Voilà le court vidéo que mon chum Réal "Spielberg" Allaire a "réalisé" dans cette petite rue industrielle bordant la piste d'atterrissage. Beaucoup de monde pour une belle grosse minute à regarder arriver le monstre qui est passé quelques 50 mètres au-dessus de nos têtes avec les applaudissementds (!?!) des badauds sur place. Hélas, le blogueur a complètement raté ses clichés.
lundi 12 novembre 2007
Belle rencontre anticipée
Demain 10h, je rencontre Robert Seven-Crows dans un café du Plateau. D'origine MicMac et vivant un peu au nord de Mont-Laurier, c'est un conteur et un bluesman qui animera plusieurs événements du Joyeux Décembre de l'avenue du Mont-Royal. J'ai lu son dossier de presse, écouté quelques tounes et ça promet comme placotage. Je vous en reparle bientôt. En attendant, je m'en vais voir cet Airbus géant atterrir à Dorval dans deux heures. Tourlou !
dimanche 11 novembre 2007
No Heaven
C'est le titre de la chanson interprétée par DJ Champion au TLMP de Guy A. ce dimannche soir. C'était aussi mon premier contact avec cette grande vedette de la table tournante. Ça décolle pas à peu près ! Et ce band (les G-Strings !) et cette chanteuse avec sa voix si rauque. Tellement impressionné que je pense bien aller quérir leur nouveau CD qui sort cette semaine. Un plan pour que je me ramasse au prochain rave dans le bas de la ville...
Découragement
Je regarde le match éliminatoire des Alouettes contre les Bombers à Winnipeg. Début du deuxième quart. Les Alouettes, qui tirent de l'arrière 7 à 0, se trouvent à une verge des buts sur un troisième essai. On y va !
.
Complètement raté ! Même pas passé proche, comme dirait l'autre. On va changer de poste et revenir dans deux heures ... juste pour voir.
.
Deux heures plus tard = même kriss d'affaire. Troisième essai, deux pieds à franchir = raté. Les tatas sont en vacances ...
samedi 10 novembre 2007
Auto-Tague anglaise
Hé oui. C’est en plein ça. Je me suis donné la tague. Règlements courts : les chansons doivent être anglaises, seize chansons maximum (c’est un chiffre comme un autre !) et l’auteur ne peut être choisi qu’une seule fois. On peut facilement voir par ces choix que l’auditeur est un peu allergique aux vingt dernières années et qu’il nage à plein dans la nostalgie. Et vous autres ?
Out on the weekend (Neil Young)
Heartattack and vine (Tom Waits)
Walk on the wild side (Lou Reed)
Don’t think twice, it’s all right (Bob Dylan)
Spanish Town (Garland Jeffreys)
Aqualung (Jethro Tull)
In your eyes (Peter Gabriel)
Going to California (Led Zeppelin)
Behind blue eyes (The Who)
Three Friends (Gentle Giant)
Sympathy for the Devil (Rolling Stones)
Dead Flowers (Townes Van Zandt – paroles Jagger)
With or without you (U2)
Happiness is a warm gun (Beatles)
One of these days (Pink Floyd)
Hey Baby (Jimi Hendrix)
Out on the weekend (Neil Young)
Heartattack and vine (Tom Waits)
Walk on the wild side (Lou Reed)
Don’t think twice, it’s all right (Bob Dylan)
Spanish Town (Garland Jeffreys)
Aqualung (Jethro Tull)
In your eyes (Peter Gabriel)
Going to California (Led Zeppelin)
Behind blue eyes (The Who)
Three Friends (Gentle Giant)
Sympathy for the Devil (Rolling Stones)
Dead Flowers (Townes Van Zandt – paroles Jagger)
With or without you (U2)
Happiness is a warm gun (Beatles)
One of these days (Pink Floyd)
Hey Baby (Jimi Hendrix)
jeudi 8 novembre 2007
L'humour sur la lune
Cette anecdote est, paraît-il, tout ce qu'il y a de plus vraie. Je vous la rapporte, convaincu que vous la trouverez sympathique vous aussi.
.
