Le vieux snoro. Frappe encore dans le mille, là où nous n'y aurions pas pensé. C'est ICI.
Imaginez-vous qu'il a inventé un vaccin contre l'hystérie.
Et cette phrrase sublime en conclusion :
" J'ajouterai que la banalisation, si décriée dans ce monde, où la banalité est pourtant l'ultime référence culturelle, la banalisation, donc, à dose homéopathique bien sûr, est un excellent remède è l'hystérie."
Cette manie de voir des choses pas comme les autres. Cré Foglia ...
Allez y lire.
jeudi 15 octobre 2009
mardi 13 octobre 2009
On the road
Un aller-retour Montréal/Trois-Rivières en moins de 3 heures avec 15 minutes de repos au beau milieu, le tout en ce dernier jour de l'Action de Grâce. Faut le faire !
Avec DREW , mon blogueur favori, nous sommes allés reconduire la petite Emmy dans les bras de sa maman dans la cité de Laviolette.
Pas pris une seule photo : pas le temps. Avec deux grandes gueules assises à l'avant, je n'ai même pas pensé sortir ma Canon pour capter quelques couleurs magnifiques dans les arbres.
Un bien bô lundi.
Avec DREW , mon blogueur favori, nous sommes allés reconduire la petite Emmy dans les bras de sa maman dans la cité de Laviolette.
Pas pris une seule photo : pas le temps. Avec deux grandes gueules assises à l'avant, je n'ai même pas pensé sortir ma Canon pour capter quelques couleurs magnifiques dans les arbres.
Un bien bô lundi.
lundi 12 octobre 2009
Dompierre gratissss !
Allez y voir, c'est ICI. Une courte nouvelle de Stéphane Dompierre sur Cyberpresse. Ça s'intitule : Un squeek et deux gros bang.
Ce gars-là a vraiment toute une plume. Cinq minutes de bonheur. Vous verrez bien ...
Ce gars-là a vraiment toute une plume. Cinq minutes de bonheur. Vous verrez bien ...
samedi 10 octobre 2009
vendredi 9 octobre 2009
Vélocipède
Hier, j’ai encore utilisé mon vélo pour aller au bureau des Postes expédier un paquet pour mon pote Jean-Louis à Winnipeg. Dès les premiers coups de pédales : la misère !
Ce corps vieilli n’en peut plus de forcer de la sorte pour faire avancer la bécane. Me semble-t-il que ça sera ma dernière année comme vélocipède. Trop souffrant et trop exigeant pour ma vieille carcasse.
Rendu à destination (environ un kilomètre), une question m’est venue : comment sont mes pneus ? J’ai vérifié : ils étaient d’une mollesse extrême. Si vous ajoutez mes 245 livres, ils étaient carrément à plat !
Je suis donc allé gonfler ces malheureux pneus coin St-Zotique et Papineau et, une fois remis en selle … j’avais rajeuni de 20 ans ! Ça roulait pas à peu près ! Me sentais quasiment prêt pour le Tour de France.
Morale de l’histoire : vieux cyclistes, vérifiez vos pneus après le début de la saison !
Ce corps vieilli n’en peut plus de forcer de la sorte pour faire avancer la bécane. Me semble-t-il que ça sera ma dernière année comme vélocipède. Trop souffrant et trop exigeant pour ma vieille carcasse.
Rendu à destination (environ un kilomètre), une question m’est venue : comment sont mes pneus ? J’ai vérifié : ils étaient d’une mollesse extrême. Si vous ajoutez mes 245 livres, ils étaient carrément à plat !
Je suis donc allé gonfler ces malheureux pneus coin St-Zotique et Papineau et, une fois remis en selle … j’avais rajeuni de 20 ans ! Ça roulait pas à peu près ! Me sentais quasiment prêt pour le Tour de France.
