vendredi 30 mars 2012

Hey, monsieur Savard !

Je suis disponible pour diriger le Canadien !
(j'peux pas être pire que Gauthier et Gainey ...)

mardi 27 mars 2012

La célébrité

Vous connaissez cette pub télé ou un type chante (mal) une toune amoureuse sirupeuse de Mario Pelchat. Il est au volant et fredonne à tue-tête mais un petit robot vient fermer la fenêtre pour que la dame qui arrive à côté dans son auto n’entende pas cette affreuse performance.
...
Pour une rare fois, JE me serais très bien vu comme acteur principal d’une pub. Primo : pas besoin d’être connu. Deuxio : pas besoin d’être beau mec. Tertio : pouvoir faire des faces de grimaces en fredonnant tout croche.
Je vous le dis, j’aurais été parfait. Peut-être même meilleur que pour la vraie pub. Avec ma gueule de tout croche (la barbichette tressée en prime), les auditeurs se rappelleraient davantage la pub. Et puis, vous devriez me voir grimacer quand je me lâche lousse à hurler mes tounes seul dans mon salon. Le clip serait devenu épidémique sur le web.
Quand j’ai mentionné la chose à la blonde-rousse, elle a vite répliqué : Mets-en que t’aurais fait plus dur que lui !!!
C’était le but recherché, non ?

lundi 26 mars 2012

Même pas une seconde ...

Je le revendique : peut-être suis-je une rareté au Québec, mais hier soir, je n'ai pas regardé une seule klisse de seconde de cette finale de Star Académie.

Est-ce que Julie s'est frappée souvent sur l'avant-bras avec le micro en main ?

Mouhahahahaha !

vendredi 23 mars 2012

Le gang est bien organisé ...

Ce matin, au lendemain de cette super manifestation étudiante historique et fortement réussie, le gang du pouvoir devait réagir pour en amoindrir le succès et laisser John James Charest respirer un peu. Mais il faut être subtil pour ne pas que ça paraisse.

Alors ce cher André Pratte, éditorialiste archi-fédéraliste-libéral du grand quotidien de La Presse, a choisi d'y aller comme suit :

Dans son éditorial de ce matin, il prend son bâton de pellerin et nous amène voir du côté ... du PQ ! Hé oui ! Il critique la position de Pauline Marois qui voudrait geler les tarifs étudiants, quitte à les augmenter progressivement suite à des pourparlers avec les étudiants concernés. C'est pas bon, nous dit Pratte qui titre son éditorial : le Parti du gel, en étant assuré que le mouvement étudiant  refusera tout autre scénario que celui du gel dans le pergélisol.

Kliss ! De kessé que tu veux que ça fasse la position du PQ ? C'est ton chum Charest qui a les commandes !

Quelle PATATE ce Pratte ! Mais quel bon soldat pour les fédéralistes ...

mardi 20 mars 2012

Monsieur Lazhar ...

J'ai finalement visionné le film, samedi entre minuit et deux heures du mat' avec Guy et Chantal.

Après la première demie-heure et la mise en situation, nous avons commencé à nous questionner. Va-t-il arriver quelque chose ? Très bien filmé, belles images mais faudrait bien qu'il se passe quelque chose. Pas une tragédie, pas nécessairement quelque chose de violent mais ... quelque chose.

Soudain, le générique a commencé à défiler et ... c'était fini.

Je ne comprends toujours pas pourquoi ce film a été sélectionné avec quatre autres pour le Meilleur Film Étranger pour les Oscars. Ni pourquoi il a remporté le Jutra du meilleur film et que les deux petits enfants (qui ont chacun 5 ou 6 répliques dans le film) ont été choisis meilleurs acteur et actrice de soutien.

Je ne veux pas dénigrer le film, mais je ne comprends pas encore l'engouement qu'il a suscité ...

dimanche 18 mars 2012

Desjardins ... so ... so !

Spectacle de Richard Desjardins hier à Terrebonne. Comme d'habitude, excellente prestation, professionnelle avec des musiciens impeccables. Mais ... il y a un mais.

Normal que l'artiste veuille nous présenter ses nouvelles compositions de l'album l'Existoire. Très bonnes d'ailleurs mais, décidément moins ... réjouissantes que celles d'autrefois.

Le public était enchanté. Mais entendre la joie des spectateurs qui hurlent et chantent avec lui pour le Bon Gars (vers la mi-spectacle), me semble que je comprendrais et accorderais à mon public davantage de ces vieilles rengaines qui les extasient ... Nous avons évidemment eu droit à Jenny et Tu m'aimes-tu ? mais pas de J'ai couché dans mon char, ni Au pays des Calottes.

Donc, le blogueur et ses ami(e)s se sont déclarés un peu frus à la sortie du spectacle ...