Tout le monde connaît la célèbre phrase prononcée par Neil Armstrong lorsqu'il mit le pied sur la Lune en juillet 69 : " C'est un petit pas pour l'Homme, mais un bond de géant pour l'Humanité ". Mais la communication entre l'astronaute et Houston ne s'est pas arrêtée là. On rapporte cette phrase, beaucoup moins connue, qu'Armstrong a prononcée en revenant dans le lemme : " Good luck mister Gorski ".
.
De retour sur terre, on lui demanda maintes fois le pourquoi de cette phrase, mais jamais Armstrong ne l'expliqua, se contentant simplement de sourire chaque fois qu'on le lui demandait.
.
Plusieurs fouineurs effectuèrent des recherches, pensant que le mystérieux Gorski était un rival astronaute russe. Mais ni le programme spatial soviétique, ni celui de la NASA n'avait un Gorski comme employé.
.
En 1995 à Tampa Bay (Floride), alors qu'Armstrong répondait aux questions suivant une de ses nombreuses conférences, un reporter ramena cette vieille question de 26 ans. Monsieur Gorski étant décédé la semaine précédente, Neil Armstrong sentit qu'il pouvait maintenant expliquer la phrase énigmatique.
.
A l'âge de douze ans, Armstrong jouait au baseball avec un copain derrière chez lui. Son ami a frappé une chandelle et la balle est allée se loger sous la fenêtre de chambre des voisins . . . les Gorskis.
.
Armstrong se précipita pour chercher la balle et il entendit alors mister Gorski dire à sa dame : " Oral sex ! You want oral sex ? You'll get oral sex when the kid next door walks on the moon ! ".
.
Tout le monde connaît la célèbre phrase prononcée par Neil Armstrong lorsqu'il mit le pied sur la Lune en juillet 69 : " C'est un petit pas pour l'Homme, mais un bond de géant pour l'Humanité ". Mais la communication entre l'astronaute et Houston ne s'est pas arrêtée là. On rapporte cette phrase, beaucoup moins connue, qu'Armstrong a prononcée en revenant dans le lemme : " Good luck mister Gorski ".
.
De retour sur terre, on lui demanda maintes fois le pourquoi de cette phrase, mais jamais Armstrong ne l'expliqua, se contentant simplement de sourire chaque fois qu'on le lui demandait.
.
Plusieurs fouineurs effectuèrent des recherches, pensant que le mystérieux Gorski était un rival astronaute russe. Mais ni le programme spatial soviétique, ni celui de la NASA n'avait un Gorski comme employé.
.
En 1995 à Tampa Bay (Floride), alors qu'Armstrong répondait aux questions suivant une de ses nombreuses conférences, un reporter ramena cette vieille question de 26 ans. Monsieur Gorski étant décédé la semaine précédente, Neil Armstrong sentit qu'il pouvait maintenant expliquer la phrase énigmatique.
.
A l'âge de douze ans, Armstrong jouait au baseball avec un copain derrière chez lui. Son ami a frappé une chandelle et la balle est allée se loger sous la fenêtre de chambre des voisins . . . les Gorskis.
.
Armstrong se précipita pour chercher la balle et il entendit alors mister Gorski dire à sa dame : " Oral sex ! You want oral sex ? You'll get oral sex when the kid next door walks on the moon ! ".
mercredi 7 novembre 2007
Le gars de Matagami
Cette anecdote est proprement hallucinante, vous en conviendrez. Mais elle est vraie, authentique et nullement exagérée. Quand je veux qu’on me croit, je lance : « Sur la tête de mes enfants … ». Alors je vous la pitche drette là : tout y est vrai.
En 1982, j’ai fait le tour de la province. Je suis allé presque partout pour « booker » un show d’hypnose dans les écoles secondaires. Le bonhomme affichait le nom de LUCIFER (ce qui m’agaçait un peu …) mais le spectacle était parfaitement adapté aux écoles. Ce vieux showman, parfaitement en maîtrise de sa technique acquise dans les bars, avait conçu une approche intelligente de l’hypnose adaptée pour le public scolaire. Humour évidemment, mais aussi explication de la chose et démystification des pouvoirs supranormaux.