Morale de l’histoire : vieux cyclistes, vérifiez vos pneus après le début de la saison !
jeudi 8 octobre 2009
Chez Jules TV, saison 2010

Hier soir, je suis passé en coup de vent à la salle Dell’Arte de la rue Jean-Talon. La belle Geneviève Lefebvre (Chroniques Blondes) y procédait au lancement officiel de la nouvelle saison de Chez Jules TV, une série télé-web qui figure parmi les pionnières du genre au Québec, du moins celles qui ont un large auditoire. D’ailleurs, le succès des capsules de Geneviève est tel que Téléfilm Canada apparaît désormais au générique. C’est pas rien !
Je vous ramène cette photo prise à la sauvette. Pendant que le photographe officiel, perché sur sa chaise, dictait ses conseils à la troupe de comédiennes (deux bô gars aussi pour les mettre en valeur ...), j'ai cliqué pour vous ramener ces jolis minets.
Je n’y suis pas resté longtemps parce que j’aurai Geneviève pour moi tout seul la semaine prochaine : je la rencontre pour une entrevue officielle où on parlera d’elle en premier lieu, puis de son métier, de ses succès, de son blogue, de Chez Jules, mais aussi de son premier roman « Je compte les morts », une macabre histoire qui se déroule dans le Griffintown et qui vient tout juste de paraître chez Expression Noire.
Je vous suggère de renouer avec le bar Chez Jules. Ça décolle avec les principales vedettes accotées au bar dans une discussion « très femme » sur les propriétés d’un drink. La tough(Jessica Parker), la nunuche-de-service (Catherine de Léan), la capotée (Maude Guérin) et … dame Sutto, toujours aussi alerte malgré ces printemps accumulés. La paperasse de presse m’indique de nouvelles venues pour cette nouvelle session 2010, notamment Céline Bonnier, Valérie Valois et Mireille Deyglun. Ça promet !
J'ai croisé Janine Sutto comme je sortais de l'édifice. Ce que cette dame est minuscule ! Elle est arrivée toute seule, comme une grande !
Je vous ramène cette photo prise à la sauvette. Pendant que le photographe officiel, perché sur sa chaise, dictait ses conseils à la troupe de comédiennes (deux bô gars aussi pour les mettre en valeur ...), j'ai cliqué pour vous ramener ces jolis minets.
Je n’y suis pas resté longtemps parce que j’aurai Geneviève pour moi tout seul la semaine prochaine : je la rencontre pour une entrevue officielle où on parlera d’elle en premier lieu, puis de son métier, de ses succès, de son blogue, de Chez Jules, mais aussi de son premier roman « Je compte les morts », une macabre histoire qui se déroule dans le Griffintown et qui vient tout juste de paraître chez Expression Noire.
Je vous suggère de renouer avec le bar Chez Jules. Ça décolle avec les principales vedettes accotées au bar dans une discussion « très femme » sur les propriétés d’un drink. La tough(Jessica Parker), la nunuche-de-service (Catherine de Léan), la capotée (Maude Guérin) et … dame Sutto, toujours aussi alerte malgré ces printemps accumulés. La paperasse de presse m’indique de nouvelles venues pour cette nouvelle session 2010, notamment Céline Bonnier, Valérie Valois et Mireille Deyglun. Ça promet !
J'ai croisé Janine Sutto comme je sortais de l'édifice. Ce que cette dame est minuscule ! Elle est arrivée toute seule, comme une grande !
lundi 5 octobre 2009
Fais ça court !
Des élections partielles sont prévues au mois de novembre. L'une d'entre elles se déroulera au Québec dans la circonscription de, tenez-vous bien :
Montmagny/L'Islet/Kamouraska/Rivière-du-Loup.
Hey ! Moi, mon comté se nomme ... Gouin.
Tout simplement.
Pourquoi faire compliqué ?
Une comparaison :
Pierre-Antoine Dumouchel-Lafrenière votera dans Montmagny/L'Islet/Kamouraska/Rivière-du-Loup ... Ouf !
Guy Guay votera dans Gouin. Yé !
:-)
Montmagny/L'Islet/Kamouraska/Rivière-du-Loup.
Hey ! Moi, mon comté se nomme ... Gouin.
Tout simplement.
Pourquoi faire compliqué ?
Une comparaison :
Pierre-Antoine Dumouchel-Lafrenière votera dans Montmagny/L'Islet/Kamouraska/Rivière-du-Loup ... Ouf !
