Pour appuyer un article de fait divers portant sur une personne poignardée quelque part en ville, la bande de scabs de PKP a osé publier une photo de l'endroit puisée dans le Street View de Google !
Au lieu d'expédier un photographe et une journaliste, on écoute la nouvelle à la radio, on pitonne l'adresse sur Google Map Street View et ... on publie l'image dans le journal pendant que les vrais journalistes sont en lock out.
Ça fait dur en ta ...
vendredi 9 avril 2010
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8 commentaires:
J'en aurais très long à dire à propos du Journal de Mourial, que j'appelle le Torchon de Montréal, pour d'excellentes raisons. J'avais déjà laissé un commentaire ici à ce sujet, que j'ai supprimé par la suite, parce que trop personnel.
Je n'ai aucune sympathie pour PKP, son défunt père, ni pour les journaistes. Le journal de Montréal, et son sensationnalisme me dégoûte, au temps passé, présent, et futur...
Désolée pour le commentaire négatif!
...journaListes. Une lettre oubliée, mais les mauvais souvenirs ne le sont pas.
Pendant ce temps-là, les lock-outés qui s'arrachent "le cul" à Rue Frontenac font du journalisme. C'est beau le fric mais...
Et les bonnes gens continuent à acheter le Journal sans trop se poser de questions. Où est la solidarité avec les journalistes en grève?
Tout à fait d'accord avec toi Caboche. Ça n'a aucun sens.
Je ne me souviens plus où j'ai vu ça, mais il y a un endroit où tu achètes un café et ils te DONNENT le J de M. Québécor donne le journal au lieu de faire un effort pour régler... Pitoyable.
Mais c'est du grand journalisme ça, du très grand Pus Kapable Pantoute.
En région, c'est le journal de Québec qui est donné aux clients de certain commerce que je ne nommerais pas pour éviter leur eviter un trop grand achalandage la fin de semaine .
À ce compte-là, comme les scabs du J de M, n'importe qui peut s'improviser journaliste.
Eux autres, ils nous donnent du trouble parce qu'il y a encore du monde qui achètent et lisent ce torchon en croyant ce qui se trouve dedans. Ils ne savent même pas comprendre ni interpréter les résultats d'une étude ou d'une information plus ou moins crédible raccolée sur Internet. Ils extrapolent, portent des jugements, ne vérifient pas leurs sources, fabriquent des palmarès et font des front page avec, en patentant sur le coin de la table un supposé « dossier-reportage » de plusieurs pages, des statistiques corroborées par n'importe quel vox pop sur la rue. C'est comme la question du jour à TVA : 50 % sont favorables à la question biaisée mais ils étaient 10 à répondre, ça veut dire 5 personnes.
Pendant ce temps-là, on rame comme des malades dans les régions pour expliquer ça au monde, rétablir les faits, contrer les préjugés...
S'ils ne faisaient que du remplissage de pages au moins, ils arrêteraient de nuire.
Ce « journalisme » de wannabe, c'est un fléau.
Et le grand PKP qui surplombe tout ça avec son fric et sa banquière de Julie ...
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