lundi 31 août 2009

Course NASCAR : plattte !

Ce matin, les journalistes ne se peuvent plus : quelle course excitante ! Trois québécois dans les 10 premiers ! Wow !

J’ai visionné beaucoup de courses de Formule 1 dans ma vie et, la plupart du temps, j’y ai trouvé mon compte. J’aimais ça. J'ai même organisé des brunchs les dimanches matin, une vingtaine de fois, dans le temps où Jacques Villeneuve gagnait. On AIMAIT ça les courses de chars !

Hier, j’ai vraiment essayé de suivre cette course de NASCAR sur le circuit Gilles-Villeneuve. Quelque chose comme 45 automobiles se disputaient le titre. Bien sûr, elles sont moins belles et vont moins vite que les F1. Mais diantre que c’était plattte !

Z’ont beau dire que c’est plus proche du peuple : ya rien qui s’y passe. Hey ! Ça leur a pris 3 heures et demi pour faire les 74 tours. Trois heures et demi pour faire 200 milles ! Moyenne de 57 milles à l’heure ! Heille ! Vont moins vite que les pépères sur l’autoroute des Laurentides !

Ils ont passé la moitié du temps à rouler à 50 km/h derrière un camion de sécurité, soit environ 30 tours sur les 74 de la course. La moindre niaiserie (genre une poignée de sable sur la piste …) entraînait un drapeau jaune et le kliss de truck pour trois tours au ralenti. Onze interruptions de la sorte. Inimaginable !

Et les milliers de spectateurs dans les estrades avec leurs parapluies. Payer pour ça ? Faut être masochiste !

dimanche 30 août 2009

Bêtes sauvages

Sous le grand chapiteau devant le Centre Bell, une exposition des meilleures photos de l'année par des professionnels. Il y en avait plus d'une centaine. Je vous en rapporte six qui m'ont touché. En oubliant pas que ce sont des photos de ... photos. N'oubliez pas de cliquer pour les détails ...







vendredi 28 août 2009

Le blues du blogueur

Hé oui, ça arrive. Ça devait arriver. Quasiment mille interventions écrites ou imagées depuis une trentaine de mois. Quasiment quotidiennes ou presque. Et avec le temps, les interrogations et surtout l’impression grandissante de n’avoir plus … le beat. Je vous en ai raconté des anecdotes perso, drôles ou tristes, niaiseuses ou … songées. Mais, « un moment donné », un gars arrive à faire le tour de ses antécédents ou presque et, ne veut surtout pas devenir un commentateur de l’actualité et devenir, pour son maigre lectorat, un Jean-Luc Mongrain des pauvres.

Bien sûr qu’il m’est arrivé de mettre mon grain de sel sur un sujet encore chaud dans la tivi. J’essaie d’éviter la chose que tout le monde traite dans les médias et la section « Qu’en pensez-vous ? » de la blogosphère. Mais bon, quand je succombe … je veux le faire sous le signe de l’humour (en espérant être original) ou en apportant un angle qui me semble avoir été oublié ou négligé par les autres « commentateurs ». Mais, je le répète, pour moi, bloguer ça n’est pas livrer mes avis sur les sujets de l’heure. Je n’ai pas fait de relevés ou de statistiques pour appuyer mes dires, mais l’actualité médiatique, en autant que faire se peut, j’évite.

Alors quoi ? Est-ce une nécessité de mettre en ligne un texte, court ou plus élaboré, chaque jour, chaque deux jours ou whatever ? La réponse est évidente = non ! Mais, en corollaire, faudrait ajouter que … phoque ! j’aimerais tellement le faire, avoir du stock en réserve dans la cervelle, en gardant une certaine originalité, un certain style qui me satisfasse moi-même en premier … Et, vous le devinez sûrement, le journal intime : très peu pour moi.

Rencontré l’allumé Stéphane Dompierre, ya quelques jours. Il a tenu un blogue plusieurs saisons pour communiquer avec les lecteurs de ses romans. Puis il a déplogué. Il a tout flushé. Tout. Pas d’archives sur son disque dur. Beu Bye. Il me confiait que, sur la planète Blogue, il avait, dans sa tête, l’envie irrésistible de…déféquer sur l’actualité. Que son opinion sur ces multiples sujets était immensément inintéressante et indigne d’être communiquée. « Tout le monde le fait, fais le donc … ».