Guy Guay votera dans Gouin. Yé !
:-)
dimanche 4 octobre 2009
Mon autre soeur
Je regardais ces 15,000 personnes réunies au parc Maisonneuve pour la traditionnelle grande marche appuyant la recherche sur le cancer du sein avec Mitsou comme porte-parole (eh monsieur !).
Et j’ai pensé aussi à Suzanne, mon autre sœur qui, justement, se faisait opérer il y a deux semaines pour justement enlever une tache merdique sur son sein gauche. Je dis mon autre sœur parce que dans la vie, après Line et Louise, j’ai eu deux autres sœurs : Suzanne et Chantal. Deux filles, deux amies, que j’aime tellement et avec qui j’ai tellement échangé, que je m’autorise à les appeler mes sœurs.
Suzanne donc, qui a passé l’essentiel de sa vie de travailleuse à recevoir les malades au comptoir des urgences à St-Michel, St-Luc et Hotel-Dieu et qui, à son tour, a dû passer sous le bistouri. Pas une mastectomie mais, c’est quand même pas drôle. Avec cette infirmière qui vient la visiter tous les jours à domicile pour refaire son pansement. Et la crainte que j’imagine dans tout ça.
La crainte, ai-je écrit ? Pas chez Suzanne. Du moins ne le montre-t-elle pas. Ni avant, ni après l’opération. Same old stuff semble-t-elle nous dire. Avec la portion de vie pas facile qu’elle connaît depuis deux ans, je la trouve quasi surhumaine d’absorber cet affront de la santé avec une telle désinvolture. Et je l’admire.
Demain après-midi, ça faisait longtemps, mais nous aurons une longue session de placotage pour se retremper dans ce bon vieux temps ou nous exagérions hebdomadairement les agapes pour hypothéquer notre santé. Moins de bière demain, bien sûr. Mais toujours cette amitié indéfectible.
Et j’ai pensé aussi à Suzanne, mon autre sœur qui, justement, se faisait opérer il y a deux semaines pour justement enlever une tache merdique sur son sein gauche. Je dis mon autre sœur parce que dans la vie, après Line et Louise, j’ai eu deux autres sœurs : Suzanne et Chantal. Deux filles, deux amies, que j’aime tellement et avec qui j’ai tellement échangé, que je m’autorise à les appeler mes sœurs.
Suzanne donc, qui a passé l’essentiel de sa vie de travailleuse à recevoir les malades au comptoir des urgences à St-Michel, St-Luc et Hotel-Dieu et qui, à son tour, a dû passer sous le bistouri. Pas une mastectomie mais, c’est quand même pas drôle. Avec cette infirmière qui vient la visiter tous les jours à domicile pour refaire son pansement. Et la crainte que j’imagine dans tout ça.
La crainte, ai-je écrit ? Pas chez Suzanne. Du moins ne le montre-t-elle pas. Ni avant, ni après l’opération. Same old stuff semble-t-elle nous dire. Avec la portion de vie pas facile qu’elle connaît depuis deux ans, je la trouve quasi surhumaine d’absorber cet affront de la santé avec une telle désinvolture. Et je l’admire.
Demain après-midi, ça faisait longtemps, mais nous aurons une longue session de placotage pour se retremper dans ce bon vieux temps ou nous exagérions hebdomadairement les agapes pour hypothéquer notre santé. Moins de bière demain, bien sûr. Mais toujours cette amitié indéfectible.
vendredi 2 octobre 2009
Very interesting !
Vous le savez, notre compatriote Guy Laliberté se retrouve dans l'espace, plus précisément dans la station spatiale.
Je vous propose d'aller visionner ce lien (merci Ricdam) qui vous présente un court vidéo (deux minutes) vous permettant de constater comment s'est bâtie cette fameuse station spatiale. Très bien fait et surtout, trrrèèèèsss impressionnant. Allez y voir ! C'est BIG !
