
jeudi 28 juillet 2011
Méchante brosse !

jeudi 21 avril 2011
Go Habs Go !
dimanche 25 juillet 2010
Bizarre de champion
Confirmé aujourd’hui, Alberto Contador a gagné la 97ième édition du Tour de France, LA compétition vélo la plus prestigieuse sur terre. Pas moins de 3600 kilomètres de coups de pédales répartis sur 20 étapes en un peu plus de trois semaines.
Avec les 6 heures de décalage, la chose nous était présentée tous les matins sur les ondes du Canal Évasion avec trois bonhommes férus de la chose. Et j’aime bien écouter la chose chaque jour, un peu distraitement, tout en vacant à mes occupations devabt mon orrdi. De superbes images de la France, des commentaires piquant parfois ma curiosité et … la compétition comme telle.
Je n’en suis pas devenu un expert bien sûr mais bon, je ne suis pas con non plus. J’apprends jour après jour comme tous les auditeurs.
Cette année, quelque chose me chicote les neurones. Ce fameux Albert Contador, plébéscité aujourd’hui sur les Champs Élysées comme grand gagnant de cette course folle, hé bien, il n’a pas gagné une seule des 20 étapes de la compétition. Sans blague ! Ni les étapes sur le plat, ni les grimpantes dans les Pyrénées ou les Alpes, ni les contre-la-montre où les cyclistes sont seuls pour la comparaison, ni autrement : niet ! Le grand gagnant n’a aucune victoire à son palmarès dans l’une ou l’autre des 20 journées de compétition. Et je ne parle même pas de cette récente journée où il a profité de la chaîne déraillée de son principal adversaire, le Luxembourgeois Andy Schleck, pour prendre les commandes en lui subtilisant une quarantaine de précieuses secondes.
Les freaks de cyclisme pourraient sûrement m’expliquer et me faire accepter cette étrange situation de champion sans victoire d’étape, mais mon scepticisme demeure : comme une couronne sans diamant …
samedi 17 avril 2010
Go Lucian Go !
dimanche 21 février 2010
Les émotions

Elle était là aussi à Vancouver la semaine dernière mais les choses ont mal tourné. Blessure à l’entraînement aux poumons (elle crachait du sang !). En qualification, elle est tombée et sortie de piste. En reprise, elle ne l’avait pas non plus, est tombée, s’est relevée et complétait péniblement le parcours avec un temps médiocre qui l’a exclue des rondes suivantes.
Dans les estrades, Gérald Maltais, son père, forcément triste du résultat de sa grande fille. Son cellulaire sonne. Il décroche et entend sa fille lui dire : « Je m’excuse papa ».
J’étais chaviré en lisant cette anecdote…
dimanche 10 janvier 2010
Planète NFL
En premier, me dit-il, cette année les Eagles de Philadelphie vont disputer le SuperBowl aux Chargers de San Diego. "Tchèques ben c'que j'te dis !"
Hé bien, hier soir, dans les préliminaires Wild Card, SES fameux Eagles se sont fait planter 34 à 14 par les Cowboys de Dallas, un club qui n'avait pas gagné un match de série depuis ... 1996 !
J'ai rappelé à Winnipeg, pendant le troisi;me quart du match, pour lui tirer la pipe. Marlene m'a dit, en riant, qu'il dormait ...
Pas fort !
lundi 23 novembre 2009
Une GROSSE peine ...
Une peine indescriptible ...
mercredi 28 octobre 2009
Mon premier combat de boxe
Ma première véritable soirée de boxe professionnelle, c’est tout simplement la plus grandiose et la plus mémorable soirée de boxe tenue à Montréal. Du calibre international et même mondial. Tous les superlatifs sont de mise ici. Pas moins de 46,000 spectateurs entassés dans le stade olympique en ce 20 juin 1980 (hé oui, ça fait presque 30 ans). La grande finale opposera Roberto Duran à Sugar Ray Leonard (qui avait gagné une médaille d’or olympique ici même quatre années plus tôt).
Du gros stock mes amis. J’avais réussi à obtenir deux billets via un scribe du Journal de Montréal. Avec mon chum Denis, nous étions « dans le pit » comme on dit mais, avec nos jumelles, on était bien contents d’être là dans les hauteurs, pour faire partie de l’Histoire. Boxe, drogue et rock and roll !