Ayant assisté à quelques prestations, impressionné par le charisme de ce vieux bougre et par les salles pleines dans les écoles des régions, je me suis lancé dans cette gérance en association avec mon beau-frère. Dans cette année, j’ai vraiment bourlingué mon Québec et je suis allé partout pour convaincre les directeurs d’école d’accepter notre show. Succès fulgurant ! Et payant malgré le prix d’entrée fixé à $2.00.
Sceptiques vous êtes ? Exemple : à Saint-Georges de Beauce, mettons 500 entrées. Recette de $1,000 réparties comme suit : $200 pour l’école (20% des recettes garanties), $400 pour Lucifer, $200 pour mon beau-frère et $200 pour moi. Voilà le premier jour de la semaine. Et il y en avait quatre autres, parfois moindres, mais parfois meilleurs.
Mais je m’éloigne de mon sujet. Je suis sur la route pour le booking. Nous attaquons l’Abitibi-Témiscamingue. Fin d’aprem, nous avons réglé Lebel-sur-Quevillon. Direction Matagami. Très haut par en haut … On arrive vers les 19 heures. Un seul hotel-motel pour crécher. Après l’enregistrement de la chambre, nous entrons dans le bar.
Choc ! La musique joue mais il n’y a que deux personnes … qui jouent au billard. Un client (le seul), jeune vingtaine, et la serveuse. Mais la serveuse ! Elle est grande, belle, élancée et … complètement à poil. J’écris poil, mais je n’en vois aucun. Je dis bien : aucun. Le crâne, les aisselles et la vulve totalement rasées. Comme une martienne dans ce bled très isolé. Je (nous) sommes très impressionnés.
La demoiselle nous sert et retourne finir sa partie de billard. Puis, le match terminé, son adversaire vient s’asseoir à notre table. Bla bla bla, placotage apéritif. Apprenant que nous roulons un peu partout au Québec pour les spectacles, ce jeune homme avance qu’il connaît le Québec, qu’il est allé absolument partout et qu’il connaît absolument toutes les places dans toutes les régions.
Bof ! Une grande gueule, que j’me dis. On insiste un peu : quand même, il n’est pas allé partout. Le gars ne bronche pas : il est allé partout. Même qu’il insiste. « Nommez-moi n’importe quelle place, j’vais vous prouver que j’y suis allé … ».
Regard complice avec mon beauf … Je le laisse commencer.
Plessisville ?
Aucune hésitation. Le géographe nous situe la place, sur le bord de la 20.
C’est à mon tour. Je sais que je vais le fourrer. Plessisville, c’est quand même, genre, 15,000 habitants et c’est un peu connu. Alors je pense à Mayo (oui, oui, ça existe) un bled de (genre…) 175 habitants situé à une vingtaine de milles de mon village natal de Thurso dans l’Outaouais. C’est impossible que le gars connaisse la place …
Hallucination ! Le gars me dit à peu près : « Ouais ! Tu peux prendre la route à Buckingham oubedon à Thurso et, à la jonction des routes, ya une belle église protestante blanche … ». Right on the target !
Hey ! Là, je suis à presque 500 milles de chez nous et je n’en crois pas mes oreilles. C’est quoi son truc ? Le beau-frère relance avec une autre place : réponse impeccable. Je m’essaie avec Clerval, un bled minuscule plus bas en Abitibi, où des amis (Luc et Agathe) se sont réfugiés ya 10 ans avec des projets fermiers macrobiotiques.
Le martien me répond : « Ben là, tu me niaises … C’est pas loin d’icitte. J’ai même des amis dans le coin qui sont très zen et qui cultivent … ». Pouvez-vous imaginer ma face qui allonge ? Non, c’était pas MES chums dont il parlait mais, probablement des voisins.
On a bien essayé de le fourvoyer avec quelques autres villages (pas trop quand même) et l’étrange personnage savait tout. Vraiment. Mais comment expliquer ce phénomène ? Toujours un mystère, 25 ans plus tard. Me souviens aussi que, plus tard dans la soirée, les gens arrivant dans la place, le jeune martien avait sorti de son pack-sac une flûte traversière et s’était mis à jammer avec l’entourage et la musique ambiante.
