sein de la société; des valeurs qui disparaissent. Ça aussi on n'y peut rien!
De plus en plus souvent, en lien avec toutes sortes de situations problématiques, et là, je cite Lise :
« L'empathie, le respect, l'écoute, et la simple gentillesse sont de plus en plus rares au sein de la société; des valeurs qui disparaissent »
Cela m'attriste énormément de le constater, de le voir, de le vivre.
Ce que je voulais dire surtout, c'est que ce cas fortement médiatisé est représentatif de bien d'autres dont on n'entendra jamais parler. Alors, c'est plus fort que moi de chercher des solutions mais j'en vois vraiment pas.
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