Je vous propose d'aller visionner ce lien (merci Ricdam) qui vous présente un court vidéo (deux minutes) vous permettant de constater comment s'est bâtie cette fameuse station spatiale. Très bien fait et surtout, trrrèèèèsss impressionnant. Allez y voir ! C'est BIG !
jeudi 1 octobre 2009
Ma solitude (air connu)
Voilà, ça y est. Elle est partie. Pour un gros six mois, la blonde-rousse est partie vivre chez sa fille. Les obligations parfois sournoises de la vie, les impondérables, les pas-le-choix …
Je n’ai pas envie de vous en livrer les détails et le pourquoi parce que ça n’est vraiment pas important. Elle va revenir avec le printemps, les oiseaux et les rigoles dans la rue.
Mais d’ici là, ces soirées silencieuses appréhendées ne m’enchantent guère. Compenser en reprenant les sorties et retours nocturnes ? Bof, non, pas vraiment. Clavarder davantage sur ce blogue ? Probablement.
Mais l’habitude de cette présence et de toutes ses dérivées, stimulantes ou ennuyantes, va me manquer terriblement. Je préfère m’obstiner, bouder ou me faire bouder, ronger mon frein et me sentir fru que de parler aux murs et me soulager en riant de Claude Poirier ou Jean-Luc Mongrain.
Une chum de vie, c’est immense dans l’âme et le cœur. Et c’est quand on nous en prive qu’on en pèse la richesse et l’importance. Et le compte à rebours du retour est commencé …
Je ne suis jamais seul avec ma solitude …
Je n’ai pas envie de vous en livrer les détails et le pourquoi parce que ça n’est vraiment pas important. Elle va revenir avec le printemps, les oiseaux et les rigoles dans la rue.
Mais d’ici là, ces soirées silencieuses appréhendées ne m’enchantent guère. Compenser en reprenant les sorties et retours nocturnes ? Bof, non, pas vraiment. Clavarder davantage sur ce blogue ? Probablement.
Mais l’habitude de cette présence et de toutes ses dérivées, stimulantes ou ennuyantes, va me manquer terriblement. Je préfère m’obstiner, bouder ou me faire bouder, ronger mon frein et me sentir fru que de parler aux murs et me soulager en riant de Claude Poirier ou Jean-Luc Mongrain.
Une chum de vie, c’est immense dans l’âme et le cœur. Et c’est quand on nous en prive qu’on en pèse la richesse et l’importance. Et le compte à rebours du retour est commencé …
Je ne suis jamais seul avec ma solitude …
mardi 29 septembre 2009
Lancement réussi
Il fallait s'y attendre. Michael Dozier a quelque chose comme trente années de métier. Hier soir, au Lion D'Or, devant une foule d'environ 150 personnes, il nous a livré une prestation (6 bonnes chansons tirées du nouvel album) faite d'un mélange de pop-rock-blues-jazz avec sa voix magnifique et la collaboration d'une belle bande de musiciens et choristes. Impeccable !
Avec son éternelle guitare ...
Tout de blanc vêtu ...


qui est peut-être mêlé entre les zoreilles
mais qui joue de la ruine-babines en tab ...
lundi 28 septembre 2009
Michael Dozier : Here I am
.
J'y serai donc à compter de 17 heures. Si vous êtes dans le coin, passez y faire un tour (1676 Ontario Est). Michael m'a affirmé que je pouvais amener autant d'amis que je voulais. Alors venez profiter du cocktail et des petits sandwichs gratuits. Et, pourquoi pas, me serrer la pince.
.
Petit reportage et photos du lancement dans quelques jours.
samedi 26 septembre 2009
Salut Falardeau
Je vous le dis, j'ai vraiment une peine au coeur. Je viens tout juste d'apprendre le décès de Pierre Falardeau. Moi j'aimais beaucoup ce gars-là ... Je vous en avais parlé juste ICI et ICI
.
Petite anecdote. Quand je l'ai rencontré au Mont-Royal Hot Dog pour l'entrevue, une seule fois il s'est emporté et m'a roulé des yeux mauvais : lorsque j'ai mentionné le nom de Françoise David. Il la détestait. "Pas une vraie indépendantiste, mais une gau-gauchiste" m'avait-t-il avoué.
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