Réflexion du blogueur. Pas envie de … défroquer, si vous me permettez l’expression. Je vous aime trop (voici carrément un acte de … chantage). Mais je me (je vous) promets d’être juste le conard sympathique que j’ai toujours été, même si mes éructations sont moins fréquentes. Anyway, vous verrez bien … My brother almost killed me yesterday. Je me sentais comme une crotte de chien au milieu d’une pelouse …

S’cusez-la, comme disaient nos ancêtres …

jeudi 27 août 2009

L'arrivée de Diane Lemieux

L'Hotel-de-Ville de Montréal est tellement salie par les scandales que le bon maire Tremblay a réagi en engageant une femme ... de ménage !

Pas pire pour une ancienne présidente du Conseil du Statut de la Femme ...

Ouf !

mercredi 26 août 2009

Gérald Tremblay : ce grand innocent !

Encore une fois, ce cher Gérald fait la manchette. Cette fois-ci, son directeur général des Travaux Publics a démissionné après qu'on eut appris qu'il est allé en vacances avec son épouse en Italie, mais aussi accompagné d'un gros contracteur qui a obtenu $20 millions de contrats avec la ville.
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Encore une fois, ce cher Gérald clame son innocence et affirme haut et fort qu'il y aura enquête et que les coupables seront pénalisés. C'est le cinquième (je crois) dossier majeur souillé de la sorte depuis un an. Et Gérald fredonne la même chanson.
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Je le crois. C'est vrai qu'il n'a rien à voir avec ces magouilles sauf celle d'avoir engagé ces fripouilles, ou avoir recommandé leurs nominations. Il n'est pas coupable. Donc, affirmons-le : Gérald Tremblay est innocent.
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Je vous livre in extenso la deuxième définition du Petit Robert pour le mot innocent :
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innocent, ente : adj. et nom. 2. Qui a une innocence, une naiveté trop grande. Crédule, naif, niais, simple. Il est bien innocent de croire ces balivernes. Spécialt n. Simple d'esprit. L'innocent du village. Idiot. Prov. Aux innocents les mains pleines : les simples sont heureux dans leurs entreprises.

mardi 25 août 2009

Les deux Dompierre ...

J'ai bel et bien rencontré l'écrivain Stéphane ce matin au café Byblos. Mais je me suis organisé pour y faire venir son "vieux" cousin Roger qui se trouve à être mon "vieux" pote. Une belle heure fort agréable. La chronique suivra dans une dizaine de jours.

Kessé qu'on fait ?

C'est ce que semblent se demander ces volatiles
captés l'été 2008 sur la "Dune-à-Zoreilles".

dimanche 23 août 2009

Rencontre ...

Ça sera mardi matin dans un café du Plateau. Je rencontre Stéphane Dompierre pour une entrevue. Encore nerveux le blogueur. Hey ! Rencontrer un écrivain, connu de surplus, ça n'arrive pas toutes les semaines. Et pour dire vrai, ça sera mon premier écrivain ...
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Je vais me procurer son premier roman, Un petit pas pour l'homme, qui remportait le Grand Prix de la Relève Littéraire Archambault 2005. Ça vous est déjà arrivé d'aller prendre un café avec un écrivain, au beau milieu de votre lecture de son roman ? Ça donnera peut-être un côté original à mon article.
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On le dit « bum de bonne famille » qui passe constamment pour un voyou auprès de ses amis bourgeois, et pour un intellectuel auprès de ses amis voyous. Ça risque de m'intéresser pas à peu près.
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Si vous avez un scoop à me livrer ou une question "substantielle" qui me ferait passer pour un scribe intelligent et allumé, n'hésitez pas : la section des commentaires est là pourt ça.

vendredi 21 août 2009

Dans le jardin de Ricdam

Le pic-bois s'est trompé d'arbre ...
(photo Richard D'Amour)
Temps de pose rapide requis ...
(photo de Richard D'Amour)

jeudi 20 août 2009

Bouffe pour fruit de mer ...

Qui viendra croquer cette bibitte ailée gisant
sur la plage de la Dune-du-Sud ?

mardi 18 août 2009

50,000 clics !

Grosse étape, me direz-vous. Il en manque seulement huit pour atteindre ce gros chiffre. Après 30 et quelques mois. Un gros merci pour votre fidélité.
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Mais pour l'égo, on repassera. Le bonhomme Foglia se fait lire par quelque chose comme 150,000 lecteurs à chaque article qu'il écrit dans la Presse. Ça ramène sur terre. Les proportions, vous savez, ça parle tout seul et, ce soir, je jase avec mon miroir et il me semble un peu, beaucoup, sarcastique.
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Merci de votre attention. Sincèrement.

Woodstock : un phare. Vraiment ?