Mais ce combat mémorable ne fut pas mon PREMIER combat de boxe. C’était le dernier de la soirée. Me rappelle que plus tôt dans la soirée, il y avait eu Eddie Melo contre Fernand Marcotte. Et avant, comme tout premier combat de la soirée, nous avions droit à un boxeur québécois populaire qui se nommait Gaétan Hart. Gaétan qui a même fait l’objet du film « Le steak » de Pierre Falardeau quelques années plus tard. L’adversaire de Gaétan ce soir-là (pour MON premier combat live ) : un dénommé Cleveland Denny des USA.
Au grand plaisir de la foule locale, Gaétan a dominé le combat. Même que dans les dernières secondes du dernier round, il a appliqué un solide crochet qui a expédié Cleveland Denny au tapis pour le compte de l’arbitre.
Avec mes jumelles, je vois Gaétan qui exulte au centre de l’arène, félicité par ses hommes de coin. La foule est contente. Mais dans un coin du ring, ils sont quasiment une dizaine à entourer le perdant toujours étendu au sol.
Gaétan voit la chose (et moi aussi avec mes jumelles) et s’approche du groupe pour satisfaire sa curiosité. Mettons 30 secondes plus tard, il revient au centre de l’arène, se met à boxer frénétiquement des deux bras dans le vide (shadow boxing pour les connaisseurs) puis, 15 secondes plus tard, il stoppe net et quitte la scène en toute vitesse. On ne l’a pas revu. Un peu après, son adversaire est sorti sur une civière, sous les applaudissements polis de la foule.
Deux semaines plus tard, Cleveland Denny décédait sans être sorti du coma. Premier combat auquel j’assistais …
Le hasard.
lundi 21 septembre 2009
Hommage au dernier des vrais
Certains d'entre vous connaisent ma "dévotion" pour Guy, étant natif de Thurso moi aussi et ayant même partagé avec lui la glace de l'aréna municipal au niveau bantam.
Pour souligner cet anniversaire, je vous offre humblement ce court texte que La Presse me fit l'honneur de placer à la Une du cahier des sports au printemps 91, l'année de sa retraite définitive. Ça allait comme suit :

jeudi 9 avril 2009
Une leçon de golf
.
jeudi 12 mars 2009
Les mots pour le dire
"Cette année dans notre ligue, il y a très peu de cas isolés"
Méchante tautologie !
Le gars est président de la ligue et principal porte-parole depuis 1986 comme le dit si bien Anonyme ...
lundi 27 octobre 2008
Go Simon Go

Même que les boys l'ont élu capitaine pour cette dernière saison. Repêché par les Black Hawks de Chicago il y a deux ans, le jeune athlète de 6 pieds 7 pouces a préféré terminer ses études à Bangor plutôt qu'aller amorcer sa carrière de pro dans le club ferme des Hawks. Grand bien lui en fasse.
Un court article sur le numéro 79 dans le journal local. C'est ici.
Je profite de ce court post pour souhaiter un heureux anniversaire à sa maman Lou qui fête aujourd'hui son Xième anniversaire et qui lira ce message aux Bahamas vers lesquels elle s'envolait à 5 heures ce matin ...
samedi 25 octobre 2008
Fin folle
Encouragé par les 32,000 poumons (des gauches et des droits), Lucian s’est soudainement dit qu’il nous ferait encore plus plaisir en « gelant » Andrade. Alors il s’est donc mis à échanger coup pour coup avec le mexicain en se foutant de sa propre défensive.
Environ une minute avant la fin, nous sommes tous debout à hurler notre plaisir, Lucian encaisse une taloche qui le fait VRAIMENT vaciller. OK ! Fini les folies : faut se protéger. Mais Andrade a vu la défaillance et a augmenté la pression.
De telle sorte que NOTRE Lucian se retrouve sur le cul en fin de round. Avant de commencer le compte, l’arbitre repousse Andrade dans son coin et Lucian, miraculeusement, réussi à se lever debout. Les dernières secondes s’écoulent : il est sauvé par cette cloche finale. Parce que, disons-le, trente secondes de plus et Andrade l’aurait massacré.
