vendredi 31 octobre 2008
jeudi 30 octobre 2008
Définition
Prénommée Varda, ce pétard haitien débordant de snobisme avec cette bouche immense qui pérore beaucoup plus qu'elle n'avale avec ces mamelles magnifiques pour flotter dans l'eau turquoise ...
Excusez-la.
Excusez-la.
mercredi 29 octobre 2008
Les voleurs du Temple
J'avais oublié de vous dire ...
Le prix de la bière au Centre Bell.
Au comptoir (Molson dans un verre de plastique)
comme dans les estrades (Coors en canette) ...
$9.75
Pas de joke !
Je me demande combien coûte la Molson au Festival du Cinéma de Rouyn-Noranda qui a lieu présentement à presque 500 kilomètres au nord du Centre Bell ... Je dirais, au pif comme ça, à peu près la moitié moins cher ...
Le prix de la bière au Centre Bell.
Au comptoir (Molson dans un verre de plastique)
comme dans les estrades (Coors en canette) ...
$9.75
Pas de joke !
Je me demande combien coûte la Molson au Festival du Cinéma de Rouyn-Noranda qui a lieu présentement à presque 500 kilomètres au nord du Centre Bell ... Je dirais, au pif comme ça, à peu près la moitié moins cher ...
mardi 28 octobre 2008
Expedia.ca = économique ?
J'ai fait un petit test.
Pour le même trajet aller-retour, les mêmes dates et les mêmes vols.
19 juin 2009 Montréal - Iles Madeleine Vol 8744 Air Canada
26 juin 2009 Iles Madeleine - Montréal Vol 8745 Air Canada
Avec les experts Expedia.ca $897
Moi-même sur internet $800
Tirez vos propres conclusions ...
Même trajet fin-mai : $570 ...
Pour le même trajet aller-retour, les mêmes dates et les mêmes vols.
19 juin 2009 Montréal - Iles Madeleine Vol 8744 Air Canada
26 juin 2009 Iles Madeleine - Montréal Vol 8745 Air Canada
Avec les experts Expedia.ca $897
Moi-même sur internet $800
Tirez vos propres conclusions ...
Même trajet fin-mai : $570 ...
lundi 27 octobre 2008
Go Simon Go

Même que les boys l'ont élu capitaine pour cette dernière saison. Repêché par les Black Hawks de Chicago il y a deux ans, le jeune athlète de 6 pieds 7 pouces a préféré terminer ses études à Bangor plutôt qu'aller amorcer sa carrière de pro dans le club ferme des Hawks. Grand bien lui en fasse.
Un court article sur le numéro 79 dans le journal local. C'est ici.
Je profite de ce court post pour souhaiter un heureux anniversaire à sa maman Lou qui fête aujourd'hui son Xième anniversaire et qui lira ce message aux Bahamas vers lesquels elle s'envolait à 5 heures ce matin ...
dimanche 26 octobre 2008
La s'maine vaaaarte et les frosfros
Moi j’adore les fromages (d’ici et d’ailleurs) au lait cru comme au lait pasteurisé. J’aime les produits finaux de ces travailleurs de la terre.
J’aime aussi l’émission la Semaine Verte de Radio-Canada que j’adore prononcer avec l’accent amplifié « vaaaarte ». J’aime qu’on me parle de ces jeunes et vieux agriculteurs totalement passionnés par leur travail et la transmission de leurs connaissances à leur progéniture.
Or ce dimanche, la Semaine Vaaarte s’est entièrement consacré à la crise du fromage de l’été dernier principalement à cause de cette fameuse listéria. Et plusieurs de ces hommes et femmes, autant sur les fermes productrices que chez les revendeurs et leurs comptoirs accueillants, se sont fait assommer par le Ministère et ses sbires totalement intolérants.
Et pour montrer l’incompétence, voire la fourberie du ministre responsable Lucien Lessard, lisez-moi cette excuse pour expliquer le coup de massue : « J’étais pas pour mettre en danger le fœtus d’une femme enceinte pour 30 kilos de fromage ! ». 30 kilos Tab ! Ils ont vidé les comptoirs de la province ! Allô 30 kilos !
J’ai vu les employés de la fromagerie Médard à Saint-Gédéon, les yeux pleins d’eau, garrocher les centaines de grosses meules produites dans le gros container sous la surveillance des flics du MAPAQ. Et plus tard, le déchargement du stock à l’endroit prévu. Et quelques minutes plus tard, les centaines de mouettes qui se ruent sur le stock pour s’en gaver comme des folles …
Et le fromager de Sainte-Sophie qui jure avoir entendu l’inspecteur-chef du MAPAQ lui dire « Si on s’est trompé, c’est pas grave. On l’aura fait ».
Et voilà mesdames et messieurs par quels conards en complets d’habit nous sommes administrés.