Une rencontre mémorable.
Et je termine ce post en le dédiant à Zoreilles, la merveilleuse abitibienne à qui j’avais promis de raconter cette étrange soirée de ma vie.
En 1982, j’ai fait le tour de la province. Je suis allé presque partout pour « booker » un show d’hypnose dans les écoles secondaires. Le bonhomme affichait le nom de LUCIFER (ce qui m’agaçait un peu …) mais le spectacle était parfaitement adapté aux écoles. Ce vieux showman, parfaitement en maîtrise de sa technique acquise dans les bars, avait conçu une approche intelligente de l’hypnose adaptée pour le public scolaire. Humour évidemment, mais aussi explication de la chose et démystification des pouvoirs supranormaux.
Ayant assisté à quelques prestations, impressionné par le charisme de ce vieux bougre et par les salles pleines dans les écoles des régions, je me suis lancé dans cette gérance en association avec mon beau-frère. Dans cette année, j’ai vraiment bourlingué mon Québec et je suis allé partout pour convaincre les directeurs d’école d’accepter notre show. Succès fulgurant ! Et payant malgré le prix d’entrée fixé à $2.00.
Sceptiques vous êtes ? Exemple : à Saint-Georges de Beauce, mettons 500 entrées. Recette de $1,000 réparties comme suit : $200 pour l’école (20% des recettes garanties), $400 pour Lucifer, $200 pour mon beau-frère et $200 pour moi. Voilà le premier jour de la semaine. Et il y en avait quatre autres, parfois moindres, mais parfois meilleurs.
Mais je m’éloigne de mon sujet. Je suis sur la route pour le booking. Nous attaquons l’Abitibi-Témiscamingue. Fin d’aprem, nous avons réglé Lebel-sur-Quevillon. Direction Matagami. Très haut par en haut … On arrive vers les 19 heures. Un seul hotel-motel pour crécher. Après l’enregistrement de la chambre, nous entrons dans le bar.
Choc ! La musique joue mais il n’y a que deux personnes … qui jouent au billard. Un client (le seul), jeune vingtaine, et la serveuse. Mais la serveuse ! Elle est grande, belle, élancée et … complètement à poil. J’écris poil, mais je n’en vois aucun. Je dis bien : aucun. Le crâne, les aisselles et la vulve totalement rasées. Comme une martienne dans ce bled très isolé. Je (nous) sommes très impressionnés.
La demoiselle nous sert et retourne finir sa partie de billard. Puis, le match terminé, son adversaire vient s’asseoir à notre table. Bla bla bla, placotage apéritif. Apprenant que nous roulons un peu partout au Québec pour les spectacles, ce jeune homme avance qu’il connaît le Québec, qu’il est allé absolument partout et qu’il connaît absolument toutes les places dans toutes les régions.
Bof ! Une grande gueule, que j’me dis. On insiste un peu : quand même, il n’est pas allé partout. Le gars ne bronche pas : il est allé partout. Même qu’il insiste. « Nommez-moi n’importe quelle place, j’vais vous prouver que j’y suis allé … ».
Regard complice avec mon beauf … Je le laisse commencer.
Plessisville ?
Aucune hésitation. Le géographe nous situe la place, sur le bord de la 20.
C’est à mon tour. Je sais que je vais le fourrer. Plessisville, c’est quand même, genre, 15,000 habitants et c’est un peu connu. Alors je pense à Mayo (oui, oui, ça existe) un bled de (genre…) 175 habitants situé à une vingtaine de milles de mon village natal de Thurso dans l’Outaouais. C’est impossible que le gars connaisse la place …
Hallucination ! Le gars me dit à peu près : « Ouais ! Tu peux prendre la route à Buckingham oubedon à Thurso et, à la jonction des routes, ya une belle église protestante blanche … ». Right on the target !
Hey ! Là, je suis à presque 500 milles de chez nous et je n’en crois pas mes oreilles. C’est quoi son truc ? Le beau-frère relance avec une autre place : réponse impeccable. Je m’essaie avec Clerval, un bled minuscule plus bas en Abitibi, où des amis (Luc et Agathe) se sont réfugiés ya 10 ans avec des projets fermiers macrobiotiques.
