samedi 19 novembre 2011
La fatigue ?
lundi 14 novembre 2011
Out ! Un triplé cette année ?
mardi 8 novembre 2011
La générosité "payante" des Canadiens
mardi 20 septembre 2011
Maniaques vous dites ?
dimanche 17 juillet 2011
J'aime les japonaises ...
dimanche 29 mai 2011
Grosse journée pour ...
dimanche 1 mai 2011
Je te boxe et tu me kickes !
mercredi 27 avril 2011
Fébrilité ...
samedi 19 mars 2011
jeudi 10 mars 2011
C'est pas KÈ, c'est KA ...
lundi 7 février 2011
Et votre SuperBowl ?
mercredi 26 janvier 2011
Les Nordiques : dénouer l'imbroglio ...
dimanche 19 décembre 2010
Jean Pascal : complètement raté !
Hé oui, il est encore champion du monde dans sa catégorie des mi-lourds. Yééééé ! Un québécois qui torche et qui a gardé sa ceinture de top mondial. Mais … ouf !
Un combat plutôt plate, sans rien de vraiment transcendant. Mais ce qu’il faut en retenir, c’est que notre bel idole, que l’annonceur a présenté comme « the proudness of Laval », n’a pas été en mesure, à 28 ans, de clouer le bec à une vieille poupoune de … 45 ans ! Si, si ! Le Bernard Hopkins en question, bardé de victoires et de championnats dans les « vieilles années », a répondu au défi du jeune champion mondial québécois de 28 ans et toffé les 12 rounds sans jamais baisser la garde.
Les rounds s’écoulant, on se disait que le « jeune » Pascal allait prendre le contrôle devant ce « vieux » kriss, aussi expérimenté soit-il. Mais ce ne fut pas le cas. Deux juges ont livré une fiche égale (113-113- et 114-114) alors que le troisième a livré une sentence de 114-112 pour Hopkins. Mais la boxe étant ce qu’elle est, le verdict fut officialisé comme étant « partagé mais majoritaire ». Comme quoi notre Jean Pascal conserve son titre … sans avoir gagné … ni perdu.
Vous auriez dû voir la binette du champion. Tête basse et absence totale de sourire en apprenant le résultat.
Le fan que je suis a été mitigé tout le long du combat. Et les boys dans le salon y sont allé de mille et un commentaires avant, pendant et après le combat. Et je pense avoir réussi le meilleur gag de la soirée en affirmant, après le combat :
"Etes-vous conscients que notre bô Jean Pascal n’a pas réussi à battre un gars qui, dans même pas 5 ans, sera éligible pour devenir membre de la FADOQ ?"
Heille ! De quoi mettre de la sloshe dans le cerveau de notre héros local. Toujours champion mais, entre moué pi toué mon bô Jean, t’as été tellement platte et inefficace hier soir face à ce formidable pépère …
samedi 18 décembre 2010
Décision, KO ou KOT ?
mardi 23 novembre 2010
Le Gros Bill

lundi 20 septembre 2010
C'est à ton tour !
vendredi 10 septembre 2010
La campagne brièvement
samedi 14 août 2010
Boxe et bouffe !
lundi 9 août 2010
Le déclin de l'empire ...
mercredi 9 juin 2010
Grand Prix Grande Bouffe
Ce weekend, c’est le retour du Grand Prix de Formule 1 à Montréal, après quelques années d’absence. J’avoue être un peu indifférent à cette grande manifestation sportive de « gros chars » depuis la retraite de Jacques Villeneuve. Ma première expérience sur le circuit remonte à octobre 1979 où le père Gilles Villeneuve avait remporté son premier Grand Prix dans la froidure automnale montréalaise. Quelques autres années à aller faire mon tour dans l’île avec mes chums, en utilisant le billet de l’un dans les bonnes places, pour s’y retrouver tous pour les débuts de la course.
Puis sont arrivées les années 1996 et 1997. Deux saisons divines où Jacques Villeneuve et sa Williams-Renault brûlaient les podiums. Une douzaine d'accros mordus qui arrivaient à l'aube du dimanche chez nous, chez Jean-Guy, chez Roger, chez Denis ou chez Nicole et Ti-Two pour vibrer avec les vroum-vroum des rutilantes Formule Un.
Sept heures du mat' (faut le faire comme déplacement un dimanche matin !) et le brunch thématique pouvait commencer. Thématique … parce que ces brunchs étaient associées aux pays où se déroulaient les courses, principalement en Europe.
Brands Hatch ou Silverstone en Grande-Bretagne ? Fallait nous voir chez Marks et Spencer à Pointe-Claire, la veille, pour y quérir clumpets, kippers et bangers à bouffer avec les oeufs à la crème. Et ces authentiques gentlemen british qui nous parlaient en français dans leur fief de l'ouest de l'Île!
Dimanche allemand? Bouffons teutons! Schnapps, choucroute, saucisses et gâteau Forêt Noire pour défier les panses.
Le luxueux et cosmopolite Grand Prix de Monaco ? Faisons chic avec la pissaladière, le caviar (de lompe) pour couvrir les oeufs à la moscovite et les baccetti chocolatés. Rien de trop beau pour la classe ouvrière!
Grand Prix de France ? Le classique : pastis à l'entrée (il n'est que sept heures du matin !) suivi du jambon-beurre et autres mignardises pour nous rappeler la finesse culinaire de nos cousins de l'Hexagone.
Monza Italia? Espresso, pasta (carbonara), Chianti et alteri pour les tiffosi d'un jour.
J'avoue que nous avons éprouvé quelques difficultés à orner la table pour la Hongrie. Mais une promenade sur la Main et une brillante recherche nous ont permis de dénicher une recette de goulash, quelques saucissons et un fromage étrange.
L'Espagne nous a apporté une succulente gaspacho et la trilogie dim sum-sushi-sake accompagnait le Japon. Je sais, petite tricherie avec le dim sum mais, bon... c'est asiatique tout de même, non?
Sur deux années, une trentaine (si ! si !) de célébrations matinales et amicales où le caoutchouc des pneumatiques, les arômes de la bouffe, les chevaux des cylindrées et les vapeurs de l'alcool s'entremêlaient pour célébrer les succès de Jacquot. Les Beaux Dimanches quoi ! Et de bien beaux souvenirs.
Pour dimanche prochain, mettons que l’enthousiasme actuel me limitera aux … hot-dogs !