Pour ma part, je ne saurais me priver de cet incroyable Riopelle qui, justement, était cité dans les premiers coupables. Et de nombeux autres petits chefs-d'oeuvre. Dans l’cul le MAPAQ.
J’aime aussi l’émission la Semaine Verte de Radio-Canada que j’adore prononcer avec l’accent amplifié « vaaaarte ». J’aime qu’on me parle de ces jeunes et vieux agriculteurs totalement passionnés par leur travail et la transmission de leurs connaissances à leur progéniture.
Or ce dimanche, la Semaine Vaaarte s’est entièrement consacré à la crise du fromage de l’été dernier principalement à cause de cette fameuse listéria. Et plusieurs de ces hommes et femmes, autant sur les fermes productrices que chez les revendeurs et leurs comptoirs accueillants, se sont fait assommer par le Ministère et ses sbires totalement intolérants.
Et pour montrer l’incompétence, voire la fourberie du ministre responsable Lucien Lessard, lisez-moi cette excuse pour expliquer le coup de massue : « J’étais pas pour mettre en danger le fœtus d’une femme enceinte pour 30 kilos de fromage ! ». 30 kilos Tab ! Ils ont vidé les comptoirs de la province ! Allô 30 kilos !
J’ai vu les employés de la fromagerie Médard à Saint-Gédéon, les yeux pleins d’eau, garrocher les centaines de grosses meules produites dans le gros container sous la surveillance des flics du MAPAQ. Et plus tard, le déchargement du stock à l’endroit prévu. Et quelques minutes plus tard, les centaines de mouettes qui se ruent sur le stock pour s’en gaver comme des folles …
Et le fromager de Sainte-Sophie qui jure avoir entendu l’inspecteur-chef du MAPAQ lui dire « Si on s’est trompé, c’est pas grave. On l’aura fait ».
Et voilà mesdames et messieurs par quels conards en complets d’habit nous sommes administrés.
Pour ma part, je ne saurais me priver de cet incroyable Riopelle qui, justement, était cité dans les premiers coupables. Et de nombeux autres petits chefs-d'oeuvre. Dans l’cul le MAPAQ.
samedi 25 octobre 2008
Fin folle
Il y avait onze rounds de boxe d’écoulées et les 16,000 spectateurs dans le Centre Bell étaient fort joyeux. NOTRE Lucian dominait le combat genre 6 rounds gagnés, deux de perdus et trois nulles. Fallait donc que le fier Librado Andrade le couche au tapis au douzième round pour espérer l’emporter. Et Lucian n’avait donc qu’à se méfier du coup meurtrier fatal.
Encouragé par les 32,000 poumons (des gauches et des droits), Lucian s’est soudainement dit qu’il nous ferait encore plus plaisir en « gelant » Andrade. Alors il s’est donc mis à échanger coup pour coup avec le mexicain en se foutant de sa propre défensive.
Environ une minute avant la fin, nous sommes tous debout à hurler notre plaisir, Lucian encaisse une taloche qui le fait VRAIMENT vaciller. OK ! Fini les folies : faut se protéger. Mais Andrade a vu la défaillance et a augmenté la pression.
De telle sorte que NOTRE Lucian se retrouve sur le cul en fin de round. Avant de commencer le compte, l’arbitre repousse Andrade dans son coin et Lucian, miraculeusement, réussi à se lever debout. Les dernières secondes s’écoulent : il est sauvé par cette cloche finale. Parce que, disons-le, trente secondes de plus et Andrade l’aurait massacré.
Yé ! On a gagné quand même.
En passant, vous ai-je dit que j’ai regardé l’essentiel du combat … à la télé ? J’étais au Centre Bell, oui. Au début de la section qu’on appelle Le Pit, dans les hauteurs. Mais juste au-dessus du ring (où on aperçoit les boxeurs petits, petits), au-dessus du ring dis-je, il y a désormais un écran carrément capoté d’environ 40 pieds de large par 30 pieds de haut, qui diffuse une image en haute dimension. Et nous étions 16,000 à regarder cette grosse TiVi ensemble avec les vrais acteurs juste en dessous. Carrément extraordinaire.
Indescriptible cette effervescence de la dernière minute. Comme ces autres minutes de l’entrée en scène de Lucian et sa longue marche vers le ring au son exponentiel de Where the streets have no name de U2. Capoté ! Je lévitais presque et mes chums aussi.
Bien belle soirée. Merci Lucian.
Encouragé par les 32,000 poumons (des gauches et des droits), Lucian s’est soudainement dit qu’il nous ferait encore plus plaisir en « gelant » Andrade. Alors il s’est donc mis à échanger coup pour coup avec le mexicain en se foutant de sa propre défensive.