Mais Desjardins c'est Desjardins et la soirée fut quand même enrichissante...

jeudi 15 mars 2012

Le flamboyant Gérard


J’ai toujours considéré Gérard Depardieu comme un grand acteur. Comme citoyen, hummmm, je n’utiliserais pas le même qualificatif. Le désormais ‘’urineur aérien’’ semble perdre les pédales par les temps qui courent. Je vous livre cet extrait du Canard Enchaîné que m’expédiait Michel, le cousin de l’Hexagone :
Depardieu le grand   ami du président
GÉRARD DEPARDIEU avait de bonnes raisons d’annoncer, à la tribune de Villepinte dimanche, son soutien au candidat Sarkozy. Il les avait détaillées, récemment lors d’un déjeuner dans son restaurant parisien.
‘’ A chaque fois que j’ai demandé quelque chose à Sarko, il a répondu présent a expliqué l’acteur. Quand j’ai eu récemment des problèmes avec l’une de mes affaires à l’étranger, il s’est mis en quatre et m’a réglé le problème tout de suite. Son conseiller diplomatique m’a même appelé, il a été très gentil avec moi ‘’.
Et Depardieu d’ajouter : ‘’ Lorsque je l’appelle, il me rappelle dans le quart d’heure. Lui, c’est le président de la République, moi je ne suis qu’un acteur, et il me rappelle tout de suite. C’est extraordinaire’’.
Conclusion de Depardieu : ‘’ J’aurais perdu beaucoup d’argent s’il ne m’avait pas aidé pour ce problème. Tout ce qu’il me demande, je le ferai’’.
À quoi ça tient un soutien …

Fait chier un peu, non ?

mardi 13 mars 2012

KABANASUK

Aujourd'hui à Saint-Esprit. Temps de cul = y mouille des clous !

Pas grave, on mange ... en dedans !!!

Ajout :  STA BIN BON !

vendredi 9 mars 2012

Fabuleux Fabien !

À tous ceux et celles qui sont dans la mesure de le faire, je vous recommande fortement d’aller voir le spectacle CRANBOURNE que présente Fabien Cloutier à la salle Fred-Barry du théâtre Denise-Pelletier jusqu’au 17 mars. N’ayez crainte, il reste des billets.  Quel régal nous avons eu !

Cranbourne, c’est Saint-Odile-de-Cranbourne en Beauce. Un village où s’exile l’chum à Chabot qui demeurait à SCOTSTOWN. Mais pourquoi s’exiler à Cranbourne ? Pour changer sa vie plate et s’éloigner de ses chums, les conards Effix Pouliottt, Macdonald et Beaudin. C’est la première partie du spectacle ou l’chum à Chabot (qui lui, va très bien avec son épouse et sa petite fille) nous raconte son dernier party avec les boys. Ouf ! La spectatrice à mes côtés (une rousse…) éprouvait des difficultés respiratoires tant elle riait.

Fabien Cloutier nous amène par la suite à Cranbourne d'où il se trouvera un job chez …les petits gâteaux Vachon (faut l’entendre se promener entre la pompe à caramel et la machine qui pitche la petite track rouge dans les mille-feuilles) et surtout, la rencontre de Cindy …

En passant, l’chum à Chabot n’est plus raciste avec ceux qu’ils nomment désormais ‘’les noirs’’. Il saura vous expliquer pourquoi et pour quelle raison il les a remplacés par les essti d’islams ! À pisser de rire. La rousse ne se pouvait plus …
Évidemment que Fabien Cloutier utilise un langage assez rude merci. Néanmoins, les constructions de phrases sont impeccables et la compréhension de toutes les anecdotes loufoques et hilarantes s’en trouve facilitée. Même ce concours de ‘’chiage’’ de vache à Saint-Magloire qui a presque achevé la rousse…
Ces 80 minutes non-stop de monologue en mode accéléré m’apparaissent comme un véritable exploit de Fabien Cloutier. Débiter autant de mots et de phrases sans aucune hésitation, sans bafouillage, sans trou de mémoire et s’exprimer en même temps via les tonalités de voix et les faces riantes ou sévères des personnages et … garder le rythme sans aucune pause, c’est tout simplement phénoménal. Un conteur génial et un athlète de la comédie ! Pensez-y : 80 minutes !
Je vous en conterais davantage mais je vais me garder une petite gêne comme ils disent et vous souhaiter la joie de vous farcir ce spectacle. Tournée en province prévue, ça va de soi …

jeudi 8 mars 2012

Le futur André Arthur

Il se nomme Éric Duhaime. Il commente l'actualité sur différents médias. Malgré son jeune âge, c'est un droitiste aigu. Il le démontrait récemment lors de son passage chez Guy A. pour TLMEP.

Ce matin, j'ai détecté une preuve évidente de sa mauvaise foi. Discutant avec l'animateur de Franchement Martineau, une excellente tribune pour les conservateurs de la pensée droite, Duhaime nous entretenait de la manif étudiante de la veille. Il blamait alors les étudiants pour avoir bloqué la rue Sherbrooke (pendant 15 minutes) en nuisant et en indisposant ainsi ''des centaines de milliers de Montréalais''.

Hey ! Quel sens de la disproportion ! Des centaines de milliers, ça veut dire minimum 200,000 personnes. Dans la RÉALITÉ, on parle de quelques milliers. Et ce plouc de l'info qui vient exagérer la donne comme tout bon politicen véreux.

