Chanceux! Moi, je n'ai jamais pu lui dire... À la fin d'un show qu'il avait donné au Théâtre du Cuivre dans le temps qu'il faisait de la tournée, j'ai été la première à me lever debout comme s'il y avait eu une punaise sur mon banc, je sifflais même, pas de classe pantoute, une fan finie!
J'avais quand même parti le bal. Il a eu une ovation debout chez nous, il a dû ressentir qu'on l'aimait.
C'est passionnel quasiment, mon admiration pour Légaré. Il peut me faire rire et presque pleurer, attendrie, dans le même numéro.
Tu sais qu'il a été très malade, presque condamné. Et il est passé au travers comme un grand. J'avais bien aimé l'entrevue qu'il avait donné sur sa façon de combattre.
Moi aussi, c'était à l'émission « On prend toujours un train ». C'est resté gravé dans ma mémoire et dans mon coeur. J'y pense souvent et ça m'inspire. Pas besoin d'attendre de faire face au cancer pour prendre les mêmes dispositions, faire les bons choix. Suffit d'accorder une grande importance à la qualité de vie. Se respecter dans ses choix, etc.
Cou'donc, on jase là... C'est tranquille dans ta job toi aussi, ce matin?
T'as eu le mandat de faire les photos aussi? Pour compléter l'article je veux dire... T'es tellement polyvalent et versatile! ;o)
Moi, c'était un communiqué de presse... qui pressait pas! Ça leur donne le temps de s'enfarger dans les moindres virgules avant de l'approuver... C'est parti dans les médias là...
En attendant de « faire feu », j'ai eu le temps de jaser avec toi, réparer mon portable, préparer ma facture mensuelle, aller à l'épicerie et faire trois brassées de lavage... C'est pas toujours full adrénaline, notre job!
7 commentaires:
C'est tellement lui, cette phrase-là!
Parlant d'humoriste qui font réfléchir, je m'ennuie beaucoup de Pierre Légaré depuis qu'il ne fait plus de spectacles. Je l'aimais beaucoup.
Moi aussi j'aimais bien ce grand observateur. Le lui ai déjà dit d'ailleurs dans un petit resto collé au Marché Jean-Talon.
Chanceux! Moi, je n'ai jamais pu lui dire... À la fin d'un show qu'il avait donné au Théâtre du Cuivre dans le temps qu'il faisait de la tournée, j'ai été la première à me lever debout comme s'il y avait eu une punaise sur mon banc, je sifflais même, pas de classe pantoute, une fan finie!
J'avais quand même parti le bal. Il a eu une ovation debout chez nous, il a dû ressentir qu'on l'aimait.
C'est passionnel quasiment, mon admiration pour Légaré. Il peut me faire rire et presque pleurer, attendrie, dans le même numéro.
Tu sais qu'il a été très malade, presque condamné. Et il est passé au travers comme un grand. J'avais bien aimé l'entrevue qu'il avait donné sur sa façon de combattre.
Moi aussi, c'était à l'émission « On prend toujours un train ». C'est resté gravé dans ma mémoire et dans mon coeur. J'y pense souvent et ça m'inspire. Pas besoin d'attendre de faire face au cancer pour prendre les mêmes dispositions, faire les bons choix. Suffit d'accorder une grande importance à la qualité de vie. Se respecter dans ses choix, etc.
Cou'donc, on jase là... C'est tranquille dans ta job toi aussi, ce matin?
Je viens de compléter un article sur ... une dessinatrice de maillots de bain sur le Plateau ...
T'as eu le mandat de faire les photos aussi? Pour compléter l'article je veux dire... T'es tellement polyvalent et versatile! ;o)
Moi, c'était un communiqué de presse... qui pressait pas! Ça leur donne le temps de s'enfarger dans les moindres virgules avant de l'approuver... C'est parti dans les médias là...
En attendant de « faire feu », j'ai eu le temps de jaser avec toi, réparer mon portable, préparer ma facture mensuelle, aller à l'épicerie et faire trois brassées de lavage... C'est pas toujours full adrénaline, notre job!
Enregistrer un commentaire