Hier soir, la SRC présentait un documentaire sur Lucien Rivard, un bandit québécois notoire qui a fait sa marque un peu partout en Amérique du nord et en Europe. M’est alors revenu un souvenir très précis de mon adolescence : son évasion à la Une.
Le bonhomme s’était évadé de Bordeaux de façon spectaculaire en franchissant la muraille à l’aide d’un boyau d’arrosage … etc. Mon souvenir est davantage axé sur la raillerie politique qu’avait entraînée cette évasion.
Les libéraux de Jean Lesage étaient alors au pouvoir (après les trrrès longues années du règne Duplessis). L’Union Nationale, désormais dans l’opposition, conservait toujours son journal quotidien (ou son influence majeur sur …) qui était à l’époque le Montréal-Matin.
Pour narguer le ministre de la justice libéral (Claude Wagner), l’éditeur du Montréal-Matin plaçait CHAQUE JOUR sur la UNE et au-dessus du sigle Montréal-Matin, une photo de Lucien Rivard avec la phrase : « 42 (ou 72 ou 95) jours depuis l’évasion de Lucien Rivard ». Fallait le faire !
Étranges ces choses précises qui restent imprimées dans le ciboulot. Pour moi, Lucien Rivard c’était cette bande baveuse dans le haut de la Une d’un quotidien.
Le bonhomme s’était évadé de Bordeaux de façon spectaculaire en franchissant la muraille à l’aide d’un boyau d’arrosage … etc. Mon souvenir est davantage axé sur la raillerie politique qu’avait entraînée cette évasion.
Les libéraux de Jean Lesage étaient alors au pouvoir (après les trrrès longues années du règne Duplessis). L’Union Nationale, désormais dans l’opposition, conservait toujours son journal quotidien (ou son influence majeur sur …) qui était à l’époque le Montréal-Matin.
Pour narguer le ministre de la justice libéral (Claude Wagner), l’éditeur du Montréal-Matin plaçait CHAQUE JOUR sur la UNE et au-dessus du sigle Montréal-Matin, une photo de Lucien Rivard avec la phrase : « 42 (ou 72 ou 95) jours depuis l’évasion de Lucien Rivard ». Fallait le faire !
Étranges ces choses précises qui restent imprimées dans le ciboulot. Pour moi, Lucien Rivard c’était cette bande baveuse dans le haut de la Une d’un quotidien.
2 commentaires:
Shit! j'l'ai manqué
Lucien Rivard étais un de nos voisin il y avait nous le dépaneur et sa maison situé sur la rue De Gaspé coin Faillon et quand il fut a Bordeaux je me souvient que sa femma avait deux bergers allement pour sa protection moi ti-cul avec la connaissance de ses explois je me souvient que je jouait a Lucien Rivard en dévallant les rampes d'escalier de sa demeure typique au escaliers de montréal, wow Mike quel flash-back !!!
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