Et Martineau de laisser passer cette énormité comme du beurre dans la poêle ...

mercredi 7 mars 2012

Polisse

Je suis allé voir ce film hier en aprem au Quartier Latin. Ouf !

Il y a longtemps que je ne suis pas sorti d'une salle de cinéma ABASOURDI comme ça.

Quel film !

N'étant pas critique de cinéma, je vous suggère celle de Normand Provencher de La Presse ICI. Des mots qui résument assez bien l'histoire et l'ambiance de ce film-choc.

Polisse, comme l'écrirait un enfant. La Brigade de Protection des Mineurs de Paris. Une douzaine de flics en civil qui sont affectés à résoudre des crimes touchant des enfants. Pas de spectaculaire ni de scènes dégueulasses. Mais vous êtes avec ces flics et vous vivez leur quotidien, leurs crises de nerfs, leurs délires pour décompresser en gang dans un bar. Une réussite totale de la cinéaste Maiwenn qui joue d'ailleurs le rôle d'une photographe qui suit la brigade dans ses péripéties. Les personnages sont vrais. D'ailleurs le film est basé sur des faits réels. Je vous le répète, vous êtes avec eux, le film vous imbrique dans leur quotidien. Dialogues débordants mais combien réalistes ...

Et ces enfants abusés qui expriment leurs craintes, leur innocence et aussi leur désespoir, comme ce petit black qui pète une crise en étant séparé de sa maman qui le plaque : comment a-t-on pu faire acter ainsi un si jeune garçon ? Scène mémorable s'il en est une ...

Je vous le recommande fortement. Un très grand film. Et un punch final qui fesse !

mardi 6 mars 2012

Quelle ville extraordinaire !

Dans un article sur l'opéra des Belles-Soeurs à l'assaut de Paris, Louis-Bernard Robitaille nous apprend que la pièce de Tremblay a déjà une bonne visibilité ... '' ce qui n'est pas négligeable dans une ville qui propose 800 spectacles vivants chaque soir que le Bon Dieu amène''.

Hey ! Vous avez idée ? 800 shows tous les soirs ! On ne parle pas ici de salles avec 15 écrans de cinéma ! 800 spectacles vivants ! Donc, de pièces de théâtre, d'opéra, de shows musicaux, de cirques, de danses et de toutes ces manifestations avec des humains ... vivants.

Imaginez la vie grouillante dans les rues ... par un beau soir d'été.

Vie culturelle O M N I P R É S E N T E .

Une petite et minuscule statistique qui en dit tellement long sur cette ville magnifique ...

vendredi 2 mars 2012

Très occupé le maire Tremblay à Paris


Le temps de donner les dernières retouches
pour sa statut de cire au Musée Grévin ...

Source : Presse Canadienne
Merci le cousin Michel

Hey, madame Chose ...


Vous le savez parce que je le répète souvent : je suis abonné à la Presse depuis plus de trente années. Et Lysiane Gagnon écrit dans la Presse depuis plus de trente années aussi (sauf erreur). Même que depuis une quinzaine d’années (environ), elle est devenue columnist et sa colonne apparaît désormais juste à côté des … éditorialistes de Power Corp, alias Gesca. Malgré ma fidélité au quotidien, j’ai toujours été réfractaire à l’opinion politique fédéraliste de la direction et, forcément, des éditorialistes porte-parole des proprios. Depuis plusieurs années, madame Gagnon n’est plus la jeune contestataire qu’elle était. Rangée la madame et désormais fortement rapprochée de la pensée ‘’lucide’’ des gens du pouvoir. Une matante de l’info …
Mais jeudi matin, elle amorce sa colonne comme suit :
Gary Who? Que les amateurs de baseball me pardonnent, ce nom m'était parfaitement inconnu jusqu'à ce que la mort de Gary Carter fasse les manchettes.
Hey ! Ça fait trente années que tu écris dans la Presse. De 1972 à 1984, le gars a joué au baseball à Montréal. Une superstar qui a fait la manchette des centaines de fois dans ton propre journal où tu te retrouvais chaque jour en côtoyant forcément tes collègues du cahier des sports et tu ne te souviens pas du Kid ? Tu ne lisais pas la Presse ? Te rappelles-tu de Youppi la mascotte ? Même qu’à l’époque, Roger D. Landry, ton ex-directeur à La Presse, est devenu directeur marketing des Expos … Feriez-vous un début d’Alzheimer madame Gagnon ?
Entendre parler de Gary Carter pour la première fois de sa vie en février 2012, quand t’es montréalaise et journaliste depuis toujours, c’est de la foutaise madame Chose. C’est quoi votre nom de famille déjà ?

jeudi 1 mars 2012

Comment on dit déjà ?

Cet après-midi. en regardant l'émission Voulez-vous danser ? sur les ondes de ARTV, j'ai trouvé chaussure à mon pied ou, si vous préférez, j'ai trouvé barbichette à mon menton ...

L'émission portant sur la gigue québécoise, j'y ai vu un jeune homme dans la trentaine dont la barbichette tressée faisait environ 12 pouces !!! Comparée à mon six pouces entretenu pendant six ans, mettons que je me suis senti amateur.

Swignez votre compagnie !

S'cusez-la !