dimanche 31 juillet 2011

L'incompétence ...

Suite à l'effondrement d'une section de 20 mètres par 20 mètres du plafond du tunnel de l'autoroute Ville-Marie, il y a eu conférence de presse. J'ai lu ce qui suit dans la Presse :

En conférence de presse peu avant midi, Mme Caroline Larose a répété que les structures étaient inspectées régulièrement.

«Le ministère des Transports du Québec vérifie ses structures, les inspecte, les répare, a un plan de redressement qui est en place où on investit près de 4 milliards $ cette année. Donc, les travaux sont faits pour maintenir en forme et en état nos structures», a-t-elle indiqué.

Mais elle était toutefois incapable de préciser à quel moment celles du tunnel Ville-Marie avaient été examinées pour la dernière fois.

NDLR : Ya des coups de pieds au cul qui se perdent !

samedi 30 juillet 2011

Facebook : placotage planétaire

Je ne suis pas un accro Facebook. J’y vais tous les jours mais je ne dérape pas. Pour vous donner une petite idée, j’en suis à … 99 amis. Même pas la centaine malgré une bonne grosse année depuis mon inscription. Mais depuis les derniers mois, j’y clique plus souvent. Pas pour ajouter des commentaires sur mon mur, pas pour y transférer les articles qui m’ont fait tripper (hey, laisse-moi lire ou visionner ce qui me tente et sacre-moi la paix avec les articles des journaux quotidiens que tu nous refiles en cliquant sur le petit F), oubedon les vidéos youtube de sexe ou de tounes musicales qui pullulent sur le web. Si c’est exceptionnel et que ça te renverse, alors OK, vas-y et proposes-nous le. Quand c’est exceptionnel dois-je répéter …

Ce qui me fait tripper sur FB, je l’ai découvert récemment. Mettons trois mois. Juste dans le bas de la page, ya une section clavardage. Dans ta gang « d’amis », ceux qui sont en ligne, tu le sais avec ce petit point vert à côté de leur nom. Tu cliques et tu peux leur garrocher une phrase. Juste comme ça. Sans raison majeure. Genre leur dire bonjour. Recevoir leur réponse et baliverner quelques répliques. Comme un clin d’œil adressé à une personne que t’aimes bien mais que tu ne rencontres pas assez souvent à ton goût. Faut pas s’éterniser sur ces échanges (sauf exception). Juste faire savoir que t’as remarqué la présence sur le web et trouver les mots et les courtes phrases pour confirmer ton amitié et les récentes nouvelles.

Hier soir, le hasard dans la partie, j’ai placoté brièvement, en même temps, avec Rosie à Toronto et Michel (lechim) en France. Petite planète, me suis-je dit. En temps réel, taquiner l’une et prendre le pouls de l’autre … Une dizaine de minutes max. Et cette pensée d’être sur le globe terrestre sur des points si éloignés et si proches en même temps. Peut-être un jour leur parlerai-je de vive voix, en personne. Je me le souhaite. Mais en attendant, ces courts échanges en direct me font grand plaisir. Et se veulent tellement plus gratifiants que le transfert sur mon mur FB (ou le leur) du dernier article relatif au kriss de fou en Norvège, ou le vidéo de la pitoune italienne en plein strip-tease, ou le chien fou qui croque un piranha, ou la toune chantée par McArtney hier soir au Centre Bell.

À chacun son Facebook quoi !

jeudi 28 juillet 2011

Méchante brosse !

Mon homonyme m'expédiait cette photo de la facture de bar des Bruins de Boston au lendemain de leur victoire pour la coupe Stanley. À remarquer le pourboire et aussi le fait que, dans le total de cette brosse exceptionnelle, le vin dépasse le fort et la bière dans l'addition. Mais ya aussi une bouteille de ACE Midas (???) qui fait déborder outrageusement la dépense. Vous connaissez cette Ace Midas ? Faut cliquer pour voir les détails ...

Précision : la fameuse bouteille de champagne à $100,000 était immense et contenait, dans les faits, 30 litres de jus ou si vous préférez, 40 bouteilles "ordinaires". Le proprio du bar en a probablement viré toute une le lendemain ...

Merci Michel Danis






mercredi 27 juillet 2011

L'Annonciation

Fin août l’an dernier, je vous confiais ICI ce souper fort agréable et sa finale euphorique avec ma fille Claude qui m’annonçait sa ferme intention de prendre les mesures nécessaires pour devenir une maman, mais sans la complicité habituelle d’un partenaire qui prendrait le rôle du … père. Insémination. Le pour et le contre, je n’en avais que faire. C’était SA décision, réfléchie, mûrie et surtout pleine à ras bord de son désir brûlant et indéfectible d’être … mère.