Environ une minute avant la fin, nous sommes tous debout à hurler notre plaisir, Lucian encaisse une taloche qui le fait VRAIMENT vaciller. OK ! Fini les folies : faut se protéger. Mais Andrade a vu la défaillance et a augmenté la pression.
De telle sorte que NOTRE Lucian se retrouve sur le cul en fin de round. Avant de commencer le compte, l’arbitre repousse Andrade dans son coin et Lucian, miraculeusement, réussi à se lever debout. Les dernières secondes s’écoulent : il est sauvé par cette cloche finale. Parce que, disons-le, trente secondes de plus et Andrade l’aurait massacré.
Yé ! On a gagné quand même.
En passant, vous ai-je dit que j’ai regardé l’essentiel du combat … à la télé ? J’étais au Centre Bell, oui. Au début de la section qu’on appelle Le Pit, dans les hauteurs. Mais juste au-dessus du ring (où on aperçoit les boxeurs petits, petits), au-dessus du ring dis-je, il y a désormais un écran carrément capoté d’environ 40 pieds de large par 30 pieds de haut, qui diffuse une image en haute dimension. Et nous étions 16,000 à regarder cette grosse TiVi ensemble avec les vrais acteurs juste en dessous. Carrément extraordinaire.
Indescriptible cette effervescence de la dernière minute. Comme ces autres minutes de l’entrée en scène de Lucian et sa longue marche vers le ring au son exponentiel de Where the streets have no name de U2. Capoté ! Je lévitais presque et mes chums aussi.
Bien belle soirée. Merci Lucian.
vendredi 24 octobre 2008
LUCIAN
Dans ma liste des belles journées de l’an de grâce 2008, celle d’aujourd’hui figurera en très bonne position. Ce soir mes ami(e)s, le blogueur va aller s’époumoner au Centre Bell et crier comme un malade pour encourager Lucian Bute, NOTRE québécois champion du monde de boxe dans la catégorie des super mi-moyens. Et quand je dis crier, I mean it. J’ai une voix de stentor et je m’en sers !
L’an dernier (le 20 octobre 2007 pour être précis), je vous entretenais su ce nouveau champion qui venait de conquérir son titre et j’ajoutais :
« Avez-vous déjà transporté votre corps dans un gala de boxe ? Quasiment indescriptible. Même dans le pit, tout en haut dans les estrades, c’est totalement animal. L’arène en bas, les gladiateurs (de supers athlètes au summum de la forme physique), la soif de voir LE coup qui porte et fait vaciller l’autre, c’est pas mal plus excitant qu’un but de Kovalev en troisième période. Vibrer animal de temps en temps, comment dirais-je, ça fait du bien sans heurter personne. »
Ce soir, cet atmosphère reprendra place dans l’enceinte Bell. Des milliers de maniaques comme moi et mes chums Ric, Sly et Gros-Pierre, presque en transe pour aider NOTRE Lucian à coucher ce Librado Andrade qui n’est assurément pas un 2-de-pique ni un faire-valoir avec sa fiche de 27 victoires (dont 21 par KO) et une seule défaite (il en aura deux demain !).
Il est à peine 9 heures du matin et les fourmis me chatouillent déjà. Le combat débute à minuit pile, dans … 15 heures.
Esssti que j’ai hâte !
L’an dernier (le 20 octobre 2007 pour être précis), je vous entretenais su ce nouveau champion qui venait de conquérir son titre et j’ajoutais :
« Avez-vous déjà transporté votre corps dans un gala de boxe ? Quasiment indescriptible. Même dans le pit, tout en haut dans les estrades, c’est totalement animal. L’arène en bas, les gladiateurs (de supers athlètes au summum de la forme physique), la soif de voir LE coup qui porte et fait vaciller l’autre, c’est pas mal plus excitant qu’un but de Kovalev en troisième période. Vibrer animal de temps en temps, comment dirais-je, ça fait du bien sans heurter personne. »
Ce soir, cet atmosphère reprendra place dans l’enceinte Bell. Des milliers de maniaques comme moi et mes chums Ric, Sly et Gros-Pierre, presque en transe pour aider NOTRE Lucian à coucher ce Librado Andrade qui n’est assurément pas un 2-de-pique ni un faire-valoir avec sa fiche de 27 victoires (dont 21 par KO) et une seule défaite (il en aura deux demain !).
Il est à peine 9 heures du matin et les fourmis me chatouillent déjà. Le combat débute à minuit pile, dans … 15 heures.
Esssti que j’ai hâte !
jeudi 23 octobre 2008
Moi et les vedettes
Suivant ma niaiserie avec Guy A. et avec le rappel de mon pote Ricdam, je vous raconte cette autre intervention "intelligente" avec un personnage public.
Je suis dans un petit resto vietnamien du Plateau avec mon patron. J'aperçois au fond de la salle le journaliste et commentateur sportif Yvon Pednault assis avec deux dames.