Yé ! On a gagné quand même.
En passant, vous ai-je dit que j’ai regardé l’essentiel du combat … à la télé ? J’étais au Centre Bell, oui. Au début de la section qu’on appelle Le Pit, dans les hauteurs. Mais juste au-dessus du ring (où on aperçoit les boxeurs petits, petits), au-dessus du ring dis-je, il y a désormais un écran carrément capoté d’environ 40 pieds de large par 30 pieds de haut, qui diffuse une image en haute dimension. Et nous étions 16,000 à regarder cette grosse TiVi ensemble avec les vrais acteurs juste en dessous. Carrément extraordinaire.
Indescriptible cette effervescence de la dernière minute. Comme ces autres minutes de l’entrée en scène de Lucian et sa longue marche vers le ring au son exponentiel de Where the streets have no name de U2. Capoté ! Je lévitais presque et mes chums aussi.
Bien belle soirée. Merci Lucian.
vendredi 24 octobre 2008
LUCIAN
L’an dernier (le 20 octobre 2007 pour être précis), je vous entretenais su ce nouveau champion qui venait de conquérir son titre et j’ajoutais :
« Avez-vous déjà transporté votre corps dans un gala de boxe ? Quasiment indescriptible. Même dans le pit, tout en haut dans les estrades, c’est totalement animal. L’arène en bas, les gladiateurs (de supers athlètes au summum de la forme physique), la soif de voir LE coup qui porte et fait vaciller l’autre, c’est pas mal plus excitant qu’un but de Kovalev en troisième période. Vibrer animal de temps en temps, comment dirais-je, ça fait du bien sans heurter personne. »
Ce soir, cet atmosphère reprendra place dans l’enceinte Bell. Des milliers de maniaques comme moi et mes chums Ric, Sly et Gros-Pierre, presque en transe pour aider NOTRE Lucian à coucher ce Librado Andrade qui n’est assurément pas un 2-de-pique ni un faire-valoir avec sa fiche de 27 victoires (dont 21 par KO) et une seule défaite (il en aura deux demain !).
Il est à peine 9 heures du matin et les fourmis me chatouillent déjà. Le combat débute à minuit pile, dans … 15 heures.
Esssti que j’ai hâte !
vendredi 1 août 2008
Journée full verte
Le signal attendu par les 72 primates répartis sur les 18 tertres de départ : commencer à taper sur la petite boule blanche pour amorcer le tournoi annuel de la Taverne Lajeunesse, une véritable institution dans les annales du quartier Villeray à Montréal.
Observation pertinente : une ordinaire et simple taverne urbaine qui monopolise un club de golf haut de gamme, un samedi, au beau milieu de l’été ? Chercher l’erreur et pointez du doigt le proprio de la taverne et l’efficacité des organisateurs…
$100 le ticket pour une ronde de 18 trous sur un parcours de qualité supérieure, voiturette comprise, avec souper-traiteur et libations à la Taverne dans la soirée. Une offre incroyable (croyez-moi), d’autant plus que les surplus seront versés à La Maison des Grands-Parents, un OSBL hyper-sympa du quartier.
Avec une plus-value de dernière minute. Le départ était prévu pour 10h 30 depuis belle lurette. Pour des raisons que j’ignore, AUJOURD’HUI l’administration du Saint-Raphael s’est vu forcée de reporter le coup de revolver du départ à 12h 30.
Pour se faire pardonner cet impair, la direction du Club offre à tous les inscrits, à compter de 11h, un brunch-déjeûner gratos, avec prestation du pro Carlo Blanchard pour livrer quelques conseils aux primates.
Ya un mot dans le petit Robert pour décrire cette attitude : de la classe !
Et pour la finale de ce joyeux billet, le blogueur vous apprend que les organisateurs de cette belle journée lui ont fait une faveur que je qualifierais de … frétillante. Puisque je braquerai mon appareil photo sur les images de cette journée, entre deux bouchées ou deux élans, mon ticket est parfumé de générosité et ne me coûtera rien.
C’est aussi ça la vie ….
samedi 14 juin 2008
Le golf en question...
Le tournoi du bureau ou de la compagnie ? Drôle et sympa avec les occazes de fraterniser avec les collègues ailleurs qu’au party des Fêtes. Rien de sérieux, fous rires garantis sur les ratés, des histoires à raconter et patati et patata.