Hier soir, j’ai reçu son appel téléphonique comme une bombe de joie. Après une série de résultats infructueux et les doutes qui ont mijoté dans les têtes de son entourage immédiat, voici donc l’Annonciation pour le mois d’avril prochain. Le vieux paternel en demeure bouche bée et la tête pleine de réjouissances.


Déjà orgueilleusement grand-père avec ce James qui amorcera son primaire en septembre, je le serai doublement vers la Nativité en décembre quand Victoria et JF accueilleront leur deuxième poupon. Et ma fille chérie qui triplera la donne au prochain printemps avec ce cadeau suprême de la vie …


Gaga je suis. Et bien conscient de n’être pas le premier à ressentir cette géante et indéfinnissable fierté. Mais quand ça vous arrive, mes chers amis, ça ressemble à une entrée au paradis. C’est la grâce que je vous souhaite …


Claude, JF et Vickie, je vous aime tellement. Merci de parfumer si magnifiquement mon existence.

lundi 25 juillet 2011

Attention gens de Percé !

Mon pote Ricdam et sa Mimi viennent de quitter Montréal pour aller se "reposer" près de l'illustre Rocher. Arrêt à Sainte-Flavie ce soir et arrivée tonitruante demain ! Entrez les enfants dans la maison et ne sortez pas trop tard le soir. C'est à vos risques et périls !

dimanche 24 juillet 2011

Cou donc !

Riaient-elles du photographe les soeurs Brisebois ?

jeudi 21 juillet 2011

Les retrouvailles

Une fois cette maudite canicule passée (elle finira vendredi), m'en vais dans les Laurentides. Mon cher chum Ti-Two, après trois années de "repos", va nous recevoir pour son fameux tournoi de golf sur l'incroyable parcours du "Rock Garden" de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Il s'agit sans aucun doute du meilleur parcours de la province pour accueillir une trentaine de joyeux drilles qui n'en ont rien à cirer de leur score et qui veulent simplement s'amuser et faire un peu d'exercice avant d'aller faire la fête jusqu'aux petites heures.

Le parcours n'a que 9 trous (normales 3, 4 et même un par 5 !). Ça ne coûte qu'environ $10 pour faire le tour et on peut même faire des "fivesome" quand on manque de place. Ça vous donne une idée de la chose. Malgré tout, à part quelques grosses roches parsemées dans les allées, le site est bien entretenu et c'est avec plaisir que je vais essayer de "casser" le 50 ! Mon fils m'a même prévenu de me méfier d'un redoutable adversaire. Paraît que James pourrait me battre sur une normale 3. Malgré ses 5 ans, il tape la balle à 60 verges le petit torpinouche.

Bref, une très belle randonnée dans le Nord avec la gang de Brisebois et leur entourage.

mercredi 20 juillet 2011

???

TROUVEZ PAS

QU'Y FAIT FRETTE

TOUT D'UN COUP ?

dimanche 17 juillet 2011

J'aime les japonaises ...

Après avoir tiré de l'arrière deux fois dans ce match de la grande finale de la FIFA, les joueuses de foot japonaises ont battu les américaines (championnes défendant leur titre) en tirs de pénalité il y a 120 secondes. Yé ! Première victoire d'un club asiatique féminin en Coupe du monde.

Vous me connaissez un peu : je ne suis définitivement pas un fan des américains et ça dans tous les aspects de la vie sur cette terre.

Et de voir cette équipe de filles asiatiques, dont la présence en finale médusait tous les experts, réaliser l'impossible et gagner le match ultime, ça m'a fait oublier complètement les inconvénients de la canicule montréalaise.

YÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ !

S'cusez la !

Vive la clope ?

Je suis fidèle à la fameuse série Mad Men présentée à Télé-Québec. Cette série nous montre le milieu publicitaire américain dans les années 60, à une époque où les moeurs commençaient à se libérer à grande vitesse et pendant laquelle les femmes commençaient, de peine et de misère, à se défaire du joug des mâles omnipotents. Une série extrêmement bien faite avec beaucoup de fric pour la produire d'où sa très grande popularité et ses multiples succès dans les galas de récompenses télévisuelles. Le personnage principal, Don Draper, vient d'ailleurs de signer une entente pour les trois prochaines années, entente qui lui allouera pas moins de $250,000 ... par épisode.

