lundi 28 juin 2010
Photo ratée mais ...
dimanche 27 juin 2010
Le micro est ouvert ...
samedi 26 juin 2010
Scandaleux
mercredi 23 juin 2010
Les français d'Amérique
C’est jeudi soir au parc Maisonneuve que les montréalais iront faire la fête pour un gros spectacle animé par Guy A. Cette année, les jeunes artistes cool vont entourer « le vieux » Paul Piché. On annonce aussi que les jeunes s’approprieront la vieille toune de Piché intitulée L’Escalier. Ne manquez pas ça.
J’ai toujours adoré cette chanson immense que l’artiste a composé alors qu’il était au sommet de sa courbe créatrice. Grosses émotions sur la vie qui va et les amitiés qui la jalonnent. J’attendais toujours ces phrases qui me secouaient :
Ben oui, c'est vous qui auriez pleuré
Avec c'que j'aurais composé
C'est une manière de s'faire aimer
Quand ceux qu'on aime veulent pas marcher
J'les ai boudés, y ont pas mordu
J'les ai quittés, y ont pas bougé
J'me sus fait peur, j'me sus tordu
Quand j'ai compris ben chu r'venu
Je ne sais pas pourquoi vraiment, mais ces mots m’ont toujours chaviré. C’est tellement important les amis.
Allez ! Secouez vos puces et célébrez notre éternelle présence dans cette mer d’anglophones.
Bonne Saint-Jean à tous et à toutes !
lundi 21 juin 2010
Le Nord sans la Canon
vendredi 18 juin 2010
Les contraventions
La nouvelle est tombée dans La Presse vendredi. Depuis l’an 2000, environ $10 millions de dollars en contraventions distribuées à des « touristes » de l’extérieur, n’ont pas été payées ou «encaissées» par les autorités locales. Bon ! Ça fait une moyenne de $ 1 million par année. So what ? Ça vous coule un budget ? Une pinotte, si je puis me permettre.
Ce qui m’a fait penser à cette attitude que j’ai connue à Kelowna dans la vallée de l’Okanagan de la Colombie-Brittanique où je me suis ramassé une bonne dizaine de fois depuis 1990.
À Kelowna, fortement fréquentée par les touristes, si vous trouvez un billet de contravention (gente stationnement) sur votre « windshield », vous avez 48 heures pour aller le régler dans une banque locale. Et ça vous coûtera … $10. Pas plus. Pas $35 ou $40 ou $50. Juste un $10. Après le délairi de 48 heures, vous devrez payer l'emende au complet.
Autrement dit, vous pouvez payer rapidement approximativement ce que ça vous aurait coûté si vous aviez mis les sous requis dans le parcomètre. Genre « tourism friendship » pourrions-nous dire. Mais les « locaux » peuvent aussi s’en prévaloir. Simplement payer votre « dû » mais avec un léger retard. La vraie justice quoi !
Essayer d’aller vendre cette approche juste et équitable à monsieur Tremblay, pleutre maire de notre ville, ça donnerait quoi ? Poser la question, c’est y répondre …
jeudi 17 juin 2010
Le vieux freak
Et il est arrivé simplement, a pris sa guitare et nous a chanté ses tounes. Simplement, sans artifice, avec des solos de guitare sèche où il manquait parfois une ou deux notes mais, tous, on s’en foutait royalement. On voulait juste l’écouter avec cette voix qui en arrachait un peu (mais pas trop) dans les hautes notes. À peine trois chansons au clavier en raison de cette maudite arthrose et ce doigt qui devient croche, nous a-t-il avoué.
Un vieux de la vieille, toujours agréable à entendre. Le tout gratuit en ce début de soirée ensoleillée de fin de printemps, aux extrémités de cette magnifique nouvelle place des spectacles. De quoi nous rendre heureux d’être montréalais …
Merci Stephen Faulkner …
mercredi 16 juin 2010
Cassonade !

mardi 15 juin 2010
Hummm !
samedi 12 juin 2010
Le show du jour
Deux de pique !
vendredi 11 juin 2010
Mémoire gastro
jeudi 10 juin 2010
mercredi 9 juin 2010
Grand Prix Grande Bouffe
Ce weekend, c’est le retour du Grand Prix de Formule 1 à Montréal, après quelques années d’absence. J’avoue être un peu indifférent à cette grande manifestation sportive de « gros chars » depuis la retraite de Jacques Villeneuve. Ma première expérience sur le circuit remonte à octobre 1979 où le père Gilles Villeneuve avait remporté son premier Grand Prix dans la froidure automnale montréalaise. Quelques autres années à aller faire mon tour dans l’île avec mes chums, en utilisant le billet de l’un dans les bonnes places, pour s’y retrouver tous pour les débuts de la course.
Puis sont arrivées les années 1996 et 1997. Deux saisons divines où Jacques Villeneuve et sa Williams-Renault brûlaient les podiums. Une douzaine d'accros mordus qui arrivaient à l'aube du dimanche chez nous, chez Jean-Guy, chez Roger, chez Denis ou chez Nicole et Ti-Two pour vibrer avec les vroum-vroum des rutilantes Formule Un.
Sept heures du mat' (faut le faire comme déplacement un dimanche matin !) et le brunch thématique pouvait commencer. Thématique … parce que ces brunchs étaient associées aux pays où se déroulaient les courses, principalement en Europe.
Brands Hatch ou Silverstone en Grande-Bretagne ? Fallait nous voir chez Marks et Spencer à Pointe-Claire, la veille, pour y quérir clumpets, kippers et bangers à bouffer avec les oeufs à la crème. Et ces authentiques gentlemen british qui nous parlaient en français dans leur fief de l'ouest de l'Île!
Dimanche allemand? Bouffons teutons! Schnapps, choucroute, saucisses et gâteau Forêt Noire pour défier les panses.
Le luxueux et cosmopolite Grand Prix de Monaco ? Faisons chic avec la pissaladière, le caviar (de lompe) pour couvrir les oeufs à la moscovite et les baccetti chocolatés. Rien de trop beau pour la classe ouvrière!
Grand Prix de France ? Le classique : pastis à l'entrée (il n'est que sept heures du matin !) suivi du jambon-beurre et autres mignardises pour nous rappeler la finesse culinaire de nos cousins de l'Hexagone.
Monza Italia? Espresso, pasta (carbonara), Chianti et alteri pour les tiffosi d'un jour.
J'avoue que nous avons éprouvé quelques difficultés à orner la table pour la Hongrie. Mais une promenade sur la Main et une brillante recherche nous ont permis de dénicher une recette de goulash, quelques saucissons et un fromage étrange.
L'Espagne nous a apporté une succulente gaspacho et la trilogie dim sum-sushi-sake accompagnait le Japon. Je sais, petite tricherie avec le dim sum mais, bon... c'est asiatique tout de même, non?
Sur deux années, une trentaine (si ! si !) de célébrations matinales et amicales où le caoutchouc des pneumatiques, les arômes de la bouffe, les chevaux des cylindrées et les vapeurs de l'alcool s'entremêlaient pour célébrer les succès de Jacquot. Les Beaux Dimanches quoi ! Et de bien beaux souvenirs.
Pour dimanche prochain, mettons que l’enthousiasme actuel me limitera aux … hot-dogs !