Dans tous ces articles récents pour commémorer le 40ième de ce spectacle qui devait « changer le monde », j’ai remarqué ce commentaire de Marc Robitaille (scénariste et auteur de « Un été sans point ni coup sûr »). Parlant de cette fameuse année 1969, il nous dit :

« C’est drôle, ce qu’on retient d’une époque, par la suite, ce sont les icônes. On dit que 1969, c’est Jimi Hendrix, c’est Woodstock, ce sont les Doors, les cheveux longs, Robert Charlebois. Mais ce n’est pas ça 69. Je vais vous dire ce que c’était. C’était Love is Blue de Paul Mauriat. C’était Sugar Sugar des Archies. C’était Éloise de Donald Lautrec. Le mainstream ce n’était pas Woodstock, ce n’était pas Jimi Hendrix; ça ne faisait pas partie du paysage tant que ça. On ouvrait la télé et c’était Dean Martin qu’on voyait, qui faisait des jokes de mononcle avec un cocktail à la main. De temps en temps, il invitait un chevelu comme Tiny Tim. C’était presque un freak; il avait les cheveux très longs, un nez immense et il chantait une chanson ridicule qui s’appelait Tiptoe through the Tulips. Mais les Beatles ne passaient pas à Dean Martin. Robert Charlebois ? C’est complètement marginal si on compare à Pierre Lalonde ou Donald Lautrec. L’impact est immense, mais il viendra après ».

J’appelle ça remettre les pendules à l’heure. C'est après que ça s'est passé. Et le blogueur arrivait en ville pour savourer tout ça ... Vous vous rappelez mon texte intitulé "Jimi Hendrix et ma mère" ? J'y écoutais justement le disque de Woodstock ...

lundi 17 août 2009

Sont-y beaux ?

Les enfants des enfants de Cécile

(le plus grand fait 6 pieds huit pouces)


Cecilia

Je suis foutrement heureux d’être de retour, simplement … cheu nous, après cette journée tellement chargée de plus de mille émotions.

Arriver le matin au Grand Salon, « limousine » chauffée par ma fille Claude. Et, réaliser que Mom est tellement belle dans sa boîte ultime. Belle pour vrai. Respirante.

Et les arrivants. Les visiteurs. Deviner leur pourquoi, remonter quatre décennies, reconnaître les vrais amis sans dénigrer les absents, être assommé par les blagues « pas rapport » du cousin faussement cool, être étourdi de bonheur par l’autre cousin brassant les mots avec un tel brio, apercevoir soudainement un blogueur ami (si, si !) venu vous serrez la main sans plus, vous faire dire que votre femme est très belle (quand la personne visée est votre … fille), quand les boys, les vrais, s’effacent et deviennent deuxièmes en laissant leurs tendres moitiés exprimer les vérités (supposément vraies), kess tu veux qu’un gars … faise ? Et toutes ces autres personnes fines … venues simplement offrir un clin d’œil plein d’amitié. Subjugué … j’étais. Mes sœurs aussi.

Ma belle Cécile était … belle. Et ce vidéo VHS filmé ya 5 ans sur le bord des falaises de Madeleine, où elle récite ce poème (genre 100 strophes) sans hésitation malgré son Alzheimer : après les 10 minutes du prêtre officiant, c’était hallucinant. Je vous mettrai ça en ligne un de ces quatre. Et vous serez ga ga.

J’ai … touché Mom. Froide. Mais elle était tellement belle dans son sommeil éternel. Z ‘avez déjà touché un proche dans son cercueil ? Frette …

Mettons qu’elle est là, pour de vrai, juste en haut à nous observer …

Elle est sûrement gênée de nous entendre. Entendre ma sœur Lou, essayer de dire les choses vraies, après le ti-prêtre obligatoire … Mais les choses vraies sont tellement … vraies. Et ma tite-sœur tellement fragile mais CAPABLE de livrer ces combinaisons de mots qui font … des phrases, même en tenant dans sa main tremblante le kliss de mot qui complète la salsa.

Me suis rempli les poumons et la tête de mille et une choses avec mes flôs en observation : débordement, ils ont, comme, souhaité une toune , et le hasard a ressorti mister Lou Reed et Take a walk on the wild side. Je me sentais tellement, tellement, so, so so indispensable.

OK, je vais aller me coucher. Have a nice dream ….

samedi 15 août 2009

Une vraie belle image

Mon pote Ricdam vient de se taper une rapide tournée de la Gaspédie avec sa Mimi. Il vous envoie ce clin d'oeil du rocher. Cadrage exceptionnel.