La raison de cette intro, hé bien c'est la cigarette. Incroyable ! Désirant être fidèle à l'époque, les créateurs ont bien sûr travaillé les décors, les costumes d'époque et les idées défendues par les acteurs, reflétant ainsi les grands débats de ces années fulgurantes dans l'évolution de la société nord-américaine, débats qui allaient conduire directement à la grande Révolution culturelle de la fin de cette décade. Mais la cigarette ! Ou la la ! Tout le monde fume dans cette télésérie. Et partout ! Une clope n'attend pas l'autre. Tellement que la chose devient presque risible, même si fidèle à la réalité de ces années. La gloire du poison nicotine.

Quand on considère la réglementation actuelle sur le tabac, notamment de ne pas faire fumer les acteurs dans les films et téléséries, sauf si c'est essentiel pour le scénario, on ne peut que conclure au succès bénéfique des groupes de pression qui ont lutté si longtemps pour diminuer les effets si nocifs de la cigarette. Même les bars et restos ont fini par avaler la pilule et se réjouissent aujourd'hui des interdictions légales. Le (toujours) fumeur que je suis ne se sent point brimé par les règlements et se dit, en visionnant Mad Men, que le vent libérateur qu'il a vécu dans les années 60 aurait sauvé et amélioré bien des vies s'il avait condamné la clope comme il l'a si bien fait pour la religion, l'obéissance civile aveugle et l'homogénéité des genres.

Et sur ce, je vais en griller une bonne à votre santé !

mardi 12 juillet 2011

Lu sur un mur facebook

Quel bonheur ! Bientôt, je vais pouvoir être soigné par le docteur Guy Turcotte, faire faire mes impôts par Vincent Lacroix, faire garder mes enfants par Guy Cloutier qui va les prendre en photos et envoyer les fichiers à Jean-François Harrisson. Faut que j'vous laisse, j'ai un party avec Karla Homolka ... Vive le Québec liiiiiibre !


lundi 11 juillet 2011

Le parcours de Réjean Tremblay

C’est en lisant la Clique du Plateau (toujours sarcastique et baveux) que la chose m’est apparue tellement évidente…

Vendredi dernier, le journaliste et chroniqueur de La Presse y allait de son dernier texte pour ce quotidien majeur qu’il alimente depuis pas moins de 37 années. Rappels de ses grandes passions, de ses grands moments, de ses grandes émotions et remerciements à tous et toutes, y compris ses lecteurs et même les féfans dont il se moque allègrement depuis plusieurs années.

Il y a une quinzaine d’années (ou 20 ?), devenu superstar du journalisme sportif, Réjean Tremblay a pris une tangente télé en écrivant des séries télé qui ont connu un succès majeur et des cotes d’écoute phénoménales. Je pense entre notamment à Lance et compte et Scoop dans lesquelles il scénarisait des histoires à partir de ses connaissances et expériences des milieux qu’il fréquentait. Succès total et fric correspondant. S’en est suivie une série de collaborations ailleurs, notamment à la radio et sur plusieurs scènes populaires. Et parallèlement, une montée dans la stratosphère médiatique sportive avec des entrées dans certains cercles financiers et décisionnels très très élitiques. Notamment cette belle amitié avec Me Marcel Aubut, celui qui a vendu et sorti les Nordiques de la ville de Québec et avec lequel Réjean se tape régulièrement de belles et longues ballades en Harley-Davidson.

Cette montée « sociale » ne s’est pas faite sans troubler et déranger plusieurs collègues journalistes qui, par jalousie ou forte insistance sur l’indépendance totale requise pour exercer leur métier, ont alimenté et colporté des commentaires « off the track » pour miner la crédibilité du chroniqueur superstar. Même Foglia nous envoyait dans ses chroniques, pas souvent dois-je préciser, des petites phrases se terminant avec des points de suspension … Comme ce petit mot ce matin : « Hé Réjean, je t'embrasse pareil, vieux Judas. Amuse-toi bien. ».

Réjean Tremblay nous informe donc qu’il va continuer à vivre malgré tout avec des projets d’écriture, notamment pour des organismes dédiés à la pauvreté en Afrique ou ailleurs. Questionné sur la possibilité de joindre l’empire Québécor du Journal de Montréal qu’il a si souvent abaissé et regardé de haut en vantant La Presse le groupe qu’il vient de quitter, il devient évasif et semble au-dessus de la chose.