Le martien me répond : « Ben là, tu me niaises … C’est pas loin d’icitte. J’ai même des amis dans le coin qui sont très zen et qui cultivent … ». Pouvez-vous imaginer ma face qui allonge ? Non, c’était pas MES chums dont il parlait mais, probablement des voisins.
On a bien essayé de le fourvoyer avec quelques autres villages (pas trop quand même) et l’étrange personnage savait tout. Vraiment. Mais comment expliquer ce phénomène ? Toujours un mystère, 25 ans plus tard. Me souviens aussi que, plus tard dans la soirée, les gens arrivant dans la place, le jeune martien avait sorti de son pack-sac une flûte traversière et s’était mis à jammer avec l’entourage et la musique ambiante.
Une rencontre mémorable.
Et je termine ce post en le dédiant à Zoreilles, la merveilleuse abitibienne à qui j’avais promis de raconter cette étrange soirée de ma vie.
mardi 6 novembre 2007
Happy birthday Pépé
Pour vos VRAIS amis
Un petit vidéo (17 secondes !) de Bonne Fête que je vous invite à conserver pour l'acheminer à vos proches le jour de leur anniversaire. Efficace, direct et ... fort drôle !!! En passant, l'ordinosaure que je suis vient tout juste de découvrir comment placer un vidéo sur son blogue ...
.
Merci Lou ...
.
Merci Lou ...
Cinquante-cinq berges ...
Eh oui ! En ce 6 novembre, le blogueur doit afficher le chiffre 55 dans la case de l’âge. Liberté 55 ? Oubliez ça ! Définitivement pas assez vaillant au cours des … trente dernières années pour me permettre la grande farniente aussi tôt. Pas de véritable regret, mais simplement l’espoir de conserver une santé suffisante pour voguer jusqu’à la prochaine étape sans trop en souffrir. Allez hop là !!!
dimanche 4 novembre 2007
Nouvelle familiale...
Vous savez à quel point je suis fana des Iles-de-la-Madeleine. Alors ce matin, j'étais inquiet : depuis 24 heures, on annonce que l'ouragan Noel arrive dans les Maritimes avec des vents superlatifs au-dessus du 100 Km/h. Et des vagues monstrueuses qui pourraient même abimer le littoral et gruger certaines plages ...
.
Pour avoir l'heure juste, je vais donc appeler ma soeur Line qui y réside depuis une vingtaine d'années. Comme j'allais décrocher le combiné ... j'entends la lectrice de Radio-Canada (RDI) qui complète sa phrase : "... alors je m'entretiens donc avec notre correspondante aux Iles, Line Danis. Beaucoup de vents Line ?".
.
Et la Line en question de nous rassurer, que le pire est passé, sans panne de courant importante, etc. "Vous savez, ajoute-t-elle, des rafales de 100 Km/h, on y est habitués dans les Iles. Ça n'a rien d'exceptionnel".
.
C'était mon petit buzz agréable de ce dimanche matin, après avoir reculé l'heure, bien sûr.
vendredi 2 novembre 2007
Le service 4-1-1 gratuit
Une petite trouvaille du web qui m’est arrivée par courriel hier. Quand besoin s’en fait sentir, il faut appeler le fameux et achalant numéro 4-1-1 pour obtenir le numéro de téléphone qu’on a cherché en vain. En recevant la facture du fournisseur de service, c’est toujours moins drôle de constater l’addition de ces petits montants de $0.75 ou $1.00 , n’est-ce pas ?
.
Voici un truc pour éviter ces frais agaçants. Bell Canada (ou les autres) ne s’en vante pas, mais il existe un numéro 1-800 pour utiliser le kliss de service 4-1-1 de l’assistance-annuaire GRATUITEMENT.
.