Je me lève et me dirige vers sa table et je lui dis :
"Monsieur Pednault, j'ai une devinette pour vous, mais ya des bonnes chances que vous la connaissiez ... Pouvez-vous me faire une phrase avec ... Yvon Pednault ?".
Il semble intrigué et me dit que ... non, il ne la connaît pas. Alors je lui fait une face triste et je lui dis :
" Y vont pèd nos Canadiens à souaire "
Il l'a bien ri ...
Je suis dans un petit resto vietnamien du Plateau avec mon patron. J'aperçois au fond de la salle le journaliste et commentateur sportif Yvon Pednault assis avec deux dames.
Je me lève et me dirige vers sa table et je lui dis :
"Monsieur Pednault, j'ai une devinette pour vous, mais ya des bonnes chances que vous la connaissiez ... Pouvez-vous me faire une phrase avec ... Yvon Pednault ?".
Il semble intrigué et me dit que ... non, il ne la connaît pas. Alors je lui fait une face triste et je lui dis :
" Y vont pèd nos Canadiens à souaire "
Il l'a bien ri ...
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Et mon patron m'a traité de malade mental ...
Dans la brume matinale ...

Dix secondes plus tôt, fallait que je trouve kekchose à lui dire, vous vous en doutez ...
- Bonne semaiiiiine, que je lui ai lancé.
- Ah ben ... oui ... bonne semaiiiiine, qu'il m'a répondu.
Kriss que j'suis con ...
mercredi 22 octobre 2008
mardi 21 octobre 2008
Le hasard ...
Ce matin, à la Une de La Presse, le journaliste Marc Cassivi tombe a bras raccourci sur Pierre Falardeau (qu'il rebaptise Elvis Falardeau) parce que ce dernier a traité l'environnementaliste David Suzuki de "petit japanouille à barbiche". La raison ? Suzuki s'est dit "déçu" par les québécois qui appuient le Parti Conservateur. Bon ...
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Le hasard dans tout ça ? Hier le blogueur a reçu le mandat du groupe Odace Événement de contacter Pierre Falardeau pour réaliser une entrevue touchant le Plateau et destinée au site web du groupe.
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Si vous avez des suggestions de questions, n'hésitez pas à me les transmettre. Je prévois rencontrer le personnage la semaine prochaine.
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En attendant, je vous copie-colle ce texte que j'ai commis sur Pierre Falardeau en janvier 2001 pour le webzine Planète-Québec ...
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Falardeau : un gueulard tendre ?
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Vous le verrez beaucoup dans les médias au cours des prochaines semaines because la sortie de son nouveau film sur Chevalier de Lorimier et l’époque des Patriotes. La tournée promotionnelle débutait d’ailleurs chez la superbe Christiane Charrette mercredi dernier.
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L’homme derrière Elvis Gratton, mais aussi et surtout derrière Octobre, le Party et l’underground Temps des Bouffons ne laisse personne indifférent. Ses sorties à l’emporte-pièce et ses expressions dépourvues de l’emballage de la rectitude politique scandalisent les uns et font sourire les autres.
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En réaction à un texte de Brecht (je crois) que lui avait lu Françoise Faucher, il avait improvisé cette suave appréciation : " Ça c’est du théâtre ! C’est pas comme les jeunes flyés qui te récitent un texte en serbo-croate, pendus par les pieds avec une carotte dans l’cul ! ". Ouf ! Mais c’est aussi le même bonhomme qui, en préambule à son film Le Party, vous lance cette brève et subtile réflexion : " La liberté n’est pas une marque de yogourt ".
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Le milieu qui se dit branché (parfaitement incarné par le pédantissime Martineau, directeur de l’hebdo Voir) a commencé à prendre ses distances avec le récalcitrant Falardeau et n’a pas manqué de lui taper dessus à la sortie du navrant Elvis Gratton 2, trouvant même redondantes et désormais "out " ses récriminations sur le financement esclavagiste des instances fédérales et bla-bla-bla.
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En regardant Falardeau en entrevue, observez bien son sourire : comme une gêne et une pudeur qui s’installent dans sa figure débraillée. Le compliment le désarçonne et il s’empresse de le minimiser.
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Mais où donc est passé le baveux quand la lentille focalise sur sa personne plutôt que sur le personnage ? Le tigre devient presque minet et l’encens dévie vers son entourage. Derrière le bouclier verbal et littéraire, je devine une poule couveuse choyant ses amitiés intimes.
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Personnellement, je ne saurais me priver d’aller visionner la récente œuvre de ce grand artiste de la caméra et me délecter de la vision cinématographique de ce Québécois enragé, incapable d’oublier les blessures et les insultes subies par son peuple depuis 200 ans.
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