Ce que le court texte de La Clique m’a exposé en pleine face, c’est tout simplement que La Presse, un journal quotidien dont il fut un rouage très important pendant tellement d’années, n’a que simplement publié son dernier article. Rien d’autre. Pas d’hommage, pas de reconnaissance pour services rendus, pas de résumé de carrière, ni chronologie de son séjour, ni rappel de ses grands « scoops », peu de témoignage des collègues qu’il a cotoyés pendant toutes ces années, bref … quasiment rien. Salut, bonsoir !

Cette indifférence de ses employeurs depuis 37 ans me semble révélatrice du très probable passage de Réjean Tremblay chez le compétiteur. Et ça me désole. Le fric ne peut pas tout acheter. Déjà que la fortune du scribe et auteur le met à l’abri pour le restant de ses jours, l’hypothétique transfert chez ce compétiteur tellement acharné à bafouer les droits et acquis de ses employé(e)s « ordinaires », ça me lève le cœur.

Réjean Tremblay n’est pas un idiot. Il est même brillant. Assez pour prévoir que cette putasserie soulèvera un tollé dans les médias et dans le cœur de plusieurs lecteurs qui le suivent depuis si longtemps. Est-ce que le fric peut cautionner une telle hérésie intellectuelle et assombrir une belle et longue carrière bâtie avec un exceptionnel talent de communicateur ?

Les mois qui viennent vont répondre à cette interrogation …

dimanche 10 juillet 2011

La mémoire ... sélective

Hier sur les Plaines d'Abraham, Sir Elton John donnait son grand concert. Dans l'après-midi, une reporter de TVA se promenait parmi la foule arrivée d'avance pour les bonnes places. Avec son caméraman, elle s'adresse à quelques personnes bien assises sur la pelouse et leur demande s'ils sont des fans d'Elton John. Bien sûr répondent-ils. Alors quelle serait la chanson que vous espérez entendre ce soir ?

La première fille répond : "Vous n'êtes pas tombée sur la bonne personne pour demander ça". La deuxième fille vers qui on tend le micro se contente d'un sourire béat et le gars, juste à côté, hésitant, fini par acquiescer quand la journaliste lui suggère Candle in the wind. On a plus les fans qu'on avait, me suis-je dit.

Mais en y pensant davantage, je me suis rendu compte que ... moi aussi j'aurais été bien embêté de répondre à la question. Pourtant, dans les années 70, je chantais à tue-tête les chansons des premiers albums du célèbre gay britannique. Mais les titres sont disparus de ma mémoire. Ce matin, en lisant le compte-rendu du show sur le web, tous les titres nommés sont revenus dans cette fameuse mémoire : Goodbye Yellow Brick Road, Tiny Dancer, Rocket Man ...

Comment expliquer cette éclipse dans les souvenirs ? Pourtant, je pourrais nommer sans aide plusieurs tounes des Beatles, des Stones, des Doors, de Led Zeppelin, de Bob Dylan, de Neil Young et autres mégastars de ces années folles. Mais pour Elton John, étrangement, il y avait un gros blanc dans ma tête. Comme les spectateurs interrogés sur les Plaines.

Serait-ce que Sir John ne nous touchait pas VRAIMENT jusque dans les tripes ?

Bien malin qui saurait y répondre.


vendredi 8 juillet 2011

Le blogueur ... à l'hôpital

Hé oui. Ce soir, 21 heures, je n'irai pas voir U2. Ma fille me déposera au centre McGill de l’hôpital Royal Victoria où je passerai la nuit. Mais je vous rassure tout de suite : j’en ressortirai le lendemain matin à … 5 heures 30. Sans blague.

Avant de m’endormir, on me ploguera sur diverses machines qui mesureront la qualité de mon sommeil. C’est que, voyez-vous, les docs me souçonnent d’être affecté par … l’apnée du sommeil. Une bizarrerie qui fait que je respire mal en dormant. Genre passer à répétition des périodes de 30 secondes ou plus sans respirer, ce qui n’aide en rien le repos de mon vieux corps.

Une amie infirmière m’a quasiment souhaité d’en être affecté parce que, m’a-t-elle ajouté, dans les mois qui suivront, quand je dormirai avec la machine respiratoire appropriée qu’on me prescrira (comprenant une sorte de masque à porter), je me sentirai rajeuni de vingt ans. Ouf ! Il est vrai que je dors mal depuis belle lurette et que j’en ressens une fatigue permanente. Alors quoi ? Dois-je me souhaiter d’être malade d’apnée ? Bizarre, hein ?