Une expression connue chez les habitués : la piqûre du golf. Jouer une première ronde, marcher les 18 trous et additionner le score catastrophique. En rire. Mais, retourner jouer une deuxième ronde quelques semaines ou mois plus tard et constater que … ça va mieux. Moins nono. Plus subtil. Avec une dizaine de coups en moins sur le total… Intriguant ! Avec en mémoire un ou deux élans franchement surprenants, voire impressionnants. Mais juste deux … sur les 125 du total.
La belle Denise, maman de nos deux enfants, n’avait rien à voir avec les sports. Même pas d’intérêt pour les Canadiens quadruple vainqueurs de la grande Coupe entre 76 et 79. Denise et les sports, fallait oublier ça.
Une dizaine d’années après qu’on se soit laissés, Denise a joué sa première partie de golf. Bing ! La piqûre, mais concentrée et intoxiquante. Une véritable passion qui lui a même donné l’élan pour mettre le X définitf sur la nicotine. « Je veux jouer jusqu’à 80 ans » m’a-t-elle expliqué. Il y a deux étés, j’ai inscrit un coup de plus qu’elle sur mon total de la journée. Notre fils se marrait …
Ne faut pas se moquer du golf quand on ne connaît pas. C’est un sport magnifique, un défi avec soi-même, un test permanent de self-control, un apprentissage sur beaucoup d’aspects pas nécessairement sportifs, une journée tellement tellement verte, les amis qui murmurent d’admiration ou qui retiennent leur fou-rire, la politesse et le respect essentiels et si faciles à observer et parfois, un renard qui traverse le green avec un siffleux dans la gueule…
Ce weekend, les fans de golf vont se délecter avec le US Open, un des quatre tournois majeurs de l’année qui se joue toujours sur un terrain très difficile. Le dieu Tiger Woods est de retour après quelques mois d’abstention suivant une opération au genou. Déjà, après deux rondes (sur quatre), il farfouille avec un seul coup de retard sur le meneur. Démentiel !
Mais je me risque : dimanche, le vainqueur sera Luke Donald. Le jeune homme est dû, me semble-t-il.
mardi 3 juin 2008
Les gros chars en ville
Me souviens de ces beaux samedis ou nous pouvions, moyennant un $40, arriver tôt et se faufiler pour installer nos chaises longues dans la pente de la pelouse verte de l’épingle à 20 mètres de la piste, juste DEVANT les estrades pour les billets réservés à $100 et + l’unité. Nous étions morts de rire avec notre glacière de métal contenant quelques bières, mais surtout quelques vins blancs ou rosés et des charcuteries cochonnes et des fromages tout aussi vicieux.
Those were the days my friends, diraient nos amis anglos. Plus rien de tout ça n’est possible aujourd’hui. La place est rigidement régentée et les ploucs qui paient l’admission générale (au moins le double du prix) ne peuvent que s’agglutiner debouts, le nez dans les clôtures avec une piètre vue de la piste dans les lignes droites pour n'y voir les bolides qu’une fraction de seconde, le temps d'un vroum.
Voilà donc les écuries qui arrivent pour le long weekend de la FI à Montréal. Devenu événement pour les gens fortunés, on a centré les activités hors piste sur la rue Peel avec débordements sur Crescent, dans l’ouest de la ville. Les organisateurs ont même pensé à offrir le stationnement gratuit pour les propriétaires de Porsche…
Mais je vais quand même regarder (à la télé) le départ de la course dimanche vers 13 heures. Parce que, riche ou pas, ces premières trente secondes suivant les lumières vertes, c’est vraiment capoté. Ces gars-là sont malades, presque autant que mes héros d’il y a un quart de siècle …
mercredi 14 mai 2008
Ouverture de saison ...
vendredi 25 avril 2008
Les p'tits crottés
Hier, j'ai rencontré un de ces émeutiers et, surprise, il était d'accord avec Poirier. Je le cite :
" Le bonhomme Poirier connaît fort bien le domaine dont il parle quand il nous traite de jeunes crottés, étant lui-même un gros plein d'marde ".
Par la suite, les Canadiens se sont sauvés avec la victoire.