Que ce soit à la maison ou sur votre cellulaire, vous signalez :
1-800-FREE-411
ou
1-800-373-3411
Et ça fonctionne ! Le seul inconvénient, c’est que vous devrez subir une courte pub vocale de dix secondes (MacDo ou autres) et le service est en anglais. Quand on s’adresse à une voix robotisée pour les renseignements, ces dix secondes se veulent dérisoires, non ? Et ces petites économies mensuelles vous permettront de vous payer une bière ou deux sur le bras de votre fournisseur de service téléphonique qui, admettons-le, ne se prive pas dans le service de base …
.
Voici un truc pour éviter ces frais agaçants. Bell Canada (ou les autres) ne s’en vante pas, mais il existe un numéro 1-800 pour utiliser le kliss de service 4-1-1 de l’assistance-annuaire GRATUITEMENT.
.
Que ce soit à la maison ou sur votre cellulaire, vous signalez :
1-800-FREE-411
ou
1-800-373-3411
Et ça fonctionne ! Le seul inconvénient, c’est que vous devrez subir une courte pub vocale de dix secondes (MacDo ou autres) et le service est en anglais. Quand on s’adresse à une voix robotisée pour les renseignements, ces dix secondes se veulent dérisoires, non ? Et ces petites économies mensuelles vous permettront de vous payer une bière ou deux sur le bras de votre fournisseur de service téléphonique qui, admettons-le, ne se prive pas dans le service de base …
.
Et pourquoi ne pas en informer vos proches ?
Et pourquoi ne pas en informer vos proches ?
jeudi 1 novembre 2007
Un salut trop bref
Ça s’est passé en 1989. Guy Lafleur était revenu au jeu avec les Rangers de New-York après quatre années de retraite. Ce fut LA grande nouvelle de cette année sportive, à une époque où les sports se voulaient une partie importante de mon existence.
Première visite de l’idole au Forum (le vieux, l’ancien sur la Catherine) dans son nouveau chandail. Tous les médias sont sur le gros nerf depuis plusieurs jours. Malheureusement, quelques jours plus tôt, Guy Lafleur s’est blessé et ne jouera donc pas la partie. Mais, on va quand même lui rendre hommage par une cérémonie avant le match.
Comble de bonheur, un vieux fan maniaque du Canadien (Johnny Sofio), sachant ma relation d’enfance avec Guy, me propose ses deux billets de saison « dans les rouges » pour aller applaudir MON Guy. J’ai donc invité mon pote Jean-Louis (oui, oui, celui qui est en ville depuis trois jours) pour m’accompagner à cette soirée mémorable.
Effervescence dans l’édifice avant le match. Je suis près de la patinoire, à hauteur de la ligne bleue. Le tapis rouge est déroulé. Les deux équipes sont alignées sur la glace et … finalement, l’annonceur lâche les deux mots : GUY LAFLEUR.
Explosion. Une clameur que je vous laisse imaginer. Quand on est sur place, ça saisit pas mal plus qu’à la télé. Et ça ne cesse pas. Près de deux minutes …
L’annonceur essaie de calmer la foule en reprenant la parole. La direction du Canadien n’a pas beau jeu dans cette soirée mais elle DOIT rendre cet hommage. Plus l’annonceur insiste, plus la foule crie fort, comme pour l’enterrer. Ça trépigne dans les estrades.
N’en pouvant plus, l’annonceur poursuit son texte, se foutant du bonheur de la foule et du malaise (agréable) de Ti-Guy qui ne peut faire autre chose que des bye bye avec un large sourire.
La cérémonie s’est poursuivie quelques minutes avec les traditionnels kédos (peinture ou plaque) puis, oups, c’est fini, on va jouer au hockey. Pendant tout ce temps, la foule n’a pas cessé de crier.
Mise au jeu et le match commence. Jean-Louis et moi, en bô tabarnak, on se lève et on quitte l’enceinte. Rendu aux tourniquets de l’entrée, la place est évidemment vide. Seuls les portiers y sont pour accueillir et vérifier les retardataires. Mais nous on sort !
Le placier nous arrête et nous propose une étampe sur la main qui nous permettra de revenir plus tard.
- Pas besoin ! On a vu ce qu’on voulait voir !
Le portier (assez âgé) nous a alors indiqué que durant toute sa carrière, il n’avait jamais vu un départ aussi rapide du Forum.
