Mettons que je suis un peu moins fan ce matin après avoir lu cet article de Jean-Christophe Laurence dans La Presse. Non mais quel goujat ! Pour qui il se prend ? En cinq petites minutes d'entrevue, il a trouvé le moyen de pleinement se dévoiler. Des restants d'héro probablement ...
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6 commentaires:
Croco/Michel
n'ayant jamais été une fan de Lou Reed, je dirai simplement que si sa cousine et lui ont le mëme caractère, le tournage du film n'a pas dû être agréable.
:)
Ceci dit je suis ravie de t'avoir enfin rencontré en personne (espérant ne pas t'avoir donné l'impression du personnage cité dans ton billet, parce que je ne parle pas beaucoup) car tu es tel que je t'imaginais, tout à fait ce que tu écris. Et comme l'a dit Zoreilles, comme si je te connaissais depuis toujours. Doparano a dit la même chose avec des mots différents...
Une première rencontre ça peut être tellement décevant, et décevoir c'est ma plus grande peur. Puis-je me permettre de me considérer comme une "amie" réelle pour toi, et non un fantôme virtuel?
En tout cas tu es mon bonheur d'aujourd'hui. Mille mercis!
Ce fut une fin de matinée fort agréable ma chère. Même le sandwich du Placard était extra ! Content d'avoir cassé la glace !
La glace était ma seule faute et a fondu rapidement, bien davantage que tu l'imagines. Merci Croco!
Connaissais-tu Lou Reed sous cet aspect-là de sa personnalité? J'ai lu l'article, si c'est fidèle à la conversation qu'ils ont eue, il n'y avait aucune manière de le prendre, ton Lou Reed, même avec des gants blancs, rien ne fonctionnait.
Mon avis, c'est que ce gars-là, c'est peut-être pas un grand. Parce que les grands sont tellement plus simples que ça, ils ont une certaine noblesse de l'âme, beaucoup plus d'humanité.
@ Zoreilles
Entièrement d'accord, d'où le titre du billet. M'est d'avis qu'il a encore la dope barrée dans les neurones. Impoli de même, ça se peut presque pas.
Hey ! J'ai pris un café avec Lise hier. Si, si LA Lise. Et ce fut agréable !
Ben oui, c'est ce que j'avais lu dans les commentaires précédents. Formidable, hein? Pour toi comme pour Lise.
Chaque fois que cette chance se présentait, qu'une relation virtuelle faisait une incursion dans ma vie réelle, la rencontre s'est toujours avérée un pur enchantement. À partir de là, les sourires, les regards, les expressions, l'énergie, la voix, ça devient tellement présent, vivant, incarné, qu'on n'a plus besoin de les imaginer, on les voit. Les gens sont tellement ce qu'ils écrivent.
J'ai vécu ça souvent à la fin des années 90, et maintenant sur mon blogue, depuis janvier 2007. En juin 2008, toi-même, tu es devenu tellement plus « vrai » aux Iles de la Madeleine! Depuis ce temps-là, t'écris deux phrases et je t'imagine la tronche!!!
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