Le 4 mars 1971, c'était la tempête du siècle. Une folie de la nature incroyable. J'étais jeune et nouvellement installé à Montréal. Et ... non ... je ne fais pas une nouvelle crise d'Alzheimer : je sais que je vous ai déjà parlé de ma bravoure d'alors. Mais pour ceux et celles qui n'ont pas lu cette épopée du blogueur, je vous invite à cliquer ICI. J'étais jeune et beau ... disait-on. Même Zed avait apprécié mon récit. C'est ben pour dire ...
vendredi 4 mars 2011
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5 commentaires:
Cher Croco,
Celle-là, je ne l'avais pas lue...
C'est vrai, on garde tous un souvenir de cette grosse tempête!
Je crois savoir qu'il fait froid et qu'il neige encore à Montréal...
Bon courage!
Me souviens de ce billet, mais toujours agréable à lire...
surtout, qu'il est bien fignolé, celui là aussi...
Je l'ai relu avec le même plaisir que la première fois. Tu me fais le même effet que Félix Leclerc, Gilles Vigneault, Sylvain Rivière et Roland Jomphe, c'est pas rien!!! Parce qu'il est rare que je lise deux fois le même texte... ;o)
Ben là, le blogueur il rougit ben raide.
Je m'en souviens. Pas de votre bravoure ou de votre beauté, mais de la tempête!
Je em souviens des congés. Ce n'était pas dramatique, c'était amusant. À l'époque, à Montréal, on ne ramassait pas la neige aussi rapidement qu'aujourd'hui, il se constituait souvent une croute de plusieurs centimètres sur les trottoirs et chaussées.
C'est l'accumulation qui fut extraordinaire. En plus de cette chute de 50cm (ce qui ne me parait pas vraiment exceptionnel), il y a avait eu beaucoup de neige les jours précédents, les jours suivants il avait aussi neigé.
En ville, le haut des bancs de neige atteignait les balcons des deuxièmes étages. Cela était courant de creuser un tunnel pour entrer chez soi!
Jolis souvenirs d'enfance.
Accent Grave
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