- Vous direz salut à Ti-Guy !
Première visite de l’idole au Forum (le vieux, l’ancien sur la Catherine) dans son nouveau chandail. Tous les médias sont sur le gros nerf depuis plusieurs jours. Malheureusement, quelques jours plus tôt, Guy Lafleur s’est blessé et ne jouera donc pas la partie. Mais, on va quand même lui rendre hommage par une cérémonie avant le match.
Comble de bonheur, un vieux fan maniaque du Canadien (Johnny Sofio), sachant ma relation d’enfance avec Guy, me propose ses deux billets de saison « dans les rouges » pour aller applaudir MON Guy. J’ai donc invité mon pote Jean-Louis (oui, oui, celui qui est en ville depuis trois jours) pour m’accompagner à cette soirée mémorable.
Effervescence dans l’édifice avant le match. Je suis près de la patinoire, à hauteur de la ligne bleue. Le tapis rouge est déroulé. Les deux équipes sont alignées sur la glace et … finalement, l’annonceur lâche les deux mots : GUY LAFLEUR.
Explosion. Une clameur que je vous laisse imaginer. Quand on est sur place, ça saisit pas mal plus qu’à la télé. Et ça ne cesse pas. Près de deux minutes …
L’annonceur essaie de calmer la foule en reprenant la parole. La direction du Canadien n’a pas beau jeu dans cette soirée mais elle DOIT rendre cet hommage. Plus l’annonceur insiste, plus la foule crie fort, comme pour l’enterrer. Ça trépigne dans les estrades.
N’en pouvant plus, l’annonceur poursuit son texte, se foutant du bonheur de la foule et du malaise (agréable) de Ti-Guy qui ne peut faire autre chose que des bye bye avec un large sourire.
La cérémonie s’est poursuivie quelques minutes avec les traditionnels kédos (peinture ou plaque) puis, oups, c’est fini, on va jouer au hockey. Pendant tout ce temps, la foule n’a pas cessé de crier.
Mise au jeu et le match commence. Jean-Louis et moi, en bô tabarnak, on se lève et on quitte l’enceinte. Rendu aux tourniquets de l’entrée, la place est évidemment vide. Seuls les portiers y sont pour accueillir et vérifier les retardataires. Mais nous on sort !
Le placier nous arrête et nous propose une étampe sur la main qui nous permettra de revenir plus tard.
- Pas besoin ! On a vu ce qu’on voulait voir !
Le portier (assez âgé) nous a alors indiqué que durant toute sa carrière, il n’avait jamais vu un départ aussi rapide du Forum.
- Vous direz salut à Ti-Guy !
Va donc ...
Aujourd'hui, je vais entrer dans un poste de police sans menottes aux poignets. Rencontrer une constable pour connaître le point de vue du corps policier sur les méthodes à utiliser pour diminuer la violence dans un centre communautaire avec, comme objectif premier, de ne pas judiciariser les personnes interpellées. Pas évident, non ?
.
Le conard ou l'halluciné qui envoie chier tout le monde dans le resto populaire, vous faites quoi avec ? Et l'autre qui, après avoir essuyé un refus de la personne âgée qui ne veut pas lui donner trente sous parce qu'elle n'en a pas, lui sacre une poussée en la traitant de vieille kriss, vous faites quoi ?
.
Ça n'est pas monnaie courante au Centre du Monastère, convenons-en. Mais ça arrive quand même et puisqu'on y préconise la tolérance Zéro face à la violence, on y cherche aussi comment gérer les impulsions d'une certaine clientèle.
.
Alors je glane à gauche et à droite les idées et les flashes qui pourraient améliorer la vie quotidienne dans cet édifice qui reçoit plus de 500 personnes quotidiennement. Vous avez des idées ou des expériences vécues ?
mercredi 31 octobre 2007
Éthyl...
De retour du coma. Je pense que c'est la viande d'orignal qui m'a rendu fou et m'a fait perdre conscience pendant les dernières trente-six heures. Donc, à déconseiller dans une fondue bourguignonne ou chinoise ...
Inscription à :
Articles (Atom)