Elle a aussi les yeux et les mots.
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Pour ceux et celles qui aiment l’air marin et les textes sur les Iles-de-la-Madeleine, je vous suggère fortement d’aller lire les derniers billets de Zoreilles, alias dame Turbide ou, plus précisément, la Francine à Léo à Avila à Julien à Jos à Dominique.
Elle était dans les Iles en même temps que nous. Nous avons même partagé des galettes de morue et cogné nos verres de vin lors d’un court dîner sympathique.
Aller lire ses mots, ses images, ses respirations ancrées dans sa famille. L’abitibienne qu’elle est désormais n’a rien oublié de ses racines madeliniennes et ça transpire fortement dans ses écrits. Un cœur et une âme qui s’expriment avec une poésie chantante dans les mots. De toute beauté. Vraiment.
Elle était dans les Iles en même temps que nous. Nous avons même partagé des galettes de morue et cogné nos verres de vin lors d’un court dîner sympathique.
Aller lire ses mots, ses images, ses respirations ancrées dans sa famille. L’abitibienne qu’elle est désormais n’a rien oublié de ses racines madeliniennes et ça transpire fortement dans ses écrits. Un cœur et une âme qui s’expriment avec une poésie chantante dans les mots. De toute beauté. Vraiment.
5 commentaires:
Tout à fait vrai ! Mais Francine-Zoreilles c'est encore plus : une amie que tous voudraient avoir, chaleureuse, d'une générosité de coeur sans limite, d'une empathie rare envers les autres, et j'en passe, j'en passe....
Et croco, je crois que ce qu'elle a dit à ton sujet est tout aussi vrai, du moins j'imagine.
@ Zoreilles
J'aurais dû te laisser écrire la première, en réponse à ce texte, je le sais. Mais je crois qu'il ne faut laisser passer aucun moment de dire aux gens que l'on apprécie la personne qu'ils sont. Qui sait si ce moment ne sera pas le dernier !
Croco, C majuscule. Ah les fautes de frappe !
Eh bien, ton amie Zoreille m'en a fait verser plus qu'une!
C'est étrange ce sentiment que je ressens pour les îles. Bien sûr, notre grande sœur et notre belle Cécile y coulent des beaux jours et de ce fait on ressent certainement quelque appartenance. Mais quand même, les références de Zoreille ne sont rien à quoi on peut se rattacher, nous, Madelinots de la fesse gauche et d'adoption de surplus.
Quand-même Zoreille, je dois te dire que ta langue, ta plume avec ses tournures et son tournis m'ont fait sentir ton attachement si profond pour ce petit bout de terre de la planète.
Merci Croco mon frère, de partager ces trouvailles avec nous. Je n'aurais pas su si tu l'avais gardé pour toi.
Bon dimanche chaud ensoleillé et qui est tout au ralentit.
Je manque de mots pour exprimer tout ce que je ressens quand je lis les billets de Zoreilles... En plus d'être d'une justesse incroyable, ses écrits vont droit au coeur et ses photos nous mettent la larme à l'oeil, car il est parfois difficile de lire et de regarder tant de beauté. Zoreilles, c'est l'amie de tous ceux et de toutes celles qui la connaissent, qui aimeraient tant la fréquenter et qui la lisent jour après jour... Tu es vraiment chanceux de l'avoir rencontrée Croco et d'avoir partagé un petit gueuleton en sa compagnie... Veinard, va ! ;)
Oh la la, c'est encore ma fête aujourd'hui... Vraiment, je me sens encore aux Iles, en votre compagnie. Tellement de chaleur ici, une grosse vague d'amour et d'amitié!
Décidément, je reçois beaucoup ces jours-ci et ce repas qu'on a partagé ensemble reste parmi mes souvenirs les plus chaleureux de ce voyage au pays de tous les miens.
Merci à vous qui avez ajouté vos commentaires, merci à Croco également, un gars qui ressemble à ce qu'il écrit et ça, je vous jure, c'est tout un compliment pour lui!
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