dimanche 28 mars 2010

Belle orientation

Ah si le vent pouvait se lever
Au moins j'saurais par où aller
Richard Desjardins
Au pays des calottes

6 commentaires:

Zoreilles a dit…

Au pays des calottes et des pick-up, pensais-tu que c'était l'Abitibi? Non, c'est du Nord-est ontarien qu'il parle dans cette chanson!

Dès le début, « Un quarante onces de lumière a coulé sur le petit jour »... Non mais, c'est tu assez un film, ça?

Y a des grandes vérités dans cette chanson-là... mine de rien!

crocomickey a dit…

Je savais pour l'Ontario.

Ontarien, on t'a rien demandé ...

D'ailleurs, il est pas tendre avec ces gens-là :


Y en a toujours un pire que toé
Au pays des calottes
Qui va donner qu'est-ce qu'y a volé
Au pays des pick-up.

Ces habitants au cœur blindé.
Y veulent avoir l'air généreux
Sans jamais, jamais rien donner.

Il aurait jamais dit ça des gens de l'Abitibi, hein ?

Anonyme a dit…

Si tu cherches le vent, tu sais où aller pour en trouver...aux Îles!!

Line

Zoreilles a dit…

Heille Croco, toué t'es culturé en Simonac!!!

Qu'est-ce que tu penses de : « Dans la rosée du cimetière/je voudrais dormir pour toujours » et de la fin de la chanson : « M'as peinturer su'l'cap de roche... Richard love... personne anymore »?

J'ai déjà filé de même, ça fait mal et y a pas de chanson qui traduise mieux ce sentiment-là qu'Au pays des calottes...

crocomickey a dit…

C'est pas compliqué, Richard, c'est le meilleur. J'ai écouté son show Kanasuta en fin de brosse chez des amis dans la nuit de vendredi à samedi. Magnifique (même s'il ne chante pas les calottes) et très drôle aussi quand il chante J'ai couché dans mon char "à la française". Pissant !

Rosette ou Rosie, c'est pareil a dit…

Ben moi, ça me fait un beau petit velours que Richard Desjardins fasse référence aux Ontariens dans sa chanson, même s'il n'est pas trop généreux à leur endroit. Au moins, il ne parle pas des exilées qui se retrouvent au pays des calottes... ;) Tiens, je pense que je vais lui donner un coup de fil, mine de rien, là...