Mon chum le gros Ben utilise cet appareil depuis quelques années et ajoute qu’il ne saurait s’en passer tellement il se réveille désormais frais et dispos. Le cardiologue qui m’a mis sur cette piste en est lui-même affecté et m’a aussi vanté les bienfaits de cette solution étrange

Réflexion : si je ne suis pas classé « apnée », de kessé que j’ai pour être si peu reposé le matin en me levant ? La vieillesse prématurée ? Pourtant ya des « vieillards » qui dorment comme … des bébés.

Fa que … le blogueur s’en va livrer son corps à la science. Et vous demande de croiser les doigts pour le meilleur … quel qu’il soit.

mercredi 6 juillet 2011

R.I.P André Arthur

Vous le savez depuis fort longtemps, André Arthur est un trouduc. Un vrai. Un authentique. Malgré ce défaut plutôt important, son handicap ne l’a pas empêché d’être élu député fédéral indépendant dans la région de Québec il y a trois ans. Faut dire que le parti de Misteur Harpeur n’avait pas présenté de candidat PC dans son comté, en reconnaissance de ses affinités avec les conservateurs.

Pour l’élection de cette année, le pitre n’a pas réussi à se faire réélire dans son fief, victime lui aussi de la surprenante vague orange de la bande à Jack Layton. Il a récolté 28% des suffrages contre 43% pour la nouvelle député. Comme une bonne claque dans la face.

Rapportée il y a quelques heures, une première réaction du gourou de l’insignifiance : «Je ne sais pas ce que j’aurais pu faire pour empêcher les gens de voter pour une grosse fille qui a les dents pas propres».

Édifiant ! Et aussi fort représentatif de la classe de ce sac-à-merde et de son respect hallucinant des électeurs de son coin de pays

Oups ! S'cusez-moi. Me v'là rendu dans le blogue-poubelle ! Cherchez l'erreur ...

Jeux d'hiver ? Vraiment ?

On vient d'annoncer que la ville de Pyeongchang en Corée du Sud sera la ville des olympiques d'hiver de 2018.

En Corée du sud ? Je ne comprends pas trop. Peut-être que mes notions de géographie sont insuffisantes mais ...

OK pour le hockey, le patinage de vitesse, le patin artistique = bâtir deux ou trois arénas ...

Mais le reste ! Le ski (descente, acrobaties, etc). Le ski de fond et ses dérivées (avec une carabine). La luge et autres glissades. Le patin extérieur sur grande piste. Et les bonhommes de neige ...

Me semble que la Corée n'est pas équipée en "frette" pour organiser ça. Mais bon, le Comité ne peut errer de la sorte. Ya sûrement quelques secrets bien gardés. Le Japon s'est débrouillé alors pourquoi pas les Coréens qui sont, finalement, dans les mêmes coordonnées que le centre des USA.

Mais avez-vous déjà vu des images coréennes avec de la neige ? Moi, non. Pas vraiment. Mais je n'ai pas beaucoup voyagé dans ma vie. Juste par images ...

Le côté positif ...

... dans ce verdict de quasi-acquitement rendu par le jury dans l'affaire du médecin cocu qui a tué ses deux enfants, hé bien, c'est que dans quelques jours, les médias vont finir par ... arrêter d'en parler (dix pages dans le premier cahier de La Presse de ce matin !) ...

mardi 5 juillet 2011

Je l'adore ...

Qui ça ? Mon ventilateur CLAIRION. Il est là, tout près de moi. À peine 1 mètre nous sépare. C'est mon compagnon préféré dans ces journées caniculaires. Un robuste de premier plan. acheté pour à peine $40 il y a 5 ans. J'appuie sur la touche ON vers le 15 juin et sur la touche OFF vers la mi-septembre. Toujours fidèle au poste. Qui plus est, il est fabriqué à Montréal. Je pense qu'il vient de rougir de se voir nommer sur mon blogue ...

vendredi 1 juillet 2011

Dégueulasse !

Tous ces énormes travaux majeurs sur les rues du centre-ville pendant les festivals. La Catherine au complet est inutilisable et les gens marchent de chaque côté de ces clôtures délimitant les trucks, les charrues, les tas de sable et la tuyauterie. C'en est gênant.

Et ce cher Gérald Tremblay, tout plein de son innocence, nous assure qu'il ne savait pas qu'il y aurait des spectacles ...

J'ai franchement eu honte de ma ville hier soir après le show de Colin James (très bon en passant). Une grosse chiure impardonnable.