Ça m'a vraiment RÉJOUI d'apprendre le succès de Yannick Nézet-Séguin avec l'orchestre philarmonique de Berlin. Ce type-là est fort sympathique et d'aller chausser les souliers de Herbert Von Karajan tout en emballant la critique et le public de Berlin, c'est formidable.
En entrevue comme ailleurs, le chef québécois demeure simple et ne semble pas être tombé du ciel comme la plupart de ses collègues du même niveau.
Quand on arrive devant cette centaine de musiciens réputés comme les meilleurs au monde, le gorgoton ne doit pas laisser passer beaucoup de salive mais ce Yannick a passé le test et son sourire n'avait rien de triomphant : simplement du bonheur.
Bravo !
Et il n'a que 35 ans ...
3 commentaires:
C'est que le chef est intelligent.
Sa modestie toute naturelle en est la preuve. Il sait que les aplaudissements de ces amateurs spécifiques n'ont pas de liens directs avec la qualité de son travail exceptionnel.
C'est un grand chef, qu'il conduise le philarmonique de Berlin, le symphonique de Cleveland ou celui de Montréal, son talent se fait toujours sentir.
Il en est conscient, seule l'interprétation compte pour lui.
Accent Grave
Sauf erreur, il est désormais le chef à Rotterdam et le sera aussi à Philadelphie à partir de 2012. Tout un parcours !
J'aime ces success story qui viennent illustrer de façon magistrale que les grands, en fait, ce sont des gens tout simples, vrais, passionnés, acharnés, travailleurs, dynamiques et toujours en mouvement.
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