Il se nomme Steve Faulkner et j’aime infiniment cet artiste. Au-delà de sa toune la plus connue (Si j’avais un char …) il en a créé plusieurs autres belles, bienfaisantes, poétiques ou sarcastiques, amoureuses ou enragées, mais toujours authentiques et révélatrices de sa si belle bohème.
Et j’ai revu et surtout « entendu » ce magnifique troubadour l'été dernier au sous-sol du centre Immaculée-Conception. Il était l ‘artiste invité pour célébrer le 30ième anniversaire de fondation du Comité du logement du Plateau Mont-Royal, un organisme où j’ai bossé de 1997 à 2004.
Une fête tristounette qui n’a attiré qu’une centaine de personnes, incluant des politiciens locaux qui y sont passés en coup de vent pour y livrer leur petit laïus de circonstance. Je résume en vous avouant qu’il restait beaucoup de bouffe et beaucoup de bière quand j’ai quitté passé minuit. Vraiment pas de quoi se péter les bretelles …
Malgré ce presque flop, je suis sorti dans la nuit du Plateau avec la tête remplie à ras-bord de flashes réjouissants et réconfortants. Because monsieur Steve Faulkner et son incroyable générosité.
Seul avec sa guitare, il nous a garroché une douzaine de tounes entre 21h et 22h. Full contact et sans retenue. Intense, sincère et nullement offusqué malgré un auditoire rétréci à cinq dizaines d’auditeurs, incluant l’équipe des organisateurs. Fallait entendre « Le rap du pape » mes amis. Délirant !
Un « break » de trente minutes et il revenait nous en livrer dix autres sans baisse d’intensité, même s’il ne restait qu’une trentaine de paires d’oreilles pour l’apprécier. En clôture, avant le rappel (mais oui !), il nous a hurlé son « Chui un bum » qu’il a ponctué de deux solos ad lib sur sa guitare, mixant le tout avec des notes furtives de Beatles ou d’Elvis pour nous laisser savourer le cancre qui gigote toujours dans son esprit.
Épuisé après le rappel (il m’a avoué n’avoir pas chanté depuis trois mois), il a remis la guitare dans sa boîte, accepté quelques compliments puis, il est parti avec sa blonde un peu avant minuit.
Abasourdi j’étais, devant cette générosité sans fard et sans calcul. Il m’a confié qu’une tournée de quelques semaines en Allemagne est prévue pour l’été suivant. « Au pays de la bière ! » lui ai-je souligné. Effectivement, mais il n’aime pas la bière. Il lui préfère nettement . . . le fort, notamment le bourbon.
J’aime beaucoup Steve Faulkner. Un bum généreux avec des « Poussières d’étoiles » entre les oreilles. Je sais, je sais, il n’est pas le seul. Mais y en a pas beaucoup …
Et j’ai revu et surtout « entendu » ce magnifique troubadour l'été dernier au sous-sol du centre Immaculée-Conception. Il était l ‘artiste invité pour célébrer le 30ième anniversaire de fondation du Comité du logement du Plateau Mont-Royal, un organisme où j’ai bossé de 1997 à 2004.
Une fête tristounette qui n’a attiré qu’une centaine de personnes, incluant des politiciens locaux qui y sont passés en coup de vent pour y livrer leur petit laïus de circonstance. Je résume en vous avouant qu’il restait beaucoup de bouffe et beaucoup de bière quand j’ai quitté passé minuit. Vraiment pas de quoi se péter les bretelles …
Malgré ce presque flop, je suis sorti dans la nuit du Plateau avec la tête remplie à ras-bord de flashes réjouissants et réconfortants. Because monsieur Steve Faulkner et son incroyable générosité.
Seul avec sa guitare, il nous a garroché une douzaine de tounes entre 21h et 22h. Full contact et sans retenue. Intense, sincère et nullement offusqué malgré un auditoire rétréci à cinq dizaines d’auditeurs, incluant l’équipe des organisateurs. Fallait entendre « Le rap du pape » mes amis. Délirant !
Un « break » de trente minutes et il revenait nous en livrer dix autres sans baisse d’intensité, même s’il ne restait qu’une trentaine de paires d’oreilles pour l’apprécier. En clôture, avant le rappel (mais oui !), il nous a hurlé son « Chui un bum » qu’il a ponctué de deux solos ad lib sur sa guitare, mixant le tout avec des notes furtives de Beatles ou d’Elvis pour nous laisser savourer le cancre qui gigote toujours dans son esprit.
Épuisé après le rappel (il m’a avoué n’avoir pas chanté depuis trois mois), il a remis la guitare dans sa boîte, accepté quelques compliments puis, il est parti avec sa blonde un peu avant minuit.
Abasourdi j’étais, devant cette générosité sans fard et sans calcul. Il m’a confié qu’une tournée de quelques semaines en Allemagne est prévue pour l’été suivant. « Au pays de la bière ! » lui ai-je souligné. Effectivement, mais il n’aime pas la bière. Il lui préfère nettement . . . le fort, notamment le bourbon.
J’aime beaucoup Steve Faulkner. Un bum généreux avec des « Poussières d’étoiles » entre les oreilles. Je sais, je sais, il n’est pas le seul. Mais y en a pas beaucoup …
Et la photo ... pas pire hein ?
2 commentaires:
Yé aussi fou que du temps où il faisait des shows avec Plume Latraverse. Méchant malade mais grand poète du quotidien.
Oui, oui, oui ! Je les ai déjà vus en première d'un show de Gentle Giant (!!!) au Centre Sportif de l'UdeM. Ils avaient pris pour nom = Plume et le Docteur Landry.
Faut le faire !
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